Quintala a écrit : ↑20 avr. 2021, 17:04
veji2 a écrit : ↑20 avr. 2021, 15:38
ça se trouve il va avoir une année blanche, ça arrive, un footeux qui s'éclate le genou on lui demande pas de renoncer à son salaire, c'est pareil, faut espérer qu'il réussisse à guérir à un moment et que cette blessure ne soit pas un obstacle définitif pour le plus haut niveau, c'est tout.
Un footeux blessé qui s'éclate le genou est en arrêt maladie, il est donc comme tout le monde payé par l'Assurance maladie, pas par son employeur.
Lol tu crois qu'ils sont cons
Le plafond assurance maladie c'est genre 4500 balles par mois.
Je regarde rapidement.
Dans la Charte du Football Professionnel, il est spécifié (art. 276) que le joueur blessé doit percevoir l’intégralité de son salaire durant les trois premiers mois de sa blessure.
Que se passe-t-il dans le cas où un joueur est blessé plus de trois mois ? Perçoit-il tout de même l’intégralité de son salaire au-delà du troisième mois de blessure ?
Certains sports comme le rugby ont mis en place un système de garanties collectives pour la période allant au-delà du maintien de salaire prévu au sein des accords collectifs.
En l’absence d’un tel système dans le football, chaque club a la possibilité de mettre en place des garanties collectives de prévoyance.
Une somme très, très éloignée de ses émoluments... Mais que Neymar se rassure, son compte en banque ne va pas en souffrir : en vertu d'une charte de la Ligue de football professionnel (LFP), c'est aux clubs français de compenser la différence entre le montant des indemnités et le montant du salaire mensuel.
En gros, le PSG va continuer à lui verser la quasi totalité de ses 3,1 millions d'euros mensuels. Et la Sécu ne va sans doute pas perdre d'argent puisqu'un rapport datant de 2004 révélait que la somme des cotisations versées par les clubs de Ligue 1 au titre des accidents du travail (8,5 millions d'euros à l'époque) était quasiment quatre fois supérieures aux indemnités perçues par les joueurs blessés (2,4 millions d'euros).
Un constat qui "n'a pas changé depuis", assure Philippe Diallo, directeur général de l'Union des Clubs professionnels de football (UCPF) à Capital.