Pour résumer :
- 8 arrivées au sommet (dont 4 dans des étapes de moyenne montagne + +) ------ La difficulté va crescendo comme souvent au Giro, c'est-à-dire que la deuxième partie (du Giro) est beaucoup plus dure.
- 2 chronos pour un total de 38 bornes (tout plats)
- 1 étape Strade Bianche avec de la belle bosse (les avis sont unanimes : 35 bornes de routes blanches dans les derniers 70 km, de la pente et de la descente gravel)
- 5 étapes platoches pour sprinters
- 3 étapes de moyenne montagne - - (à la Tirreno un peu, avec des petites bosses pas trop loin de l'arrivée)
- 2 tappones (Cortina avec 212 bornes et La Crosetta au tout début, et 3 belles bêtes à plus de 2000m + Alpe Motta avec le Saint-Bernard et le Spluga tous les deux au-dessus de 2000 et avec des pourcentages bien honnêtes).
- 2 jours de repos : 1 après la dixième étape et l'autre après la 16ème (celle de Cortina, comme déjà signalé par je ne sais plus qui ici).
Je n'ai pas trouvé les profils de Sestola (étape 4, mais à vue de nez 4 bornes à 10%), de Guardi Sanframondi (étape 8) et de Campo Felice (étape 9, mais si j'ai bien compris les 3 dernières bornes sont des routes blanches).
En vrac :
L'étape 6 au sommet d'Ascoli Piceno est pas si dégueulasse et plus dure qu'un Montevergine par exemple.
L'étape 17 qui arrive au sommet de Sega di Ala est belle aussi : le Passo San Valentino est dur et Sega di Ala c'est l'arrivée mythique (
) du Tour duTrentin où Nibali gagne et Wiggins jette son vélo (qui se range tout seul).
L'étape 18, un peu bosselée, fait 228 bornes, ce qui est bien vu avant les deux dernières étapes de montagne.
L'étape 19, pas trop dure, finit coriacement au sommet à l'Alpe di Mera (un peu le scénario de l'enchaînement Piancavallo-Stelvio de cette année),avant la dernière étape de montagne.