On compte ceux qui associent longueur et pourcentages (avec petit bonus pour l'altitude).
Dans les cols italiens que j'ai listés, je n'ai pas pris en compte les muritos (sinon j'aurais pu mettre Punta Veleno, Zoncolan etc.).
Modérateur : Modos VCN
On compte ceux qui associent longueur et pourcentages (avec petit bonus pour l'altitude).
Oui voilà c'est tout à fait ce que je voulais montrer, et encore, je le répète, je n'ai pas mentionné tous les cols, je pourrais encore en rajouter une vingtaine sans problème.Linoo a écrit : ↑05 déc. 2020, 00:20Effectivement j'ai hésité à mettre le passo di Giau qui est à mon avis quasi équivalent à un Manghen. Et je pensais que le Marmolada était impraticable-Vélomen- a écrit : ↑04 déc. 2020, 19:30En Italie, comme cols mythiques, il y a aussi :
- le Passo di Giau (15 km à 8 %, 10 derniers km à 9.5 %, 2250 m d'alitude)
- la Marmolada (15 km à 7.5 % mais surtout 5 derniers à 11.5 % et 2050 m d'altitude)
- le Blockaus (27 km à 7%, ou 30 km à 6% ou 32 km à 6.2%, 2000 m d'altitude), qui était au programme du Giro 2017 (1er Quintana, 2 Pinot, 3 Dumoulin)
A mon avis ils sont beaucoup plus dur que Montecampione.
Sinon gros +1 a tremiti où l'on voit bien la grosse différence entre les HC français et italien: la pente.
Evidemment qu'il y en a de beaux en France.El_Pistolero_07 a écrit : ↑05 déc. 2020, 11:58Non mais c'est sur qu'il y'en a plus en Italie... On le voit bien sur le GIro, mais en France on en a des beaux quand même ! Tiens un que j'ai pas listé, le Grand Colombier ! Le Granon aussi c'est un beau morceau, Sarenne aussi !
Pour Sarenne, Piste devait parler de l'autre versant, par Mizoen. 12.8km à 7,45% de moyenne. Là dedans il y a 500m en descente et 1.5km de replat. Les pourcentages sur les 11km restant sont très rarement en dessous de 8%, et notamment les 7 dernier km.Tremiti a écrit : ↑05 déc. 2020, 12:33
Evidemment qu'il y en a de beaux en France.
Mais par exemple Sarenne je ne le ferais pas rentrer dans ma liste, la moyenne est beaucoup trop faible (5,7%). L'Izoard non plus, qui pour moi n'est pas un monstre. L'Iseran non, il est long et haut, mais la moyenne est faible (et nombreux replats).
4 derniers km toujours au dessus de 9%, et pratiquement toujours au dessus de 9,5% en fait.El_Pistolero_07 a écrit : ↑05 déc. 2020, 15:33Sarenne j'ai vraiment le souvenir d'un final interminable... Pourtant j'étais en jambes ce jour là il me semble. Faudrait que je le refasse, mais je l'avais noté comme "pas impressionnant sur le papier, mais sacrément costaud"
Non mais c'est moi je me suis trompé, le col dont tu parles s'appelle aussi le Passo Fedaia, avec le sommet à 2050 mètres et les 5 derniers kilomètres à 11-12%; mais il y aussi une route qui continue après le sommet en direction du pic de la Marmolada ( plus haut sommet des dolomites). Cette route là est impraticable et plusieurs tifosis voudraient l'aménager pour y voir une arrivée du Giro.
J'ai quand même l'impression que les grands cols Suisse, ceux qui sont mythiques (Nufenen, Saint Gothard, etc) ont de la distance et de l'altitude mais qu'ils manquent vraiment de pourcentage par rapport aux cols Italiens.
Evidemment il y a une composante géographique, mais pas seulement. La façon dont sont tracé les voies de communication en montagne ont également une composante humaine. Deux population ne tracerons pas les même routes. En faisant par exemple de la randonnée dans les Pyrénées ou les Alpes. la différence est marquante. Les sentiers pyrénéens attaquent beaucoup plus la pente, là où dans les Alpes quelques lacets auraient été ajouté. Différences que l'on retrouve sur les routes.
Guérin a distancé ses compagnons et […]