- 17 sept. 2020, 18:14
#3228871
Bonjour à tous,
Je suis un vieux lecteur qui poste ici peu souvent…
Vous parlez beaucoup de 'super-crack', qui par définition, sont moins suspects de dopage, car ils ont des résultats dès leur plus jeune âge… ou parce qu'ils ont des attributs physiologiques plus importants que la moyenne.
Pourtant, j'entends parler de 'super-crack' pour Van Aert… mais aussi pour VdP, Pogacar, Evenepoel, Hirshi, Bernal, Pidcock, Sosa mais aussi pour les plus anciens: Sagan, Kwiatkowski, Quintana, Kittel, Gaviria et Aru. Et dans les espoirs déchus, Sicard, Phinney ou Costa faisaient figures de 'super-crack'.
La Sky défendait Froome comme 'super-crack' avec des aptitudes jamais vues… Même discours pour Alaphillipe, Gaudu, ou Pinot côté français.
Cela nous fait entre 15 et 20 'super-crack' sur une génération de coureurs (je retire volontairement les Nibali, Gilbert et Valverde toujours en activité).
Et pourtant d'autres coureurs moins talentueux ont des palmarès tout à fait intéressants en face des ces prodiges: Roglic, Thomas, Uran, MAL, Bardet, les frères Yates, Dumoulin, Kristoff, Van Avermaet et Mollema, par exemple.
Ma question: est ce que la notion de 'super-crack' est pas un raccourci facile pour trier les bons et mauvais élève quand on parle de suspicion?