Les Pyrénées possèdent quelques-unes des montées les dures du pays, mais malheureusement, pas ou peu utilisables par le grand barnum du Tour. Le Port de Larrau est un des cols les plus redoutables de l'hexagone , mais est trés mal placé. Artzamendi est une sorte d'Angliru français (Hinault pourra vous le confirmer...), mais la chaussée est bien trop étroite en sa première partie. Le Portet risque fort d'être un one shot. Et il y a d'autres montées trés dures qui pourraient être utilisées dans le cadre d'une Vuelta (Escartin s'y intéresse déjà), mais sont trop étroites pour le Tour.Adryy8 a écrit : ↑30 juil. 2020, 19:08A mon avis c'est surtout psychologique ton constat, comme cité au dessus, regarde les années où le massif est arrivé en juge de paix, 2018, ça accouche d'une souris, 2014 et 2012 les vainqueurs ont déjà course gagné. En tant que dernier massif, les Pyrénées n'ont pas eu d'impact depuis 2010.dolipr4ne a écrit : ↑30 juil. 2020, 15:34Dans un autre ordre d’idées, ça fait combien d’années qu’on n’a pas eu les Pyrénées en dernier massif?
Ce n’est qu’une impression ou ce massif est assez peu mis en valeur depuis un moment?
Apres, perso, je prefererais carrément une derniere semaine sans gros massif, mais disons que je m’interroge sur la place et le poids des Pyrénées dans le Tour.
De plus, pareil une impression perso, mais je trouve qu'ASO a beaucoup plus de mal a renouveler sa recette dans les Pyrénées par rapport aux Alpes. Bon après les cols en cul de sac ou très petits n'aident pas.
Ceci dit, pour l'an prochain, normalement, c'est une arrivée aux Chalets d'Iraty. Et si ça se réalise, ça pourrait faire du grabuge.
(l'autre facteur majeur, c'est le fric. Les grosses stations Alpestres ont des ressources que n'ont pas celles des Pyrénées)