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Par rbl85
#3186852
jimmy39 a écrit :
04 juil. 2020, 15:56
Bon je ne sais pas quand aura lieu ce stage, mais j'ai l'impression qu'ils seront tous à Tignes depuis un moment. En tout cas c'est au tour de Gaudu de débarquer :wink:
Gaudu a dit qu'il irait a Tignes pour une 10aine de jours puis qu'ils allaient faire des recos.

Donc les recos devraient avoir lieu la semaine du 13
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Par jimmy39
#3186944
Seluj a écrit :
04 juil. 2020, 21:07
Je me posais une petite question:Je suis Gaudu sur Strava et je le vois qu'il s'entraine exclusivement en Bretagne. N'est ce pas problématique pour un grimpeur de ne pas pouvoir accumuler beaucoup de D+?
Tu le suis mal, il est à Tignes depuis aujourd'hui :rieur:


Sur le fond, je suis bien incapable de répondre, mais c'est vrai qu'il avait été reproché à Barguil de ne pas assez quitter la Bretagne :spamafote:
Par gach80
#3186946
en parlant de gaudu, si l'année prochaine il prend du gallon il faut lui former un groupe
il faudra recruter des grimpeurs
avez vous des idées ?
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Par rbl85
#3186978
jimmy39 a écrit :
04 juil. 2020, 21:09
Seluj a écrit :
04 juil. 2020, 21:07
Je me posais une petite question:Je suis Gaudu sur Strava et je le vois qu'il s'entraine exclusivement en Bretagne. N'est ce pas problématique pour un grimpeur de ne pas pouvoir accumuler beaucoup de D+?
Tu le suis mal, il est à Tignes depuis aujourd'hui :rieur:


Sur le fond, je suis bien incapable de répondre, mais c'est vrai qu'il avait été reproché à Barguil de ne pas assez quitter la Bretagne :spamafote:
Bah Gaudu ca l'avantage pour les classiques d'être en Bretagne, c'est le même genre de parcours.

Apres en temps normal il fait quand même pas mal de stages perso ou avec l'équipe en montagne.
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Par rbl85
#3186979
gach80 a écrit :
04 juil. 2020, 21:17
en parlant de gaudu, si l'année prochaine il prend du gallon il faut lui former un groupe
il faudra recruter des grimpeurs
avez vous des idées ?
IL y a pas Meurisse qui recherche un equipe en WT ? Il grimpe pas trop mal.
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Par marooned
#3187009
gach80 a écrit :
04 juil. 2020, 21:17
en parlant de gaudu, si l'année prochaine il prend du gallon il faut lui former un groupe
il faudra recruter des grimpeurs
avez vous des idées ?
Pour moi, il n'y a pas spécialement besoin de recruter des grimpeurs. Prendre du gallon, ça veut surtout dire ne plus avoir à faire l'équipier pour se concentrer sur sa propre course. C'est surtout valable pour les grands tours car il a déjà des libertés sur certaines courses par étapes d'une semaine.

Essayons d'imaginer une équipe autour de Gaudu sur un grand tour avec l'effectif actuel. Un coureur comme Madouas qui grimpe correctement pourrait être son lieutenant. Et Frankiny un autre équipier typé "montagne". Sachant que tu n'as pas vraiment besoin de prendre la course en main, il n'y a pas besoin de plus de grimpeurs. Tu ajoutes des coureurs un peu 4x4 comme Armirail, Thomas et Le Gac et tu as déjà une belle base de 6 coureurs. Tu peux même intégrer Sarreau et un équipier pour lui lancer les sprints pour diversifier tes chances de briller sur tous les terrains. Franchement c'est pas si mal.

Et à côté, Pinot peut toujours courir avec Reichenbach, Molard, Ludvingsson, Roux, Bonnet, Ladagnous, etc. Et j'ai même pas parlé de Küng et du groupe Démare car si ce dernier revient sur le Tour l'année prochaine et que Pinot souhaite aussi y aller, il faudra sans doute panacher les deux groupes pour satisfaire tout le monde.
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Par Thor8_one
#3187113
Personnellement, je suis très content de voir Madouas ans le collectif tour de France.

Je pense que cette équipe à de quoi rivaliser avec les plus grosse.

1 leader qui fait parti des tous meilleurs mondiaux.
1 co-leader qui a été énorme dans les Pyrénées.

Ensuite 3 équipiers qui vont être très forts et qui pourront alterner.
Madouas, Reichenbach et Mollard.
Ça a de la gueule je trouve.
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Par nostradamus--dans--le--bus
#3187115
Pour moi les 3 favoris du Tour seront Pinot Bernal et Quintana, il est fort probable que la Sky fera une grosse partie du boulot durant la première moitié du Tour.

La Sky aura un gros intéret à garder deux cartes bien placées au CG car un gars sera peut etre au dessus du lot en montagne.
Par luckywinner
#3187133
Et Dumoulin... :w00t:

Désolé mais une liste de 3 favoris dont 2 qui n'ont plus de podium depuis 2017 ça permet d'ajouter beaucoup de noms 😉
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Par nostradamus--dans--le--bus
#3187168
Sur le parcours du Tour 2020 je vois pas trop les coureurs complets sur le podium.

Je mettrais 3 gimpeurs sur le podium, les deux colombiens et Thibault.

Bernal le vainqueur sortant, Pinot qui a dominé le premier massif et le retour de l' ancien dauphin de Froome. Meme si les deux derniers ne font pas partie des 4 o u 5 grosses équipes du peloton je les vois devant.
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Par nostradamus--dans--le--bus
#3187172
Je trouve qu' il y a cette année beaucoup de cols avec de forts pourcentages et je vois certaines étapes de montagne faire de gros écarts.


En 2018 les 7 premiers de l' étape de l' alpe d' huez avait terminé en 13 secondes je pense que ce sera différent sur plusieurs étapes.

On aura de gros écarts avant le dernier chrono.

Port de Bales, la lusette, Marie blanque, puy mary, l' étape du colombier, col de la loze, les glières, on a de nombreuses étapes qui ont du potentiel.
Par luckywinner
#3187194
nostradamus--dans--le--bus a écrit :
06 juil. 2020, 12:09
Sur le parcours du Tour 2020 je vois pas trop les coureurs complets sur le podium.

Je mettrais 3 gimpeurs sur le podium, les deux colombiens et Thibault.

Bernal le vainqueur sortant, Pinot qui a dominé le premier massif et le retour de l' ancien dauphin de Froome. Meme si les deux derniers ne font pas partie des 4 o u 5 grosses équipes du peloton je les vois devant.
Tu peux pronostiquer sur eux pas de souci, mais le premier post parle des 3 favoris.
Tu peux citer au moins 5 coureurs qui sont plus favoris que Pinot et 10 plus favoris que Quintana.

Thomas était le meilleur grimpeur du Tour 2018.
Il finit 2eme en 2019, en étant largement plus fort que Quintana.
Les forts pourcentages pour Thomas, il finit 1er des favoris sur la Planche l'année dernière.

Évidemment Quintana à retrouver des couleurs mais de là à le citer dans les 3 premiers favoris....
Pour les écarts au contraire le parcours ne favorise pas les écarts sur le papier avant la dernière semaine,en 2018 au soir de l'alpes Thomas à 1'40 sur son second le 6eme est à plus de 3'.
J'ai du mal à croire qu'il y aura autant d'écart au soir de la 12eme étape cette année (hors échappée).
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Par nostradamus--dans--le--bus
#3187202
Thomas qui reste sur deux podiums consécutif sur le Tour ou Rogliç qui reste sur deux podiums cette saison auront la faveur de la plupart des pronostiqueurs avec le vainqueur sortant mais le peu de km contre la montre et le choix d' ASO de privilégier les pourcentages me poussent à penser que les grimpeurs seront devant.

Simon Yates sera sur le Tour lui ?
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Par AlbatorConterdo
#3187204
nostradamus--dans--le--bus a écrit :
06 juil. 2020, 15:23
Thomas qui reste sur deux podiums consécutif sur le Tour ou Rogliç qui reste sur deux podiums cette saison auront la faveur de la plupart des pronostiqueurs avec le vainqueur sortant mais le peu de km contre la montre et le choix d' ASO de privilégier les pourcentages me poussent à penser que les grimpeurs seront devant.

Simon Yates sera sur le Tour lui ?
Non, comme tout ceux en fin de contrat et tentés d'aller voir ailleurs, il a été puni et sera au Giro. :jap:
Par BennyFDJ
#3187220
Deux bons papiers sur Valentin Madouas ces derniers jours. Le 1er dans l'Equipe :

Valentin Madouas est un talent précoce : son nom est apparu pour la première fois dans L'Équipe du 13 juillet 1996, alors qu'il n'était qu'un nouveau-né. La veille, sur la route de Valence, son père Laurent s'était échappé sur la huitième étape du Tour de France ; sa mère n'avait pas pu voir la fin de son passage sur Vélo-Club, sur France 2, les premières contractions étant intervenues pendant l'émission. Valentin, 3,100 kg, 55 cm, était venu au monde dans la nuit. « Moi, je n'avais appris la nouvelle qu'au réveil le lendemain matin, se souvient l'ancien grimpeur de Motorola, 23e du général cet été-là. On l'attendait pour début août, et il n'y avait pas encore de portable à l'époque... »

Vingt-quatre ans plus tard, Valentin s'apprête à prolonger la belle histoire des Madouas sur la Grande Boucle. Le jeune coureur s'épanouit chez Groupama-FDJ, où il est passé pro et a gagné sa première course (Paris-Bourges) en 2018 avant de briller l'année suivante sur les classiques ardennaises et le Giro. « Le petit Madouas, ça fait longtemps qu'on sait qu'il pédale bien, mais ses progrès chez nous ont été fulgurants, souligne son manager Marc Madiot. On ne lui a pas dit, car il fallait mettre les réserves d'usage, mais qu'il fasse le Tour dès cette année était pour nous une évidence. »

Qu'il fasse du cyclisme son métier n'en était en revanche pas une, malgré le contexte familial. « Je me souviens être allé encourager mon père dans le Ventoux ou sur des critériums, j'ai toujours baigné dans le vélo, mais mes parents ne voulaient pas forcément que je consacre toute mon énergie à ça », raconte celui qui, ado, s'est ainsi essayé au judo, au cross, au triathlon, et a fini par s'inscrire en sport-études natation, spécialité brasse. « Il aimait toutes les disciplines : à 7-8 ans, ses dessins animés, c'était Eurosport, s'amuse le paternel. C'était un garçon endurant qui voulait toujours transpirer, il faisait des tours de maison chronométrés. Sa mère ne voulait pas qu'il fasse du sport. Elle a vite vu que c'était mal barré. »

C'est dans le club cofondé par son grand-père maternel, le BIC 2000, que Madouas a fini par prendre sa première licence, à 14 ans. Il s'illustre d'abord sur la piste - « une super école » - devient vice-champion d'Europe de la poursuite juniors en 2013 ; puis, parce qu'il n'y avait pas de vélodrome couvert en Bretagne et que les contraintes logistiques étaient trop lourdes, sur la route. Son père l'entraîne jusqu'en 2015. « Après, il a fallu tourner la page, la relation père-fils peut être parfois délicate », convient Laurent. À 20 ans, Valentin s'offre le maillot de champion de France amateur à Vesoul, sur un tracé difficile. Il pleure pendant la Marseillaise sur un podium où l'accompagnent Benoît Cosnefroy et son pote David Gaudu. Sa plus belle victoire, « un déclic ».

Un rythme effréné
Sa progression dans les catégories espoirs est d'autant plus impressionnante que Madouas junior entame en parallèle des études d'ingénieur, à l'ISEN (Institut supérieur de l'électronique et du numérique), à Brest. « Les deux premières années, c'était école le matin, un peu de home-trainer à la pause du midi, l'école l'après-midi, les cours à la maison, à nouveau du home-trainer le soir, et course le week-end, raconte sa maman Gwenaëlle, médecin du sport. On l'accompagnait, on rentrait à 1 heure du matin et il reprenait l'école à 8 heures. Un matin, il avait un examen d'anglais, il a mangé dans la voiture et gagné la Sportbreizh l'après-midi. »

Chez les pros, c'est le même rythme effréné. « Pendant ses premières ardennaises en 2018, on le retrouvait systématiquement dans sa chambre avec ses bouquins », sourit Madiot. Cette année-là, le lendemain de Paris-Tours (5e), Madouas débute un stage de quatre mois dans un laboratoire rennais (M2S), où il travaille sur la fatigue musculaire, et l'achève juste avant sa course de reprise en février. Il prépare son Giro sans vélo, mais avec une soutenance et des partiels... et finit 13e du général de son premier grand Tour.

L'hiver, à peine la saison achevée, il retourne étudier sur le campus de la cité du Ponant. Ses horaires ont beau être aménagés (il dédouble ses deux dernières années), les temps de pause sont quasi inexistants. « C'est une organisation à prendre, mais on s'adapte, balaye l'intéressé. Quelque part, cela m'a appris à mieux gérer mon temps, à faire du qualitatif à l'entraînement et à prendre conscience de l'importance de la récupération. »« C'est son côté un peu cool, il n'est jamais stressé, et heureusement, dit Laurent. Moi, j'aurais été incapable de mener une carrière comme cela, sur deux fronts, j'aurais eu l'impression de ne jamais pouvoir bien faire les choses. » La crise sanitaire a encore repoussé le stage de fin d'études et l'obtention du diplôme du jeune coureur, décidé à aller au bout de son cursus.

Qualifié par son entourage de « tranquille », « équilibré » et « curieux de tout » - lui se dit « un peu bordélique, quand même » -, Madouas « sait surtout ce qu'il veut, insiste son entraîneur David Han. Il a des idées et n'en démord pas. Il n'a aucun complexe. Il a l'air calme, mais c'est un hargneux qui ne lâche rien. »

Cet été, son « unique objectif » sera de soutenir Thibaut Pinot aussi longtemps que possible, y compris en haute montagne. Sur le Tour de l'Avenir 2017, édition gagnée par Egan Bernal, « il s'était bien démerdé dans les cols alors qu'il n'était pas affûté, presque enveloppé : j'ai alors su qu'il possédait un vrai potentiel », dit son père. Et lors du dernier Giro, où Pinot l'a régulièrement conseillé, il a rivalisé avec les meilleurs grimpeurs du monde sur certains cols.

À bientôt 24 ans, le Breton ne rentre dans aucune case : son entraîneur parle d'un coureur « un peu à l'ancienne, très polyvalent, capable de briller sur les ardennaises et les flandriennes, sur les courses d'une semaine, et faire de bonnes places sur les grands Tours : il est dans cette catégorie-là ». Madouas pourra le prouver en fin de saison, où il enchaînera Flèche, Amstel, Liège, Flandres puis Roubaix, course pavée sur laquelle il a brillé chez les jeunes. « Le programme qui m'attend est magnifique, intense : trois mois avec une course tous les week-ends et un grand Tour au milieu, c'est du jamais-vu pour moi. Il va falloir énormément bosser, axer la préparation sur le physique et bien gérer la récupération. » Pour arriver en forme cet hiver, quand il retournera bûcher à l'école.
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