Par gradouble - 20 juin 2019, 19:14
- 20 juin 2019, 19:14
#3026287
Beau message.
Je pense comme toi.
"Faire le métier" comme ils disent, moi j'ai jamais réussi.
Le plaisir est trop important et psychologiquement je ne peux pas me priver.
Puis j'ai déjà un autre métier, source de beaucoup d'inquiétude et de "concentration", le vélo c'est pour me libérer, respirer, me vider la caboche.
La bouffe : y'a trop de bonne chose, c'est un scandale que d'y renoncer (sauciflar, fromages, chocolat et bien sûr : la Sainte Bière )
"Ne pas toucher maman" comme tu l'écris, avant les courses : Merde en barre, très grosse connerie, aucune preuve scientifique, bullshit. Il faut penser à son bien être surtout et moi ça me fait mieux dormir.
En tout cas cette année, ce dernier mois disons, un peu ras-le-bol des courses. J'ai plus le "Mojo", j'ai pris du recul. Le dernier Tour du Fousseret (plus grande course ufolep du 31 ) m'a séché à tout point de vue. Je reviendrai, mais pour l'instant c'est "pause".
Heureusement je reprends pas mal de plaisir sur mes sorties d'entraînement (surtout depuis que j'ai trouvé et corrigé l'origine de l'insupportable bruit de vibration de mon vélo) et me prépare tranquillou pour la Grande Pyrénéenne que je ferai en mode plaisir et dont l'objectif sera de finir.
Mais l'emploi du temps est un peu complexe en ce moment.
Mancebo82 a écrit : ↑18 juin 2019, 19:45C'est gentil, disons que j'étais un peu "extrême" quand j'ai commencé le vélo, comme beaucoup d'ailleurs en se mettant à fonds sur tous les points (course tous les week, je peux pas sortir le samedi soir et faire un écart car y'a sortir le dimanche matin ou course ect ect...) car c'est comme ça qu'on pense être le plus performant possible sauf qu'au final, tu t'aperçois que pas du tout et qu'en plus socialement ça peut ne pas être terrible du tout et du coup tu prends du recul, enfin c'est ce que j'ai fait pour ma part.
Perso j'ai fait ma meilleure performance a l'Ariègeoise en ne faisant plus de course alors que "bla bla pour le rythme c'est excellent..." et en ne faisant quasiment pas de fractionné mais de belles sorties en endurance en montagne un peu comme toi.
Le vélo doit rester un plaisir avant tout et non une contrainte, y'a le taf pour ça, alors faisons nous plaisir.
De mon côté je crois que j'avais besoin de prendre un peu de recul sur le vélo cette année, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs mais question d'envie ou justement d'absence d'envie. Mais je n'ai pas dit mon dernier mot. I'll be back.
Puis c'est fun je m'éclate comme un gamin en course à pied ou trail je prends des branlées par moment ça remet en place.
D'ailleurs ça me fait un pincement au cœur de ne pas faire mon week entre potes a l'Ariègeoise comme chaque année.
Beau message.
Je pense comme toi.
"Faire le métier" comme ils disent, moi j'ai jamais réussi.
Le plaisir est trop important et psychologiquement je ne peux pas me priver.
Puis j'ai déjà un autre métier, source de beaucoup d'inquiétude et de "concentration", le vélo c'est pour me libérer, respirer, me vider la caboche.
La bouffe : y'a trop de bonne chose, c'est un scandale que d'y renoncer (sauciflar, fromages, chocolat et bien sûr : la Sainte Bière )
"Ne pas toucher maman" comme tu l'écris, avant les courses : Merde en barre, très grosse connerie, aucune preuve scientifique, bullshit. Il faut penser à son bien être surtout et moi ça me fait mieux dormir.
En tout cas cette année, ce dernier mois disons, un peu ras-le-bol des courses. J'ai plus le "Mojo", j'ai pris du recul. Le dernier Tour du Fousseret (plus grande course ufolep du 31 ) m'a séché à tout point de vue. Je reviendrai, mais pour l'instant c'est "pause".
Heureusement je reprends pas mal de plaisir sur mes sorties d'entraînement (surtout depuis que j'ai trouvé et corrigé l'origine de l'insupportable bruit de vibration de mon vélo) et me prépare tranquillou pour la Grande Pyrénéenne que je ferai en mode plaisir et dont l'objectif sera de finir.
Mais l'emploi du temps est un peu complexe en ce moment.