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Modérateur : Modos VCN

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Par -Vélomen-
#3007603
AlbatorConterdo a écrit :
16 mai 2019, 18:17
Voilà !! Là, je retrouve mon bon vieux Giro !! :metalhead: :pompom:

Je ne comprends pas pourquoi tout de suite il faut penser à mal... :spamafote:
mal c'est Miguel Angel Lopez (MAL) ?

Par biquet
#3007610
Personne pour évoquer le récent article de Clément Guillou sur le cyclisme slovène ? :reflexion:
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Par Thor8_one
#3007612
biquet a écrit :
16 mai 2019, 19:18
Personne pour évoquer le récent article de Clément Guillou sur le cyclisme slovène ? :reflexion:
Quel article ?
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Par CrocoboyMr0
#3007616
Jack Bobridge qui tombe et qui dit qu'il n'était pas le seul dans le peloton pour usage de stupéfiant...

Pauvre cyclisme
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Par rbl85
#3007628
biquet a écrit :
16 mai 2019, 19:18
Personne pour évoquer le récent article de Clément Guillou sur le cyclisme slovène ? :reflexion:
Y a-t-il quelque chose de « pourri » dans le cyclisme de Slovénie ? Tous les regards sont en tout cas tournés vers la petite république adriatique depuis la révélation de l’implication d’un cycliste et d’un ancien cycliste slovènes dans l’opération « Aderlass », cette enquête de la police allemande sur un réseau de dopage sanguin organisé.
Mardi 15 mai, l’Union cycliste internationale (UCI) a suspendu à titre provisoire le coureur Kristjan Koren et l’ancien coureur, désormais directeur sportif, Borut Bozic, de l’équipe Bahreïn-Merida. Ils sont accusés par le médecin au centre de l’enquête, l’Allemand Mark Schmidt, d’avoir bénéficié d’auto-transfusions en 2012 et 2013.
Le Croate Kristijan Durasek est également visé, sur une période plus récente. Né à Varazdin, à 30 kilomètres de la frontière slovène, il est proche de nombreux cyclistes slovènes, lui qui est passé par deux équipes amateures du pays : Perutnina Ptuj (2006-2008) et Adria Mobil (2012).

Ces dernières années, le cyclisme slovène a enregistré un grand nombre de cas positifs. Selon notre recensement, 8 des 19 coureurs slovènes ayant évolué dans le World Tour (la première division du cyclisme) depuis dix ans ont été suspendus pour dopage, parfois avant ou après leur passage dans l’élite du cyclisme. Soit 42 % d’entre eux, une proportion énorme au regard de la faible efficacité de la lutte antidopage.

« Malheureusement, nous avons eu beaucoup de cas positifs. C’est sans doute en raison de la proximité avec l’Italie, par laquelle beaucoup de cyclistes sont passés, estime Janko Dvorsak, président de l’agence antidopage slovène. Ce qui compte, ce n’est pas le pays d’où vous venez mais l’équipe dans laquelle vous évoluez. »
Ce qui était vrai dans les années 2000, quand beaucoup de coureurs slovènes des équipes italiennes étaient cités dans des affaires de dopage, n’est plus forcément le cas. Ces dernières années, les Slovènes débusqués par la lutte antidopage l’ont été aussi bien dans des équipes slovènes qu’italienne, française, américaine ou espagnole.
Le prédécesseur de Mark Schmidt s’alimentait en Slovénie
Frontalière de pays disposant d’une loi antidopage solide - Autriche et Italie -, la Slovénie était considérée, il y a une dizaine d’années, comme un havre de paix pour les dopés sur le sol européen.
Stefan Matschiner est l’homme qui a cédé son arsenal du parfait dopeur à l’Allemand Mark Schmidt. Jusqu’en 2008, il a dirigé un trafic de dopage sanguin qui lui a valu une condamnation en Autriche en 2010.

Lorsqu’il a appris le démantèlement du réseau de Mark Schmidt, il s’est interrogé, dans le journal local Nachrichten : « Il faut être stupide pour faire cela en Autriche, compte-tenu de la rigidité de la loi anti-dopage ici. On peut le faire partout ailleurs, comme en Slovénie où il ne se passe sans doute rien. »
Lui-même s’était procuré en Slovénie les ampoules de DynEPO pour ses athlètes et la centrifugeuse indispensable à son trafic de poches de sang, comme il l’a raconté dans son livre-confession en 2011 (« Grenzwertig, Aus dem Leben eines Dopingdealers », Riva, 2011, non traduit). Il en était un jour revenu avec 180 000 unités de DynEPO dans le coffre, suffisant pour alimenter toute une équipe cycliste sur une course de trois semaines.
C’est aussi un ancien athlète slovène qui alimentait en DynEPO les cyclistes de l’équipe Rabobank, Michael Boogerd et Thomas Dekker, selon le témoignage de ce dernier dans son livre « The Descent » (Ebury Publications, 2017, non traduit).

« Nous n’étions pas assez stricts »

Depuis, les temps ont changé, veut croire Janko Dvorsak. « Nous n’étions pas assez stricts. Après 2009, le comité olympique a créé un département antidopage. Depuis 2014, il y a une véritable agence antidopage indépendante. »
Cette dernière, dotée d’un budget de 400 000 euros par an, compte sur la Fondation Antidopage du Cyclisme (CADF), agence indépendante de l’Union cycliste internationale, pour contrôler ses coureurs cyclistes évoluant au plus haut niveau.
En ce qui concerne les trafics, toutefois, elle doit compter sur la police locale, qui a d’autres priorités. La loi slovène criminalise le trafic de produits dopants ou l’aide au dopage, mais pas des méthodes de dopage comme les transfusions sanguines.

L’agence antidopage slovène n’a jamais eu à connaître l’implication de sportifs nationaux dans l’affaire « Aderlass », l’enquête étant menée strictement par les autorités policières.
Chez les autorités de la lutte antidopage, on émet de sérieux doutes sur la volonté de la police slovène de faire le ménage chez elle.
Selon le témoignage de l’ancien coureur allemand Danilo Hondo fait à la chaîne publique ARD, Mark Schmidt a aussi cherché à échapper à la surveillance de la police autrichienne en exploitant les lacunes policières en ex-Yougoslavie : c’est avec un téléphone portable « slovène ou croate » que Hondo coordonnait l’agenda des prélèvements de sang et des réinfusions avec le docteur Schmidt.

Génération dorée

En Slovénie, les nouvelles stars du sport sont cyclistes, certes à une bonne longueur des basketteurs champions d’Europe à la surprise générale en 2017. Pays montagneux de deux millions d’habitants seulement, la Slovénie n’est pourtant pas riche d’une grande culture cycliste, à l’instar de ses voisins d’ex-Yougoslavie. Basket, handball ou sports d’hiver sont un débouché naturel au pays de la skieuse Tina Maze et du sauteur à ski Peter Prevc.
Primoz Roglic, lui, n’a pas percé dans le saut à ski, mais incarne cette nouvelle génération de cyclistes slovènes, qui n’a jamais été aussi prolifique au plus haut niveau - 11 coureurs, dont la moitié au sein de l’équipe Bahreïn-Merida. Le pays occupe la 10e place au classement mondial.

Roglic, actuel leader du Tour d’Italie (il court sous les couleurs de l’équipe néerlandaise Jumbo-Visma), s’est hissé à la cinquième place du classement UCI. Matej Mohoric (équipe Bahrain-Merida) confirme les promesses nées de son titre de champion de monde espoirs à Florence, en 2013. A 24 ans, il compte une victoire d’étape au Tour d’Italie et une autre au Tour d’Espagne, et s’est illustré sur les classiques cette saison. Enfin, Tadej Pogacar est, à 20 ans, la révélation du début de saison sous les couleurs de l’équipe UAE (vainqueur du Tour d’Algarve).
Rien n’indique que ces trois coureurs, jamais contrôlés positifs, soient impliqués dans l’affaire « Aderlass ». Mais la petite communauté de cyclistes slovènes a été frappée par la suspension provisoire de Koren et Bozic, deux de ses plus anciens représentants dans le World Tour. « Pour moi, c’est difficile et tout simplement triste, car je crois maintenant que nous avons beaucoup de bons coureurs ; bien sûr, c’est triste pour le cyclisme slovène », a commenté Primoz Roglic sur le Tour d’Italie.

Par biquet
#3007662
rbl85 a écrit :
16 mai 2019, 19:59
biquet a écrit :
16 mai 2019, 19:18
Personne pour évoquer le récent article de Clément Guillou sur le cyclisme slovène ? :reflexion:
Y a-t-il quelque chose de « pourri » dans le cyclisme de Slovénie ? Tous les regards sont en tout cas tournés vers la petite république adriatique depuis la révélation de l’implication d’un cycliste et d’un ancien cycliste slovènes dans l’opération « Aderlass », cette enquête de la police allemande sur un réseau de dopage sanguin organisé.
Mardi 15 mai, l’Union cycliste internationale (UCI) a suspendu à titre provisoire le coureur Kristjan Koren et l’ancien coureur, désormais directeur sportif, Borut Bozic, de l’équipe Bahreïn-Merida. Ils sont accusés par le médecin au centre de l’enquête, l’Allemand Mark Schmidt, d’avoir bénéficié d’auto-transfusions en 2012 et 2013.
Le Croate Kristijan Durasek est également visé, sur une période plus récente. Né à Varazdin, à 30 kilomètres de la frontière slovène, il est proche de nombreux cyclistes slovènes, lui qui est passé par deux équipes amateures du pays : Perutnina Ptuj (2006-2008) et Adria Mobil (2012).

Ces dernières années, le cyclisme slovène a enregistré un grand nombre de cas positifs. Selon notre recensement, 8 des 19 coureurs slovènes ayant évolué dans le World Tour (la première division du cyclisme) depuis dix ans ont été suspendus pour dopage, parfois avant ou après leur passage dans l’élite du cyclisme. Soit 42 % d’entre eux, une proportion énorme au regard de la faible efficacité de la lutte antidopage.

« Malheureusement, nous avons eu beaucoup de cas positifs. C’est sans doute en raison de la proximité avec l’Italie, par laquelle beaucoup de cyclistes sont passés, estime Janko Dvorsak, président de l’agence antidopage slovène. Ce qui compte, ce n’est pas le pays d’où vous venez mais l’équipe dans laquelle vous évoluez. »
Ce qui était vrai dans les années 2000, quand beaucoup de coureurs slovènes des équipes italiennes étaient cités dans des affaires de dopage, n’est plus forcément le cas. Ces dernières années, les Slovènes débusqués par la lutte antidopage l’ont été aussi bien dans des équipes slovènes qu’italienne, française, américaine ou espagnole.
Le prédécesseur de Mark Schmidt s’alimentait en Slovénie
Frontalière de pays disposant d’une loi antidopage solide - Autriche et Italie -, la Slovénie était considérée, il y a une dizaine d’années, comme un havre de paix pour les dopés sur le sol européen.
Stefan Matschiner est l’homme qui a cédé son arsenal du parfait dopeur à l’Allemand Mark Schmidt. Jusqu’en 2008, il a dirigé un trafic de dopage sanguin qui lui a valu une condamnation en Autriche en 2010.

Lorsqu’il a appris le démantèlement du réseau de Mark Schmidt, il s’est interrogé, dans le journal local Nachrichten : « Il faut être stupide pour faire cela en Autriche, compte-tenu de la rigidité de la loi anti-dopage ici. On peut le faire partout ailleurs, comme en Slovénie où il ne se passe sans doute rien. »
Lui-même s’était procuré en Slovénie les ampoules de DynEPO pour ses athlètes et la centrifugeuse indispensable à son trafic de poches de sang, comme il l’a raconté dans son livre-confession en 2011 (« Grenzwertig, Aus dem Leben eines Dopingdealers », Riva, 2011, non traduit). Il en était un jour revenu avec 180 000 unités de DynEPO dans le coffre, suffisant pour alimenter toute une équipe cycliste sur une course de trois semaines.
C’est aussi un ancien athlète slovène qui alimentait en DynEPO les cyclistes de l’équipe Rabobank, Michael Boogerd et Thomas Dekker, selon le témoignage de ce dernier dans son livre « The Descent » (Ebury Publications, 2017, non traduit).

« Nous n’étions pas assez stricts »

Depuis, les temps ont changé, veut croire Janko Dvorsak. « Nous n’étions pas assez stricts. Après 2009, le comité olympique a créé un département antidopage. Depuis 2014, il y a une véritable agence antidopage indépendante. »
Cette dernière, dotée d’un budget de 400 000 euros par an, compte sur la Fondation Antidopage du Cyclisme (CADF), agence indépendante de l’Union cycliste internationale, pour contrôler ses coureurs cyclistes évoluant au plus haut niveau.
En ce qui concerne les trafics, toutefois, elle doit compter sur la police locale, qui a d’autres priorités. La loi slovène criminalise le trafic de produits dopants ou l’aide au dopage, mais pas des méthodes de dopage comme les transfusions sanguines.

L’agence antidopage slovène n’a jamais eu à connaître l’implication de sportifs nationaux dans l’affaire « Aderlass », l’enquête étant menée strictement par les autorités policières.
Chez les autorités de la lutte antidopage, on émet de sérieux doutes sur la volonté de la police slovène de faire le ménage chez elle.
Selon le témoignage de l’ancien coureur allemand Danilo Hondo fait à la chaîne publique ARD, Mark Schmidt a aussi cherché à échapper à la surveillance de la police autrichienne en exploitant les lacunes policières en ex-Yougoslavie : c’est avec un téléphone portable « slovène ou croate » que Hondo coordonnait l’agenda des prélèvements de sang et des réinfusions avec le docteur Schmidt.

Génération dorée

En Slovénie, les nouvelles stars du sport sont cyclistes, certes à une bonne longueur des basketteurs champions d’Europe à la surprise générale en 2017. Pays montagneux de deux millions d’habitants seulement, la Slovénie n’est pourtant pas riche d’une grande culture cycliste, à l’instar de ses voisins d’ex-Yougoslavie. Basket, handball ou sports d’hiver sont un débouché naturel au pays de la skieuse Tina Maze et du sauteur à ski Peter Prevc.
Primoz Roglic, lui, n’a pas percé dans le saut à ski, mais incarne cette nouvelle génération de cyclistes slovènes, qui n’a jamais été aussi prolifique au plus haut niveau - 11 coureurs, dont la moitié au sein de l’équipe Bahreïn-Merida. Le pays occupe la 10e place au classement mondial.

Roglic, actuel leader du Tour d’Italie (il court sous les couleurs de l’équipe néerlandaise Jumbo-Visma), s’est hissé à la cinquième place du classement UCI. Matej Mohoric (équipe Bahrain-Merida) confirme les promesses nées de son titre de champion de monde espoirs à Florence, en 2013. A 24 ans, il compte une victoire d’étape au Tour d’Italie et une autre au Tour d’Espagne, et s’est illustré sur les classiques cette saison. Enfin, Tadej Pogacar est, à 20 ans, la révélation du début de saison sous les couleurs de l’équipe UAE (vainqueur du Tour d’Algarve).
Rien n’indique que ces trois coureurs, jamais contrôlés positifs, soient impliqués dans l’affaire « Aderlass ». Mais la petite communauté de cyclistes slovènes a été frappée par la suspension provisoire de Koren et Bozic, deux de ses plus anciens représentants dans le World Tour. « Pour moi, c’est difficile et tout simplement triste, car je crois maintenant que nous avons beaucoup de bons coureurs ; bien sûr, c’est triste pour le cyclisme slovène », a commenté Primoz Roglic sur le Tour d’Italie.
:super:
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Par rbl85
#3007666
Un département anti dopage avec 400 000 euros de budget…..

On est d'accord ca sert presque a rien, non ?
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Par On3
#3007686
La fin de l'article est bien racoleuse. "Rien n'indique que" mais on fait quand même le lien histoire de semer le doute. :spamafote:
Par marcella
#3007692
Cela me fait penser que l'on a eu quelques slovènes chez les blu e fucsia, notamment un qui a repris sa carrière passé la quarantaine.
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Par Gambrinus
#3007704
CrocoboyMr0 a écrit :
16 mai 2019, 19:31
Jack Bobridge qui tombe et qui dit qu'il n'était pas le seul dans le peloton pour usage de stupéfiant...

Pauvre cyclisme
Si même les grandes stars des Ruots, marchent à l'ecstasy et à la cocaïne :saoul:
J'espère ne pas voir l'Orig 2016 remporté par non éubirtta..... :rabbit:
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Par Xav_38
#3007711
CrocoboyMr0 a écrit :
16 mai 2019, 19:31
Jack Bobridge qui tombe et qui dit qu'il n'était pas le seul dans le peloton pour usage de stupéfiant...

Pauvre cyclisme
Bobridge c'est tout de même un cas particulier. Recordman du monde de poursuite, bourré de talents lorsqu'il était jeune. Mais doit s'arrêter à 27 ans à cause de polyarthrite (diagnostiqué à 19ans, aussi jeune cela doit en mettre un coup au moral alors qu'il avait une belle carrière devant lui).

Si je reprends une traduction d'un article dans "The West Australian", il dit d'ailleurs :

"M. Bobridge a déclaré que ses fans lui avaient donné des drogues et qu'il continuait à utiliser de l'ecstasy et de la cocaïne pour soulager la douleur après avoir reçu un diagnostic de polyarthrite rhumatoïde âgé de 19 ans, affirmant que la seule drogue non interdite lui donnait des symptômes de fatigue chroniques."

Bon il dit aussi qu'il a consommé de la cocaïne et de l'ectasy avec deux co-équipiers australien, dont il a donné les noms à la justice (pas public aujourd'hui).
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Par Wald
#3007724
On3 a écrit :
16 mai 2019, 21:27
La fin de l'article est bien racoleuse. "Rien n'indique que" mais on fait quand même le lien histoire de semer le doute. :spamafote:
Le reste de l’article est très intéressant. Bon l’article n’est assez approfondi pour savoir s’il y a vraiment une structure sportive qui se serait mis en place pour expliquer cette recrudescence de champions dans une nation de 2 millions d’habitants.

Sinon, en accord avec CPT, il me semble qu’un système de dopage ayant pour clients les ressortissants des pays d’Europe centrale et du haut des Balkans qui sont tous limitrophes a vraisemblablement existé. Je dirai sans prendre la peine de vérifier que le haut de la Croatie est plus proche de l’Autriche que Marseille de Paris.
Dernière édition par Wald le 16 mai 2019, 23:12, édité 1 fois.
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Par Wald
#3007729
Xav_38 a écrit :
16 mai 2019, 22:00
CrocoboyMr0 a écrit :
16 mai 2019, 19:31
Jack Bobridge qui tombe et qui dit qu'il n'était pas le seul dans le peloton pour usage de stupéfiant...

Pauvre cyclisme
Bobridge c'est tout de même un cas particulier. Recordman du monde de poursuite, bourré de talents lorsqu'il était jeune. Mais doit s'arrêter à 27 ans à cause de polyarthrite (diagnostiqué à 19ans, aussi jeune cela doit en mettre un coup au moral alors qu'il avait une belle carrière devant lui).

Si je reprends une traduction d'un article dans "The West Australian", il dit d'ailleurs :

"M. Bobridge a déclaré que ses fans lui avaient donné des drogues et qu'il continuait à utiliser de l'ecstasy et de la cocaïne pour soulager la douleur après avoir reçu un diagnostic de polyarthrite rhumatoïde âgé de 19 ans, affirmant que la seule drogue non interdite lui donnait des symptômes de fatigue chroniques."

Bon il dit aussi qu'il a consommé de la cocaïne et de l'ectasy avec deux co-équipiers australien, dont il a donné les noms à la justice (pas public aujourd'hui).
Euh, il faut relativiser, ce sont des drogues récréatives pour lesquels Boonen a eu une toute petite suspension ou un tennisman français a été contaminé en embrassant une fille (c’te bonne blague) et qui doit autant tourner dans le monde sportive que dans la population générale du même âge sans polyarthrite.
Par biquet
#3008174
La drogue (cocaine en particulier) existait déjà dans les pelotons au temps de Petit Breton et des frères Pélissier. Faut dire que c'était en pleine époque des Forçats, et elle n'avait alors rien de récréative.. Mais plus l'activité est difficile, stressante, contraignante, répétitive, voire sacrificielle (et pour le cyclisme de haut niveau, on en est pas loin, vu les privations qu'ils doivent s'infliger), et plus, par une forme de compensation, le risque de prise de stimulants et de drogues est élevé. Ce sont pas des machines, les mecs. :spamafote:
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Par dolipr4ne
#3008276
Comment il s’est violemment relaché sur la bouffe apres son marathon! :w00t:

Jicébé en syncope devant le tribunal de Nuremberg :saoul:
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Par Ilnur majka
#3008425
une personne pour m'expliquer avec des arguments sérieux pourquoi le Tour de Californie serait une destination off shore pour le dopage??
je ne comprends pas trop l'allusion de certain a un dopage free sur cette course

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