Outre ce qui a été répondu, je rajoute que Gaudu a eu sa chance: lorsqu'il est sorti du groupe en compagnie de Fuglsang, c'était en suivant les roues comme équipier, mais quand le duo, rejoint par Martinez, a fini par avoir sa bonne dizaine de secondes d'avance, le Français a pris ses relais et ne s'est pas contenté de plomber l'échappée.biquet a écrit : 10 oct. 2018, 17:01 Moi je suis surtout déçu pour le gamin Gaudu. Bordel, même pour un Milan-Turin, faut qu'il se sacrifie pour Pinot .![]()
L'année prochaine, j'espère qu'il aura un programme ou il pourra jouer davantage sa carte personnelle. Qu'il bosse pour Pinot sur les GT et les grandes classiques, ok, mais qu'on lui laisse un peu plus de liberté sur les semi-classiques (comme celle d'aujourd'hui) et les petites courses par étapes.
Ce n'est que lorsque Pinot est rentré sur la tête, juste après Yates, que Gaudu s'est mis à rouler comme un damné. Tactique logique, avec Reichenbach en 3e larron qui ne lâche pas les roues de ceux qui tentent des contres.

