Avec Jurgen Van den Broeck qui s'entrainait le vendredi avant l'Amstel (il m'a largué dans le Cauberg encombré de bagnoles). Je l'ai trouvé très maigre (et muet accessoirement).
Il m'arrive encore souvent de croiser des pros du style continental qui s'entrainent dans les \"Ardennes\" (en gros sur le parcours de Liège-Bastogne-Liège) ou alors l'année dernière toute la bande des Accent Jobs (Kevin Van Melsen n'habite pas très loin). Tout un temps il y avait un Vacansoleil qui montait systématiquement la Côte de la Vecquée après s'être tapé la vallée de l'Amblève depuis Remouchamps, mais j'ai jamais pu le reconnnaitre (il faut dire que je ne voyais que son dos :ton: ).
Il est arrivé à mon frère de tenir la roue de Kevin Pauwels aussi (mais c'était en descente :bisou: ).
Il ne faut d'ailleurs pas louper la reconnaissance des coureurs sur le parcours de LBL (ou de l'Amstel), il y a toujours moyen de se poiler, et ça roule pas trop vite.
Un bon souvenir : j'étais avec mon VTT (je roule toujours sur route en VTT, avec des pneus larges mais lisses), je venais de me taper la Roche aux Faucons au taquet et puis descente sur la Meuse et dans les petites rues précédant la Côte de Saint-Nicolas je me fais rattraper par l'équipe Cofidis (Moncoutié, Moinard, Duque, les seuls que j'aie reconnus).
J'habitais à Liège à l'époque, j'avais plus que cette côte à me taper et puis j'étais chez moi (branlette, sauna, massage, resto 3 étoiles, etc.) donc j'y vais dès le pied en emmenant un gros tempo, et les Cofidis ne me suivent pas alors y en a un qui me dit : \"Eh, le VTT, ralentis un peu t'es en train de nous démoraliser pour dimanche..\" :moqueur:
J'ai pas tenu jusqu'au sommet, évidemment, j'étais cuit malgré tout (je m'entrainais au boulot à l'époque, pendant les heures, et je pouvais me taper \"facile\" des sorties de 4 heures en VTT, mais j'étais au bout de mon rouleau, qui est plutôt long
).
C'était vachement la lose cette équipe, je me demande s'ils ont mis un gars dans le top 50 course d'ailleurs....
Enfin voilà. :goodbye:
Il ne faut jamais oublier, comme le soulignait Staline en 1931, que le capitalisme utilise d'ordinaire le racisme et le chauvinisme « comme paratonnerre afin que le capitalisme échappe aux coups des travailleurs ».