C'est une question d'équilibre blouss.
Un coup, l'équipe a une identité bretonne puis elle part pr s'appeler Paris Cycling Club.
Un coup, réduction de budget oblige, la politique sportive est de développer des coureurs puis elle part sur du recrutement-recyclerie WT.
Le truc, c'est de se retrouver dans l'identité et la politique sportive de l'équipe.
Perso, j'adore les équipes de développement. Dauphin, Mahoudo, Laurance, (Le Beeeeerrre
) j'ai couru avec eux donc j'adore les voir gravir les échelons jusqu'à se confronter à ce qu'il se fait de mieux. Les Schoeni, Heidemann, Mozzato, c'est un plaisir de les voir arriver en inconnus puis apprendre à les connaitre, les voir décrocher leurs premiers résultats, s'affirmer...
Pierre Barbier, y a tout un truc à bâtir autour de lui... Bref, on ne va pas faire une revue d'effectif mais jspr que le recrutement viendra sublimer les coureurs déjà présents et non pas les brider parce que, tout d'un coup, l'argent pleut et qu'ils peuvent renouveler l'effectif dans les grandes largeurs...
Je pense qu'on souhaite juste de la cohérence et non pas une politique sportive/marketing qui change de cap au gré des opportunités commerciales et financières.
Après, chacun a sa vision du vélo mais voir gagner une armée mexicaine levée du jour au lendemain, ça me fera plaisir mais est-ce que ça fera vmt frissonner ?
C'est sûr que si, par hasard, on avait une paire Costiou / Le Berre, on se poserait peut-être moins de questions, n'est-ce pas Iguane ?