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Par jimmy39
#3009668
rbl85 a écrit :
20 mai 2019, 11:23
Personne a dit qu'il manquait d'ambition
Il y en a un que par charité je ne nommerais pas qui a dit "ce n'est pas possible d'être satisfait aussi vite" :elephant: Si ce n'est pas la définition d'un manque d'ambition ça :siffle:
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Par doutey_fdjeux_fan
#3009670
Quand même déçu de la performance de l'équipe aux 4 jours de Dunkerque, ce n'est pas logique que l'équipe n'arrive pas à aligner 2 équipes compétitives sur 2 fronts en même temps.

Quand on voit ce que fait Jumbo sur 3 fronts !!!

Giro : Roglic
4 jours : Groenewegen et Teunissen
Californie : Bennett

Ca laisse rêveur !
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Par rbl85
#3009676
jimmy39 a écrit :
20 mai 2019, 11:29
rbl85 a écrit :
20 mai 2019, 11:23
Personne a dit qu'il manquait d'ambition
Il y en a un que par charité je ne nommerais pas qui a dit "ce n'est pas possible d'être satisfait aussi vite" :elephant: Si ce n'est pas la définition d'un manque d'ambition ça :siffle:
Ah non c'est surtout que j'ai enlever une partie de mon post (j'ai trouvé que ca faisait trop long). Au départ j'avais écris qu'en gros il avait dit ca pour les médias mais qu'au fond de lui il ne pensait pas exactement car je ne le voyais pas se satisfaire de ce résultat (justement parce qu'il est ambitieux).

Le problème c'est que je sais pas faire court (dans le sens ou je finis souvent pas écrire quelque chose qui reflète pas ma pensé) mais je suis trop faignant pour écrire un gros paragraphe :genance: :rieur:
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Par rbl85
#3009681
Quand je pense a l'énorme boulot qu'il a fait chaque jour lors des 4 jours de Dunkerque...

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Par blouss_
#3009736
Une bonne chose pour la GFDJ d'avoir sécurisé Madouas, car je pense que c'est un profil de coureur très courtisé dans les équipes françaises.
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Par rbl85
#3009947

Les coureurs se languissaient de lui depuis neuf jours, mais le soleil a sournoisement attendu la première journée de repos, lundi, pour enfin chatouiller le Giro : en fin de matinée, les équipes ont profité de cette occasion bénie pour faire tourner les jambes sur la piste cyclable longeant la rive Adriatique au sud de Rimini, une jolie voie bordée d'hôtels et de boîtes de nuit désertées à cette période de l'année. Les Groupama-FDJ, eux, ont préféré rouler plus à l'écart, dans les terres, où la formation a préparé les deux prochaines étapes, toutes plates, forcément cochées par Arnaud Démare, pressé par le temps. «L'étau se resserre pour lever les bras», dit-il.
Arnaud Démare, un train à rattraper
Le sprinteur français collectionne pour l'instant les places d'honneur, 5e à Fucecchio («une chute nous a perturbés»), 2e à Orbetello («le seul sprint vraiment réussi, malgré la chicane et le vent de face»), 3e à Terracine («une flaque d'eau m'a énormément freiné») et 6e à Pesaro («on s'est laissés enfermer»), mais la sinistrose ne semble pas guetter son clan. «Il accumule les malchances : en fait, on n'a toujours pas eu de "vrai" sprint depuis le début de la course, regrette Jacopo Guarnieri, son poisson-pilote attitré. En plus, "Nono" s'est préparé spécifiquement pour les classiques ce printemps, donc il est arrivé ici un peu moins en forme que les autres.»

Au-delà du manque de réussite, le Picard dit ne pas encore avoir trouvé «la clé du succès» en Italie, un constat qui peut s'étendre à tout son début de saison puisqu'il faut remonter à août 2018 pour retrouver son dernier succès, sur le Tour du Poitou-Charentes.

«Ce truc des victoires, c'est pour les journalistes qui veulent gratter, élude-t-il en souriant. Peut-être qu'on rêve de me voir en défaillance, mais je ne le suis pas du tout.» Il poursuit : «Ce qui est vrai, c'est qu'en ce moment, je réfléchis un peu trop, j'essaye de trop bien faire. Or, c'est mieux quand tu arrêtes de réfléchir. Quand tu sprintes à l'instinct, tout est plus facile.» En insistant sur cette démarcation, Démare rappelle qu'il n'a jamais été de la caste des casse-cou qui aiment lâcher les chevaux et jouer des coudes pour couper la ligne en tête, à la Robbie McEwen ou Djamolidine Abdoujaparov : il se définit lui-même comme un sprinteur rouleur et observe parfois avec distance ses rivaux les plus dératés une fois passée la flamme rouge. «Les sprinteurs sont fous, je ne fais pas partie de ces kamikazes, dit-il. Je vois la chose autrement. Pour moi, pour aller gagner, il faut être sur son vélo. Beaucoup de coureurs se disent : c'est la chute ou la gagne.
Ce n'est pas ma philosophie.» Adepte des arrivées rectilignes, idéalement en faux plat sur une route large, le Français est pénalisé sur ce Giro et ses fins d'après-midi tortueuses, sur un bitume souvent abîmé, truffé de pièges. «Quand c'est trop sinueux, Arnaud n'est pas à l'aise, confirme son directeur sportif Frédéric Guesdon. On essaye de mettre des choses en place pour qu'il n'ait pas besoin de frotter pendant les sprints, mais tout n'est pas prévisible. En plus, ses adversaires connaissent les mecs un peu plus prudents comme lui, ça leur arrive d'aller les bousculer un peu, pour les chercher.»

Dans le monde frénétique des sprinteurs, faire preuve de sagesse semble d'autant plus tenir de l'anomalie que les places d'honneur n'y ont qu'une valeur très relative. «Quand on est sprinteur est qu'on fait cinq tops 10 dans la semaine, c'est nul. Quand on est grimpeur et qu'on fait un top 10 dans la semaine, c'est génial. C'est comme ça», souffle Démare, qui positive en se disant qu'il n'est pas le seul dans son cas - Elia Viviani, très ambitieux, n'a pas encore fait honneur à son maillot de champion d'Italie - et que son train fonctionne à merveille. «Mes rivaux prennent plus de risques, mais je suis bien entouré, j'ai confiance en moi, et Marc (Madiot) m'envoie des messages rassurants, indique-t-il. Le sprint, c'est comme ça, ça se joue à peu de choses. Je ne suis pas du tout en période de doute.»

Le Français veut voir Vérone, lui qui avait abandonné à l'aube de la troisième semaine lors de ses deux seules participations (à chaque fois à la 14e étape), et garde le maillot cyclamen dans un coin de la tête (il est à 52 points de Pascal Ackermann). «Ça serait un petit lot de consolation si je n'arrivais pas à gagner d'étape. Mais ce n'est pas la sortie que j'imagine. Je me vois lever les bras sur ce Giro. Et je compte bien sur les deux prochains jours pour tout arracher.»
Par BennyFDJ
#3010158
Celle-là elle fait du bien !!! :winner:
Bon OK il y a chute aux 950m mais il part de vachement loin et ni Viviani, ni Ewan ni aucun des autres ne lui reprend plus de qques centimètres !!! :agenou:

Pour bien faire, il faudrait en claquer une autre pour oublier ce début de saison compliqué (pour ne pas dire mauvais)...

Mais un grand bravo à tous pour aujourd'hui !! :applaud:
Juste une chose, je n'ai pas regardé des 30 aux 8 kms donc j'ai pu le louper mais Ignatas, il est encore en vie ou pas ?!? :scratch:
Par BennyFDJ
#3010172
rbl85 a écrit :
21 mai 2019, 18:00
Ignatas a fait un boulot de dingue dans le final
OK bah j'ai du le louper alors... je n'ai vu que Le Gac, Sinkeldam et Guarnieri :spamafote:

édit: pardon aujourd'hui c'est Le Gac qu'on n'a pas vu dans le final... il s'est fait enfermer dans le rond point aux 8km
Dernière édition par BennyFDJ le 21 mai 2019, 18:08, édité 1 fois.
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Par rbl85
#3010181
BennyFDJ a écrit :
21 mai 2019, 18:01
rbl85 a écrit :
21 mai 2019, 18:00
Ignatas a fait un boulot de dingue dans le final
OK bah j'ai du le louper alors... je n'ai vu que Le Gac, Sinkeldam et Guarnieri :spamafote:
Justement Le Gac a pas pu aider pendant le sprint.

Le train ca été Kono - Ludvigsson - Sinkeldam et Guarnieri
Par -Vélomen-
#3010187
Démare, il n'a pas besoin de plus de 3 équipiers.

Souvent, les autres ne servent que pour rouler sur les échappés ou pour rouler trop loin de l'arrivée.

Lors des 5 derniers km, c"est surtout soit Le Gac, soit Konovalovas (très fort aujourd'hui) puis le duo Sinkeldam / Guarnieri qui font le job.
Par -Vélomen-
#3010208
Konovalos a fait un sacré boulot, et ce n'est pas la 1ère fois sur ce Giro. Il est très costaud en ce moment.

J'ai l'impression que le mois de mai lui convient bien : il a souvent été très fort sur les 4 Jours de Dunkerque, où il a déjà gagné le général et des étapes.
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Par Wald
#3010209
doutey_fdjeux_fan a écrit :
20 mai 2019, 11:38
Quand même déçu de la performance de l'équipe aux 4 jours de Dunkerque, ce n'est pas logique que l'équipe n'arrive pas à aligner 2 équipes compétitives sur 2 fronts en même temps.

Quand on voit ce que fait Jumbo sur 3 fronts !!!

Giro : Roglic
4 jours : Groenewegen et Teunissen
Californie : Bennett

Ca laisse rêveur !
J'ai aussi été très déçu de la GFDJ sur les quatre jours de Dunkerque, comme de Cofidis d'ailleurs.

Bon ben, sinon super pour Demare :smile: . Il montre que l'équipe a raison de lui faire confiance, il a su s'accrocher malgré son début de saison décevant. Je persiste quand même à penser qu'un coureur de moins pour Demare aurait été suffisant sur ce Giro.
Par BennyFDJ
#3010216
Ouais pardon les gars, j'ai édit... :genance:
En général on voit effectivement 3 équipiers dans les 5-6 derniers km. Avant cela, il y en a un qui roule, et un qui sert juste au placement du train dans les 10 derniers km.

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