Concernant l'affaire Bossuyt, il est intéressant de noter qu'elle fait partie de l'agence belge ISEA Management basée dans
le fief à Herentals, et qui s'occupe des intérêts notamment de WVA/Laporte/Herregodts/F.van Empel/J.Widar, entre autres, et également de ceux des frères Aerts .
https://www.isea.be/en/cycling
J'aime la catégorie spéciale "Jeunes Potentiels", ça fait pas du tout marchand de bestiaux .
Sporza fait même un rapprochement encore plus troublant/hasardeux en évoquant un autre point commun entre les contrôles positifs d'Aerts et de Bossuyt : Flamanville . Et oui, il y aurait visiblement dans l'air de la ville normande du letrozole qui circulerait et serait attiré uniquement par les cyclistes belges . C'est quand même un scandale trop longtemps passé sous silence .
Elise Lucet et Tristan Waleckx sont sur le doss' .
https://sporza.be/nl/2023/06/04/shari-b ... 864817963/
Conf' de presse demain à 10h pour la suite .
Dans le passé, Sara Errani, la mobylette du tennis italien, fût également contrôlée positive à ce produit en 2017 . Les explications de l'italienne à l'époque, si ça peut aider Shari :
Sara Errani a été suspendue deux mois par la WTA en raison d'un contrôle anti-dopage positif au létrozole. Entendue par une commission indépendant, la joueuse italienne a donné sa version des faits. Si la substance s'est retrouvée dans son organisme, c'est par inadvertance.
Sa mère suit un traitement contre le cancer à base de Femara, un médicament qui contient du létrozole et qui est conservé dans la cuisine. Or lorsque la mère d'Errani préparait des tortellinis, le 14 ou le 15 février, elle a accidentellement fait tomber du Femera dans les pâtes. Chose qui lui était déjà arrivée par le passé. La commission a tenu compte de ces explications et du fait que Mme Errani avait caché à sa fille qu'elle était toujours souffrante et qu'elle continuait à prendre sa médication.
(source L’Équipe)
Ça mérite bien un