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Modérateur : Modos VCN

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105ème Tour d'Italie :italia:




Du Vendredi 6 mai au dimanche 29 mai 2022 ( 2.UCI WT )
















UN PO' DI STORIA



Le Tour d'Italie appelé aussi Giro, est une course par étapes masculine sur route qui se déroule au mois de mai, principalement en Italie, sauf lors d'excursions à l'étranger ( de plus en plus souvent ) comme en France, en suisse ou plus récemment en Israël, en Slovénie ou cette année en Hongrie. Elle est considérée comme la deuxième compétition la plus importante après le Tour de France, et la préférée des puristes, de part son parcours typiquement montagneux. La météo y est aussi souvent plus fraîche. L'arrivée a lieu en général dans les villes de Florence, Vérone, Rome ou encore Milan, ville du siège de La Gazzetta dello Sport ( créateur de la course). Depuis 1909 date de sa création, le Giro a seulement été annulé lors de la Première et de la Seconde Guerre mondiale. Le premier maillot rose apparaît en 1931. Coppi, Binda et Merckx sont les recordman de l'épreuve avec 5 victoires. Dynamique économiquement, le Giro fonctionne notamment sur des garanties de rémunération proposées aux plus grandes équipes afin d'assurer leur présence :






Pour les passionnés d'histoire :study: et les amoureux d'images d'archives et photos souvenirs :love: , pour les pressés mieux vaut passer votre chemin :jap:

Spoiler : :

Le Tour d'Italie naît de la concurrence entre deux journaux italiens. En effet, au début du xxe siècle, La Gazzetta dello Sport veut se démarquer de son concurrent, le Corriere della Sera (organisateur du Tour d’Italie automobile, qui projette aussi de créer un tour cycliste) en organisant son propre événement sportif inspiré du Tour de France. C’est ainsi que le 7 août 1908, La Gazzetta sous l’impulsion de son fondateur Eugenio Camillo Costamagna, de son administrateur Armando Cougnet et de son rédacteur en chef Tullo Morgagni, annonce la création du premier Giro d’Italie qui se tiendra en 1909. Malgré tout, le Corriere della Sera dans un esprit des plus fair-play, se proposa d’offrir au vainqueur une prime de 3 000 lires.






Le 13 mai 1909 à 2 h 53 du matin, les 127 coureurs du premier Tour d’Italie de l’histoire s’élancent du rondeau de Loreto à Milan, pour huit étapes visant à rallier Milan après avoir traversé une grande partie de l’Italie, pour un total de 2 448 km. À l’arrivée c’est l’Italien Luigi Ganna qui après avoir remporté 3 étapes, gagne la course que seuls 49 coureurs ( tous italiens ) parviennent à terminer : avec une moyenne de 27,26 km/h. Il touche pour sa victoire une récompense de 5 325 lires, et le dernier du classement se voit attribuer 300 lires, une véritable fortune pour l’époque. Cette première édition est également marquée par une popularité très importante, caractérisée par la présence d’une foule extrêmement dense lors de l’arrivée à Milan.






Entre 1910 et 1950 le palmarès du Giro reste exclusivement italien. De 1910 à 1924, sur les 107 étapes 102 sont remportées par des italiens.

1925-1935 : l'ère Binda
Surnommé le « grimpeur assis », Alfredo Binda s'adjuge son premier Giro en 1925 alors qu’il n’a que 23 ans. L’année suivante, il remporte six étapes sur douze possibles mais doit s’incliner face à Giovanni Brunero qui devient alors le premier coureur à remporter trois Tours d’Italie. Binda prend sa revanche en 1927 où il domine le Giro en remportant douze des quinze étapes qui le composent (record encore inégalé), laissant Brunero deuxième à plus de 27 minutes. Tout comme l’avait fait Costante Girardengo en 1919, Binda reste en tête du classement général de la première à la dernière étape. Il est également le premier champion du monde de cyclisme sur route la même année.






En 1928, il reste intouchable et remporte son troisième Tour, égalant ainsi Giovanni Brunero. Il remporte six étapes sur douze tandis que la huitième étape est remportée par son frère et coéquipier Albino Binda. L’édition de 1928 du Tour d’Italie reste également celle ayant rassemblée le plus grand nombre de participants (298 au départ). L’année suivante, il devient le premier coureur à gagner son quatrième Giro en remportant huit étapes consécutives.

En 1930, les organisateurs se lassent de sa domination absolue et lui offrent 22 500 lires (plus que la prime destinée au vainqueur) pour ne pas courir et ainsi préserver l'intérêt de la course :tonton: Binda accepte, laissant ainsi la victoire qui lui était promise à Luigi Marchisio qui, du haut de ses 21 ans, devient le plus jeune vainqueur du Giro (record qui sera battu en 1940 par Fausto Coppi).

Il revient en 1931 pour la 20e édition du Giro. Cette dernière est notamment marquée par l’apparition du maillot rose (Maglia rosa) de leader du classement général. Sa couleur est calquée sur celle des pages de La Gazzetta dello Sport.






1933 marque un tournant pour l’épreuve avec l’apparition du Grand Prix de la montagne et du 1er clm individuel au cours de la 13e étape entre Bologne et Ferrare : longue de 62 km, elle est remportée par Binda. De plus, le Tour est constitué de 17 étapes, se rapprochant ainsi du format « grand tour » actuel. Le Giro est dominé une nouvelle fois par Binda, revenu au meilleur de sa forme en s’adjugeant le classement général, le Grand Prix de la montagne, six étapes, et treize jours en rose.






Le Tour d'Italie 1935 sera le dernier d'Alfredo Binda alors âgé de 32 ans, et le premier d’un jeune espoir de 20 ans : Gino Bartali qui y gagne une étape, le classement de la montagne et semble prêt à assurer la succession. Binda restera dans l’histoire du Giro comme le premier coureur à gagner cinq Tours d’Italie (record égalé mais jamais battu) en remportant 41 étapes (seul Mario Cipollini fera mieux avec 42 étapes remportées).

1936-1953 : le duel Bartali-Coppi. :duel:
À L'Aquila, Gino Bartali remporte sa deuxième victoire sur le Giro et endosse le maillot rose, qu’il conforte en gagnant deux autres étapes. Il remporte ainsi à 21 ans son premier Tour d’Italie et son deuxième Grand Prix de la montagne consécutif.






Bartali récidive en remportant les deux classements en 1937. Le Tour d'Italie 1937 est le 1er composé de 23 étapes, pour un total de 3 840 km, et le premier à emprunter les routes des Dolomites qui feront la réputation du Giro.

En 1940, Bartali s’entoure au sein de son équipe Legnano d’un jeune italien : Fausto Coppi. Celui-ci profite d’une chute de son leader pour prendre le pouvoir et s’illustrer dans la 11e étape qui le fait connaître du grand public. Coppi fait la différence sur ses rivaux dans l’ascension d’Abetone et gagne après 100 km passés en solitaire qui lui permettent de s’emparer du maillot rose. Malgré deux victoires dans les 17e et 19e étapes, Bartali ne parvient pas à rattraper Coppi qui à 20 ans empoche son 1er Giro.






Après cinq ans d’attente, le Giro revient en 1946 sur les routes dévastées par la guerre. La rivalité Bartali-Coppi divise l’Italie : le premier, surnommé « Gino le pieux » est le favori de la Démocratie chrétienne, tandis que le second est adulé par la gauche et les progressistes. Le duel épique voit la victoire de Bartali avec seulement 47 secondes d’avance sur son rival.






Coppi prend sa revanche l’année suivante en s’adjugeant le Tour d'Italie 1947 ( son 2ème ) devant Bartali. Fausto Coppi revient au meilleur sa forme en 1949, où il remporte son troisième Giro, égalant ainsi son rival. Il brille notamment lors de la 17e étape, restée dans la légende, où il franchit en solitaire le col de Larche, le col de Vars, le col d'Izoard, le col de Montgenèvre et Sestrières. Ce qui représente plus de 190 km d'échappée, achevant l’étape avec près de douze minutes d'avance sur Bartali.

1950 marque une première dans l’histoire du Tour d’Italie avec la victoire du 1er étranger, le Suisse Hugo Koblet (surnommé « le pédaleur de charme ») :glasses:





Le campionissimo revient en grâce en 1952 et 1953 remportant ses quatrième et cinquième Tours d’Italie (en défiant notamment Hugo Koblet dans les cimes enneigées du Stelvio en 1959), égalant ainsi le record d’Alfredo Binda.

Le Luxembourgeois Charly Gaul réalise un coup d’éclat lors de l’édition de 1956. Largement distancé au général au soir de la 18e étape (24e à plus de 16 minutes), il passe à l'attaque lors de l'étape suivante entre Merano et le Monte Bondone, disputée dans des conditions apocalyptiques. En effet après un départ sous la pluie, c'est la neige qui fait son apparition, accompagnée de températures approchant les −10 °C. Plus de 60 coureurs abandonnent :ouch: dont le maillot rose Pasquale Fornara. Gaul l'emporte au sommet du Monte Bondone avec plus de huit minutes d'avance sur le second, mais n'a pas la force de lever les bras. Il est conduit à l'hôpital où on lui retire son maillot encore collé à sa peau. Cette victoire lui permet de reprendre le maillot rose, qu'il conservera jusqu'à Milan. L'exploit accomplit par le Luxembourgeois durant cette étape est considéré par certains comme l'un des plus grands de l'histoire du cyclisme.







En 1957 Bobet termine 2ème derrière Nencini, les 2 ayant profité de la célèbre pissette de Gaul pour l'attaquer et lui reprendre 10 min. Charly Gaul revient en force sur le Tour d'Italie 1959 qu'il remporte pour la deuxième fois en réalisant le doublé maillot rose-maillot vert.

Le Giro sourit enfin aux Français en 1960 avec la victoire à l'arraché du champion normand Jacques Anquetil, avec seulement 28 secondes d'avance sur Gastone Nencini. " La Caravelle " revient en force en 1964, où il est intouchable en portant le maillot rose pendant 18 étapes consécutives : il remporte ainsi son deuxième Giro.






Le Tour d'Italie 1967 est le 1er du jeune coureur belge Eddy Merckx, qui y remporte 2 étapes. Felice Gimondi s'adjuge le premier de ses trois Giro à la suite d'un duel épique avec Jacques Anquetil qui fera ses adieux à la course en ayant totalisé six podiums (deux victoires, deux secondes places et deux troisièmes places).

1968-1974 : le festin du « Cannibale ».
La domination d'Eddy Merckx commence en 68. En effet, il gagne pour sa 2ème participation le classement général, le classement par points et le grand prix de la montagne, devenant ainsi le premier coureur de l'histoire à réaliser un tel triplé. Il remporte également deux étapes dont une victoire restée légendaire aux Tre Cime di Lavaredo, où il rattrape les dix minutes de retard qu'il avait sur les échappés en seulement douze kilomètres :pt1cable:






Cependant en 1969 alors qu'il est encore leader du classement général, il est exclu du Giro à Savone à la fin de la 16e étape pour dopage aux amphétamines :police: Il laisse ainsi le maillot et la victoire finale à Felice Gimondi, qui remporte son deuxième Tour d'Italie. Il prendra sa revanche l'année suivante en gagnant son 2e Giro devant Gimondi. Après l'impasse en 71 il revient et gagne son 3ème Giro en 72, 1ère année sans italien sur le podium. En 1973 il remporte son 4ème Giro, et dans le même temps il revêt le maillot rose de la première à la dernière étape, réitérant ainsi l'exploit de Costante Girardengo et d'Alfredo Binda. En 1974, Merckx rentre définitivement dans l'histoire en remportant son cinquième Tour d'Italie et rejoignant au panthéon Alfredo Binda et Fausto Coppi.



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1980-1985 : le triplé de Bernard Hinault.
Il se présente sur les routes du Giro pour la première fois en 1980. Le coup d’essai est un coup de maître. Le 5 juin 1980, lors de la 20e étape entre Cles Val di Non et Sondrio, il mène une échappée victorieuse avec Jean-René Bernaudeau (qui remporte l'étape) dans le Col du Stelvio. Le « Blaireau » prend le maillot rose et le conserve jusqu'à Milan. Il égale Eddy Merckx, Felice Gimondi et Jacques Anquetil en ayant accroché les trois grands tours à son palmarès.






Bernard Hinault participe à deux autres Tours d'Italie, pour deux autres victoires (1982, 1985), réalisant à chaque fois le doublé Giro-Tour de France.

L'édition 1984, marquée par la bataille entre l'Italien Francesco Moser et le Français Laurent Fignon, reste très controversée. L'Italien est aidé à plusieurs reprises par les organisateurs afin d'obtenir la victoire finale : ainsi, la 18ème étape est modifiée avec la suppression du col du Stelvio pour cause de neige, alors qu'il n'y en a pas ! :elephant: Fignon est également pénalisé de 10s pour un ravitaillement illicite, alors que Moser ne prend que 5s pour les multiples poussettes dont il bénéficie dans les cols. Fignon reprend le maillot rose à Arraba en finissant détaché après une échappée solitaire de cinquante kilomètres, mais lors de la dernière étape, un clm de 42 km, Moser refait son retard d'1 min 21 pour remporter ce Giro, à nouveau à la suite de controverses. En effet il dispose d'un vélo révolutionnaire avec des roues lenticulaires et reçoit l'aide de l'hélicoptère de la course, qui vient se placer devant Fignon pour le gêner et derrière le coureur italien pour le propulser à une grande vitesse :twisted:

L'édition 1987 se conclue par la victoire de l'irlandais Stephen Roche, qui remporte par la suite le Tour de France et le titre mondial pour compléter la deuxième Triple couronne de l'histoire du cyclisme. En 1988 Andrew Hampsten devient le premier et seul Américain vainqueur du Giro, ainsi que le premier vainqueur non-européen.

En 1989 Laurent Fignon succède à Hinault, restant à ce jour le dernier Français vainqueur du Tour d'Italie. :baguette:





Gianni Bugno domine l'édition 1990 après avoir pris l'avantage dès la première étape. Il mène la course de bout en bout, un exploit qui n'a été accompli que trois fois auparavant dans l’histoire du Giro.

Miguel Indurain devient le premier coureur espagnol à remporter la course en 1992 : il prend la tête de la course après la troisième étape vallonnée menant à Arrezo, puis s'y maintient jusqu'à l'arrivée à Milan. Il creuse l'écart sur ses concurrents lors des deux épreuves contre-la-montre individuelles qu'il a remportées. Il remporte ensuite le Tour de France en juillet, complétant ainsi le rare doublé Giro-Tour. L'année suivante Il obtient sa 2ème victoire au classement final. Il réalise le doublé Giro-Tour pour la deuxième année consécutive, un exploit sans précédent.

Le Tour d'Italie 1996 célèbre le centenaire de la fondation de la Gazzetta dello Sport en organisant les trois premières étapes dans la capitale grecque, Athènes.

1998 : l'année où l'italien Marco Pantani, idole de tout un peuple, s'empare du maillot rose dans les dolomites après un duel face à Tonkov :cheval: et réalise lui aussi le doublé Giro / Tour






Pantani est de retour sur le Giro en 1999 alors qu'il est en pleine forme physique. Dominant la course de la tête et des épaules, il est alors en route pour son deuxième succès, lorsque son taux d'hématocrite est contrôlé au-delà des 50 % autorisés, après l’étape de Madonna di Campiglio. On est à la veille de l’arrivée. Le règlement est implacable et le « Pirate » est donc exclu de son Tour national. Ivan Gotti en profite pour remporter son deuxième Giro.

L'édition 2001 du Giro est marquée par le Blitz du 6 juin : la brigade antistupéfiants de Florence et la brigade financière de Padoue dirigent pendant plusieurs heures une grande opération antidopage et perquisitionnent toutes les chambres d’hôtel des équipes. :police: Le butin de ces fouilles est immense : corticoïdes, anabolisants, hormones de croissance, produits sanguins, matériel d'analyse… 36 personnes seront renvoyées par la suite devant un tribunal et des coureurs seront condamnés (Frigo, Di Grande, Elli…). Furieux, le peloton refuse de repartir le lendemain. L’étape est annulée pour ce qui restera comme le pire Tour d’Italie de l’histoire.


En 2003 l'italien " Super Mario " Cipollini rentre dans l'histoire en établissant un nouveau record du nombre total de victoires d'étapes :winner:
Avec 42 bouquets, il dépasse enfin le légendaire Alfredo Binda










En 2008 l'espagnol Alberto Contador prend la tête de la course après la deuxième étape de montagne, et va s'imposer en résistant aux attaques de Riccardo Riccò et du champion en titre Danilo Di Luca.






Le pistolero revient en 2011 et dans un premier temps remporte ce Giro, avant d'être déchu de son titre en 2012 pour utilisation de clenbutérol, et suspendu 2 ans. Scarponi récupère la victoire sur tapis vert.


2013 voit la première victoire du nouveau chouchou du public : l'italien Vincenzo Nibali, surnommé " le requin de Messine " :nibali: qui raflera 3 étapes.

2014, le plus grand Giro de l'histoire :elephant: . Lors de la seizième étape disputée dans des conditions dantesques, de Ponte di Legno à Val Martello, l'attaque légendaire dans la descente du Stelvio sous le brouillard ( malgré dans un premier temps un drapeau rouge ) du Colombien Nairo Quintana, lui permet de reprendre plus de quatre minutes et de devenir le premier Colombien à gagner le Giro. :colombie:






En 2015, Contador s'impose à nouveau, sept ans après son premier succès. En 2016, c'est au tour de Vincenzo Nibali de rééditer sa victoire, grâce à une dernière semaine où il reprend progressivement du temps jusqu'à prendre le maillot rose la veille de l'arrivée. Mais le tournant de ce Giro fut lors d'une étape 19 de légende durant laquelle le colombien Esteban Chaves et son équipe fit explosé la course dans le col d'Agnel, bien relayé par Nibali, les 2 ayant envoyés des pions à l'avant ( Plaza et Scarponi ) qui se révéleront cruciaux. En effet après avoir " mis dans le rouge " le leader jusque là incontesté de la course, le hollandais Kruijswijk, ce dernier mis sous pression chuta dans la descente et ne reverra plus Chaves et Nibali ( malgré son courage ) qui récupéreront leurs équipiers pour rouler devant. Le colombien qui ne pris pas soin de se couvrir au sommet de l'Agnel coincera dans le final ( mais sera récompensé du maillot rose ) contrairement au rusé italien :kelmeur: qui filera vers la victoire d'étape avant de remporter ce tour d'Italie lors de la dernière étape de montagne du lendemain. Ce Giro restera dans les mémoires comme un très bon cru, en partie grâce à un parcours magnifiquement tracé, à un retournement de situation impensable et au plus beau sourire du peloton :love:






En 2017, le Tour d'Italie célèbre sa centième édition. Le vainqueur, Tom Dumoulin, est le premier coureur néerlandais à remporter le Giro, et le premier Néerlandais depuis plus de trente ans ( Zoetemelk ) à remporter un grand tour. Âmes sensibles s'abstenir :
Spoiler : :
A noter qu'un petit arrêt pour "poser sa pêche" dans un champ pendant l'étape reine de Bormio ( dû à une diarrhée causée peut-être par des gels de caféine ) failli faire perdre la course à Dumoulin. :genance: Desolé pour l'anecdote.


Un an plus tard, Christopher Froome remporte le Tour d'Italie 2018, après un raid solitaire de 80 km sur l'étape du Finestre, devenant ainsi le premier coureur britannique à remporter la course. Il complète son palmarès en gagnant les trois grands tours à la suite (Tour 2017, Vuelta 2017 et Giro 2018) :froome: Vous l'avez compris, à cette époque rien ne pouvait arrêter le " Kenyan blanc " , pas même l'attaque surprise d'un Tyrannosaure dans le col du Zoncolan ( je ne parle pas de Yates )






En 2019, Richard Carapaz devient le premier Équatorien à remporter un grand tour. L'édition 2020, qui devait partir de Hongrie, est reportée en raison de la pandémie de Covid-19. Ce Giro surprenant qui partira finalement de Sicile le 3 octobre, est remporté lors du clm de la dernière étape par le Britannique Tao Geoghegan Hart, qui réalise à 25 ans le troisième doublé maillot rose-maillot blanc de l'histoire de l'épreuve, après Evgueni Berzin en 1994 et Nairo Quintana en 2014.

Sources : Wikipédia




RETOUR SUR L'ÉDITION 2021









Le Tour d'Italie 2021 est la 104e édition de cette course cycliste et célèbre les 90 ans du maillot rose de leader du classement général, qui a fait son apparition lors de l'édition 1931. Le Giro a lieu du 8 au 30 mai 2021. Les organisateurs de la course, RCS Sport, avaient initialement annoncé que le « Grande Partenza » serait en Sicile. Cependant la course commencera finalement à la place à Turin.








La course est remportée par le Colombien Egan Bernal (Ineos Grenadiers), qui gagne son premier Giro et sa deuxième victoire sur un grand tour. Il devient le deuxième coureur de son pays à remporter le Giro après Nairo Quintana en 2014.






Il récupère le maillot rose en s'imposant au sommet de l'arrivée sur un secteur en terre dans la station de ski de Campo Felice lors de la 9ème étape.






Il continue à étendre son avance au cours de la deuxième semaine, notamment sur l'étape des fameuses Strade Bianche de Toscane. Avec en apogée sa victoire sur l'étape reine des dolomites à Cortina d'Ampezzo, raccourcie et quasiment pas diffusée ( pour ne pas nous montrer qu'il n'y avait aucune raison de la rabotée ? :siffle: )







Malgré ses difficultés lors de la dernière semaine, notamment dans les forts pourcentages de Sega di Ala ( Sega c'est plus fort que toi ! ) il conserve suffisamment d'avance pour confirmer sa victoire à Milan.






Il s'impose avec 1 minute et 29 s. d'avance sur l'Italien Damiano Caruso (Bahrain Victorious) et 4 min 15 s. sur le britannique Simon Yates ( Team BikeExchange ).







RÉSULTATS






CLASSEMENTS ANNEXES
Spoiler : :

POINTS


MONTAGNE



MEILLEURS JEUNES



PAR ÉQUIPE



ÉTAPES













PALMARÈS ET STATISTIQUES


















CLASSEMENTS DU MEILLEUR JEUNE




RECORDS


Spoiler : :


VICTOIRES ET PODIUMS













VICTOIRES D'ÉTAPES





CLASSEMENTS DE LA MONTAGNE






CLASSEMENTS PAR POINTS






CLASSEMENTS EN TOUS GENRES







Sources : Wikipédia et los-deportes.infos
Dernière édition par Delgato le 03 mai 2022, 16:11, édité 8 fois.
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PERCORSO






DISTANCE TOTAL : 3445 KM_MOYENNE : 164 KM / ÉTAPE_ DÉNIVELÉ POSITIF : 50 580 m D+





GRANDE PARTENZA


" La 105e édition du Giro d’Italia accueille la Hongrie en tant que nation organisatrice du grand départ . Après des changements de parcours liés à la pandémie, le départ se fera de Budapest, comme envisagé pour la 103e édition. La Grande Partenza comprend trois étapes, dont un contre-la-montre individuel. L’épreuve commence vendredi 6 mai avec l’étape Budapest-Visegrád (un parcours adapté aux puncheurs ). Un clm au cœur de Budapest (9,2km) suivra samedi 7 mai. La dernière étape hongroise est destinée aux sprinteurs, dimanche 8 mai entre Kaponsvár et Balatonfüred, sur les rives du lac Balaton. Les coureurs rejoindront ensuite l’Italie et, lundi 9 mai la Corsa Rosa observera son premier jour de repos. " Il faut signaler qu'on annonce du mauvais temps sur Budapest.





" Étape légèrement vallonnée à travers la plaine au nord de la capitale qui longe la frontière slovaque marquée par le Danube, incontournable dans cette région. La course s’installe parmi quelques lieux prestigieux comme Székesfehérvár et Esztergom avec son imposante basilique. L’arrivée est difficile après avoir quitté la rive du Danube. Depuis le centre de Visegrád, le peloton affrontera une montée d’environ 5 km à 5% jusqu’au château royal où la première Maglia Rosa sera décernée sur une route de plus en plus étroite. "


CARTES / PROFIL / HORAIRES
Spoiler : :











" Contre-la-montre entièrement urbain qui relie la capitale hongroise Pest au centre historique de Buda. Le départ est donné sur la Place des Héros pour se diriger tout droit vers le Danube qui sépare les deux âmes de la ville. Une série de virages ponctuent le parcours jusqu’au bord de la rivière, où le peloton défile devant le Parlement néo-gothique avant de traverser le Danube et de longer la rive parallèle. En quittant le fleuve, la dernière montée (maximum à 14% dans la première partie), en partie goudronnée, mène à la place de Buda où se situe l’arrivée "

CARTES / PROFIL / HORAIRES
Spoiler : :








" Une étape sur le lac Balaton, la mer hongroise. Après une première partie dans laquelle l’approche du lac se fait avec de légères ondulations, la course atteint Nagykanizsa puis Hévíz avec son lac thermal, avant de traverser la région du Balaton. Le paysage est décrit comme la Provence de Hongrie et se caractérise ici par une série de reliefs d’origine volcanique. Les 50 derniers km se situent le long de la côte avec seulement la très courte montée de l’Abbaye de Tihany. Le final ne présente quasiment aucun virage à l’approche de ce qui devrait être le premier sprint massif. "

CARTES / PROFIL / HORAIRES
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DESCRIPTION
Spoiler : :


" Une étape dans l’arrière-pays sicilien avec une arrivée en montée. Depuis Avola, la course visite le centre du baroque sicilien à Noto et file vers les régions de Pantalica et Vizzini avec de légères ondulations à l’approche du volcan. En dehors des zones urbaines, la route peut être endommagée à certains endroits. Dans les villes, les voies sont souvent étroites, avec les obstacles habituels dans cet environnement. La montée finale, qui s’achève au refuge de la Sapienza comme en d’autres occasions, affronte à sa manière un nouveau parcours. L’ascension commence à Biancavilla et croise la Strada Milia (comme sur le Giro 2018). Après l’observatoire astrophysique, le parcours rejoint le versant classique de Nicolosi pour une arrivée classique au Rifugio Sapienza.

Les 3 derniers kilomètres sont sur une route large et bien goudronnée. La route serpente le long de larges épingles, principalement sur des champs de lave. Il y a une légère contre-pente avec 500 m à parcourir, avant le demi-tour final (à 250m de l’arrivée). Ici, la route remonte le long du dernier tronçon (200 m, 3 % de dénivelé positif), menant à la ligne d’arrivée, sur une route goudronnée de 7 m de large. "

CARTES / PROFILS / HORAIRES
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DESCRIPTION
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" Une étape courte avec une seule montée, Portella Mandrazzi, à mi-parcours. De Catane à la périphérie de Taormina, les routes sont assez larges et principalement plates, mais sinueuses, avec seulement quelques tronçons droits. Après avoir quitté la côte, l’itinéraire emprunte la longue montée de Portella Mandrazzi (pente moyenne : 4 %), suivie d’une longue descente qui conduira le peloton vers la côte nord de l’île. Au cours des 70 derniers km, l’étape suit le rivage. Les routes sont assez larges, plates et droites, avec quelques zones urbaines au fil du parcours.

À près de 4 km de l’arrivée, le parcours quitte la route nationale et débouche dans la ville de Messine. L’itinéraire continue le long de larges avenues urbaines, d’abord en descente, avant de remonter jusqu’aux 1 500 m, et de redescendre brièvement. Il y a un dernier virage à 800 m avant la ligne d’arrivée, qui se trouve sur une route plate et asphaltée de 7,5 m de large. " Attention au vent dans la première et dernière partie de l'étape qui longera le bord de mer !

CARTES / PROFILS / HORAIRES
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DESCRIPTION
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" L’itinéraire est peu exigeant et serpente sur une large route le long de la route nationale ss. 18, avec seulement quelques tunnels le long du parcours. La montée longue mais douce qui mène de Mileto à l’aéroport Razza de Vibo Valentia est le seul obstacle le long du parcours.

L’itinéraire entre dans la ville urbaine de Scalea pour le final de l’étape, qui se déroule sur des routes larges, droites et bien goudronnées, avec un dernier rond-point à 3 km. La dernière ligne droite est sur route goudronnée. " Attention quand même au vent, car l'étape se déroulera entièrement le long de la mer !

CARTES / PROFILS / HORAIRES
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DESCRIPTION
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" Une étape très difficile à travers les Apennins du Sud. Le départ le long de la mer est le seul tronçon plat. Passé Maratea, le parcours ondule continuellement, avec des pentes plus ou moins fortes. Après avoir gravi le Passo della Colla et atteint Lauria, l’étape s’attaque au Monte Sirino. L’itinéraire atteint ensuite Viggiano, franchit la difficile Montagna Grande di Viggiano, puis emprunte l’ascension finale de Sellata avant d’atteindre Potenza. Tout au long du parcours, les routes sont généralement étroites et peuvent être endommagées par endroits, au fil des virages à flanc de la montagne.

Les derniers kilomètres se courent entièrement sur des routes urbaines. L’itinéraire monte à travers le centre-ville, avec de fortes pentes à certains endroits, puis descend le long de larges avenues bien pavées. Il y a un petit tunnel au niveau du panneau des 2 derniers km, menant à l’avenue d’arrivée. Les 350 derniers mètres ont une pente moyenne de 8 %, culminant à 13 %. L’arrivée est sur l’asphalte. "

CARTES / PROFILS / HORAIRES
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DESCRIPTION
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" Cette étape exigeante et intense, entièrement disputée sur des routes urbaines, démarre en passant la ligne d’arrivée. Le parcours s’élève sur la colline de Posillipo, se dirige vers Bacoli et fait une boucle le long de la côte. Après Bacoli, les coureurs parcourront quatre fois le circuit de Monte di Procida (19 km). Ici, les routes sont bien goudronnées mais étroites, avec une succession de virages et des pentes irrégulières. Après Torregaveta, à Baia, les coureurs affrontent une pente de 14 % jusqu’au Lago Lucino, où ils quitteront le circuit à la fin du dernier tour. L’itinéraire revient à Bacoli et Posillipo par le même itinéraire, avec une longue descente sur la Via Petrarca menant aux derniers kilomètres en centre-ville.

Les 3 derniers kilomètres, plats, filent vers l’est le long de la Via Dohrn et de la Via Caracciolo. Au dernier kilomètre, l’itinéraire fait demi-tour à un rond-point et revient par la Via Caracciolo jusqu’à l’arrivée. La dernière ligne droite (900 m) est sur le tarmac. " Prudence avec le vent.

CARTES / PROFILS / HORAIRES
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DESCRIPTION
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" Une étape reine à travers les Apennins, avec 5 000 m de dénivelé positif. Peu après le départ, l’itinéraire franchit le Valico del Macerone et la difficile ascension du Rionero Sannitico, en continuant à monter jusqu’à Roccaraso. Une longue descente vallonnée suit (près de 90 km) pour atteindre le pied de la première ascension vers Passo Lanciano (en venant de Pretoro). Ensuite, l’itinéraire descend à Lettomanoppello, traverse quelques zones urbaines, et recommence à monter à Scaf. La montée finale (13 km) débute après Roccamorice.

Les 13 derniers kilomètres montent régulièrement sur une route étroite, avec plusieurs virages en épingle. La pente dépasse les 9% sur près de 10km, avec des pics pouvant atteindre 14 %. Il y a un très court tronçon en contre-pente 500 m avant l’arrivée. La ligne droite (200 m de long, sur un tarmac de 6 m de large) présente une pente d’environ 8 %. "

CARTES / PROFILS / HORAIRES
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DESCRIPTION
Spoiler : :


" L’étape se découpe clairement en deux parties. Le début est plat, le long de la Statale Adriatica, où les principaux obstacles le long du parcours sont ceux que l’on trouve généralement dans les zones urbaines. Dans la seconde moitié, à l’inverse, l’itinéraire emprunte une succession d’ascensions aux profils variés, et même des “murs”, sans répit. Au fur et à mesure que le profil change, les routes deviennent plus étroites et plus escarpées, et légèrement endommagées à certains endroits. Le parcours emprunte ensuite les ascensions successives de Civitanova Alta (jusqu’à Crocette di Montecosaro), Recanati, Filottrano, Santa Maria Nova et Monsano. Après Monsano, l’arrivée ne sera plus qu’à 9 km.

Le parcours descend rapidement sur de larges routes jusqu’à Jesi, avec environ 1 400 m à parcourir. Un virage à droite mène à la ligne droite finale, sur une pente moyenne de 2 %. La ligne d’arrivée est sur le tarmac. " :manolo: Bord de mer sur les 2 premiers tiers : Attention aux bordures.




CARTES / PROFILS / HORAIRES
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DESCRIPTION
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" Une étape plate à travers les basses terres d’Émilie-Romagne, sur des routes rectilignes et majoritairement larges. Au fur et à mesure que l’étape traverse plusieurs zones urbaines, des ronds-points, des îlots de circulation et du mobilier urbain jalonneront le parcours.

Les derniers kilomètres se déroulent sur des routes larges avec un bon revêtement, les ronds-points, les séparateurs de trafic et les îlots piétons étant les principaux obstacles. La ligne droite finale mesure 350 m de long, sur un tarmac de 7 m de large. "

CARTES / PROFILS / HORAIRES
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DESCRIPTION
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" Une étape difficile à travers les Apennins. L’itinéraire monte régulièrement avec des pentes très douces depuis Parme, le long de la vallée du fleuve Taro, pour entrer en Ligurie par le Passo del Bocco, de difficulté modérée. Une descente longue et technique suit, menant vers Carasco et dans le Val Fontanabuona. L’itinéraire aborde ensuite la Colletta di Boasi et le Valico di Trensasco. Les coureurs passeront le long de l’autoroute et traverseront le nouveau pont de San Giorgio, en direction de l’arrivée en centre-ville.

Après avoir pris l’autoroute, l’itinéraire traverse le pont de San Giorgio et prend la sortie Genova Ovest (en passant par quelques tunnels), rejoignant le viaduc d’Aldo Moro jusqu’à la marque des 2 km. Sur les 2 derniers km, la route est droite, large et bien goudronnée, légèrement en montée et avec un seul virage au niveau du triangle rouge. L’étape se finit sur le tarmac, avec une pente d’environ 2%."

CARTES / PROFILS / HORAIRES
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DESCRIPTION
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" Après avoir affronté une seule montée, le Colle di Nava, dans la première partie du parcours, l’étape engage une longue traversée de la plaine de Cuneo. Dans la montée du Colle di Nava, l’itinéraire traverse de nombreux tunnels bien éclairés. Dès que l’étape atteindra les basses terres, les principaux obstacles seront ceux que l’on trouve généralement dans les zones urbaines. La dernière ligne droite est en légère montée.

Les derniers kilomètres sont courus sur des routes urbaines larges, droites et bien goudronnées, avec quelques ronds-points le long du parcours. A l’entrée de la vieille ville, les coureurs rouleront sur des dalles pavées sur 800 mètres, avant d’aborder le dernier kilomètre. La dernière ligne droite est sur route goudronnée, avec une pente moyenne de 2,5 %. "

CARTES / PROFILS / HORAIRES
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DESCRIPTION
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" Une étape courte mais intense, qui laisse peu de temps aux coureurs pour reprendre leur souffle. Le dénivelé global, comparé à la longueur de l’étape, est digne d’une étape alpine. Les premiers kilomètres de Santena au pied de la première montée sont le seul tronçon plat de l’étape. La route s’élève de Rivodora à Superga, en faisant deux tours d’un circuit de 36,4 km qui comprend les montées de Superga et du Colle della Maddalena. La première fait 5km de long, avec des pentes oscillant autour de 10% et culminant à 14%. La deuxième est beaucoup plus courte ; sur une route étroite à travers les bois, avec des pentes maximales de 20%. Une descente technique mène ensuite jusqu’à l’arrivée.

Après avoir franchi le Colle della Maddalena, le parcours redescend vers Valsalice, avec quelques passages difficiles en traversant des zones urbaines. Les pentes remontent ensuite jusqu’au Parco del Nobile. Les 4 derniers kilomètres sont entièrement en descente, principalement sur des routes étroites. La route s’élargit ensuite après le dernier kilomètre, dans la ville de Turin, et devient plate à environ 700m de l’arrivée. La ligne droite est sur route goudronnée."

CARTES / PROFILS / HORAIRES
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DESCRIPTION
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" Une étape alpine colossale à travers la Vallée d’Aoste. Au départ, l’itinéraire traverse le Canavese et la vallée de la Dora Baltea, jusqu’à Aoste. Le parcours se décompose ensuite en trois ascensions consécutives vers Pila, Verrogne et Cogne. Longue de plus de 10 km chacune, ces ascensions se font sur des routes larges et bien goudronnées, avec un certain nombre de virages en épingles pour les relier. Chacune est suivi d’une descente rapide, avec les mêmes caractéristiques.
À plus de 22 km, la montée finale prononcée devient un long faux-plat jusqu’à l’arrivée.

Sur les 4 derniers kilomètres, du centre de Cogne (avec un court tronçon pavé) jusqu’à l’arrivée, la pente oscille autour de 2,5% (un peu plus en dehors de Cogne). La dernière ligne droite est longue de 300m, sur une route goudronnée. " En l'absence de Gianni Moscon, dont le nom de la ville d'arrivée lui allait comme un gant :elephant: je miserais sur Lopez :genance:

CARTES / PROFILS / HORAIRES
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DESCRIPTION
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" Une étape reine à travers les Alpes, avec plus de 5 000 m de dénivelé positif. L’étape commence à Valsabbia et emprunte une longue montée (près de 30 km) menant au Goletto di Cadino (2 000m au-dessus de la mer). L’itinéraire descend dans le Val Camonica (avec quelques passages à niveau) et remonte jusqu’à Edolo. L’itinéraire aborde ensuite le Passo del Mortirolo en venant de Monno. À 3 km du sommet, la route se rétrécit et les pentes s’élèvent. Une descente technique suit, menant à Grosio sur une route étroite (assez raide par endroits). Après un tronçon plat, le parcours remonte en direction de Teglio (sur chaussée rétrécie, avec des pentes dépassant même 15% par endroits), puis redescend rapidement vers Tresenda, avant la dernière ascension du Valico di Santa Cristina. La route, large et bien goudronnée dans la première partie (avec deux courts tunnels en cours de route), se rétrécit dès qu’elle s’oriente vers le sommet. Elle serpente avec des épingles à travers les bois, sur des pentes prononcées, avant de plonger vers l’arrivée.

La descente du Valico di Santa Cristina jusqu’au marqueur des 1 500 derniers mètres est très technique, sur une route étroite et avec de fortes pentes. Dans la dernière ligne droite, le parcours monte régulièrement à environ 3% jusqu’à l’arrivée (sur asphalte). "

CARTES / PROFILS / HORAIRES
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" Cette étape de montagne est divisée en deux parties : elle commence en montée, en direction du Passo del Tonale, puis continue principalement en descente sur plus de 70 kilomètres, à travers le Val di Sole et le Val di Non. Après avoir traversé l’Adige, la route monte jusqu’au Palù di Giovo, en passant par la Valle dei Mocheni avant d’atteindre Pergine Valsugana pour affronter les deux ascensions finales. Le Valico del Vetriolo est long mais gérable (pente moyenne de 7%), tandis que la montée du Menador (Kaiserjägerstrasse) est étroite par endroits, avec des tunnels creusés dans la roche et des pentes constamment supérieures à 10 %. Passé Monterovere, l’arrivée ne sera plus qu’à quelques kilomètres vallonnés.

Après le sommet et une courte descente, l’itinéraire remonte jusqu’à 4 km de l’arrivée puis redescend sur une voie large. Les 700 derniers mètres présentent une légère pente. L’arrivée se trouve sur le tarmac. "

CARTES / PROFILS / HORAIRES
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" L’itinéraire relie la Valsugana et la plaine vénitienne via le Scale di Primolano et le Muro di Ca’ del Poggio, les seuls obstacles topographiques de l’étape, qui mène à Trévise par des routes droites et généralement larges. Au fur et à mesure que l’étape traverse plusieurs zones urbaines, des ronds-points, des îlots de circulation et du mobilier urbain jalonneront le parcours. A Trévise, les coureurs seront accueillis avec un circuit d’environ 11 km, à parcourir une seule fois.

Le circuit final se déroule sur des routes larges et plates, à l’exception d’un secteur un peu plus étroit, de 4 à 2km de l’arrivée, et d’un virage plus serré avec 3 km à parcourir. Sur les 2 derniers km, la route s’élargit, avec juste un dernier virage à 1 200 m de l’arrivée (sur asphalte). "

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" Une étape de montagne difficile, qui passe par la Slovénie et se termine par une arrivée au sommet. En partant de Marano Lagunare, l’itinéraire traverse la plaine jusqu’aux collines morainiques autour de Fagagna et Majano. Le parcours traverse Buja, atteint les Préalpes juliennes, longe la Grotte di Villanova (une montée courte mais intense) et s’attaque au Passo di Tanamea. L’itinéraire entre en Slovénie par le col d’Uccea, menant directement à Kobarid (Caporetto). Ici, le peloton s’attaquera au mont Kolovrat, une montée à près de 10% sur 10km (avec des pentes s’atténuant sur un court tronçon à mi-chemin de la montée). Après avoir franchi le Passo Solarie, une longue descente en faux-plat ramène les coureurs en Italie en serpentant à travers les bois. Au départ de Cividale del Friuli, le peloton s’attaquera à la montée finale vers le sanctuaire de Castelmonte.

La montée finale est longue d’environ 7km, avec une courte descente après 2,5km d’ascension. Les pentes les plus fortes (jusqu’à 13%) se trouvent au pied de la montée, et lorsque la route recommence à monter à mi-ascension. La chaussée est large et bien goudronnée. La ligne droite est sur route goudronnée. "

CARTES / PROFILS / HORAIRES
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" Une étape colossale à travers les Dolomites, et la dernière arrivée au sommet du Giro d’Italia 2022. En partant de Belluno et après un détour par la vallée de la rivière Piave via Sedico, Santa Giustina et Sospirolo, l’itinéraire passe par Agordo et Cencenighe, traversant le Val Cordevole en amont. Le final de l’étape comprend trois ascensions consécutives : Passo di San Pellegrino (avec des pentes supérieures à 15% après Falcade), Passo Pordoi (la Cima Coppi 2022) et Passo Fedaia, où les pentes oscillent régulièrement au-dessus de 10%, atteignant même 18%, dans les 6 km après Malga Ciapela.

Les derniers kilomètres
Les rampes sont raides sur les 14 derniers kilomètres. Après une ascension technique de Caprile à Rocca Pietore, le parcours devient un faux plat de 2%. Les pourcentages remontent après Sottoguda, puis la route plonge un peu avant Malga Ciapela (en passant par un tunnel bien éclairé). La pente moyenne sur les 6 derniers kilomètres est d’environ 12 %, avec un pic à mi-ascension de 18 %. La dernière ligne droite est plate, sur route goudronnée. "

CARTES / PROFILS / HORAIRES
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" Un contre-la-montre individuel sur le circuit des Torricelle (le même que lors des Championnats du Monde), parcouru dans le sens antihoraire. La première partie se fait sur de larges boulevards rectilignes, suivi d’une montée en escaliers de 4,5km à 5%, sur une chaussée plus étroite. Le temps intermédiaire est pris après le sommet de Torricella Massimiliana. Le parcours descend ensuite sur 4 km, toujours sur des routes larges et droites. Les 3 derniers kilomètres le long des rues de la ville, avec quelques virages serrés, mènent jusqu’à l’arrivée sur la Piazza Bra et les arènes de Vérone.

Les derniers kilomètres se font sur de larges avenues urbaines rectilignes. Le temps est pris sur la Piazza Bra, avant d’entrer dans l’arène. La ligne droite finale mesure 150 m de long, sur une route goudronnée de 6,5 m de large. "

CARTES / PROFILS / HORAIRES
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Dernière édition par Delgato le 13 mai 2022, 21:01, édité 7 fois.
#3466399
ÉQUIPES ET COUREURS AU DÉPART













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ÉQUIPES INVITÉES DE DERNIÈRE MINUTE :w00t:



TEAM VCN

221 El_Pistolero_07
222 🇨🇭 Jimmy39
223 🇫🇷 daizenshu
224 🇨🇭 JFKs
225 🇯🇵 Akaion
226 🇫🇷 stereoking69
227 🇫🇷 dolipr4ne
228 🇫🇷 On3

DS : 🇫🇷 Le sucre sportif
Médecin de l'équipe : 🇫🇷 Rbl85


TEAM 2 VCN

231 🇧🇫 Ilnur Majka
232 🇫🇷 veji2
233 🇫🇷 Noé
234 🇫🇷 matthmic
235 🇫🇷 Booze
236 🇫🇷 charlix
237 🇫🇷 luckywinner
238 🇫🇷 Vélomen

DS et préparateur physique : 🇬🇧 Bradounet ( sait faire la soupe aussi )


LA SDLC

241 🇸🇳 Amady21
242 🇫🇷 Nopik
243 🇫🇷 CPTmatros
244 :kelmeur: Kelmeur
245 🇫🇷 Ancelin
246 🐒 Thor8_one
247 🇫🇷 CaramelMou
248 🇫🇷 gradouble
Réserviste : 🇫🇷 Tontontrotsko

DS : 🇫🇷 Tosach
Patron de l'équipe : 🇫🇷 Blouss_


CONTI PRO

LA NAPOLITAINE

251 🇮🇹 AlbatorConterdo
252 🇮🇹 Piratapantani
253 🇮🇹 papou06
254 🇮🇹 pascualito
255 🇮🇹 azzurro
256 🇮🇹 ***Milanello***
257 🇮🇹 _Rimini
258 🇮🇹 FabioLullito

DS : 🇮🇹 Colbrelli ( cherchait du taf :spamafote: )
Médecin : 🇮🇹 Testarossa


PEPITO MI CORAZON

261 🇨🇴 loloherrera
262 🇪🇸 Gato
263 🇪🇸 Delgato
264 🇪🇸 tony43
265 🇪🇸 MiguelDelgado2
266 🇨🇴 Fusagasuga
267 🇪🇸 valverde56
268 🇪🇸 Mancebo82

DS:PAGLIAORBA
Directeur Centre de Formation : 🇪🇸 Orodreth


LA CHOUFFE

271 🇧🇪 RemcoAlafpolak ( NP ? )
272 🇧🇪 Alexstru
273 🇧🇪 jicébé
274 🇧🇪 PuncheurFou
275 🇧🇪 MonteGelbison
276 🇧🇪 baldussior
277 🇧🇪 JohanMusée
278 🇧🇪 Jerrylee01

DS : 🇧🇪 DanielH





LES FAVORIS




⭐️ ⭐️ ⭐️ ⭐️ ⭐️

Coppi et Bartali



⭐️ ⭐️ ⭐️ ⭐️



⭐️ ⭐️ ⭐️





⭐️ ⭐️





⭐️





SPRINTEURS :


























PUNCHEURS / SPRINTEURS :


⭐️⭐️⭐️

Van Der Poel

⭐️ ⭐️

Ulissi, Girmay

⭐️

Vendrame, Cort, Albanese



BAROUDEURS :


⭐️⭐️⭐️

Kamna, Mollema

⭐️ ⭐️

Tratnik, Covi, Nibali

⭐️

De Gendt, Peters, Vanhoucke, Carr
Dernière édition par Delgato le 05 mai 2022, 13:39, édité 28 fois.
#3466400
INFOS UTILES :reglement:




ROAD BOOK






BONIFICATIONS :

• 10, 6 et 4 secondes sont accordées aux trois premiers de chaque étape

• 3, 2 et 1 seconde(s) sont accordées aux trois premiers du deuxième sprint intermédiaire de chaque étape



BARÈME CLASSEMENT DE LA MONTAGNE :

• 11 côtes de 4e catégorie : les trois premiers coureurs au sommet reçoivent respectivement 3, 2 et 1 point(s).
• 11 côtes de 3e catégorie : les quatre premiers coureurs au sommet reçoivent respectivement 9, 4, 2 et 1 point(s).
• 10 côtes de 2e catégorie : les six premiers coureurs au sommet reçoivent respectivement 18, 8, 6, 4, 2 et 1 point(s).
• 14 cols de 1re catégorie : les huit premiers coureurs au sommet reçoivent respectivement 40, 18, 12, 9, 6, 4, 2 et 1 point(s).
• 1 col “Cima Coppi”, le Passo Pordoi sur la 20e étape : les neuf premiers coureurs au sommet reçoivent respectivement 50, 30, 20, 14, 10, 6, 4, 2 et 1 point(s).




BARÈME CLASSEMENT PAR POINTS :

• Étapes de catégories A et B (soit les étapes 1, 3, 5, 6, 8, 11, 13 et 18) : les 15 premiers coureurs à l’arrivée reçoivent respectivement 50, 35, 25, 18, 14, 12, 10, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2 et 1 point(s). Et lors du premier sprint intermédiaire de chaque étape,les 8 premiers reçoivent respectivement 12, 8, 6, 5, 4, 3, 2 et 1 point(s).
Étapes de catégorie C (soit les étapes 10 et 12) : les 10 premiers coureurs à l’arrivée reçoivent respectivement 25, 18, 12, 8, 6, 5, 4, 3, 2 et 1 point(s). Et lors du premier sprint intermédiaire de chaque étape, les 8 premiers reçoivent respectivement 12, 8, 6, 5, 4, 3, 2 et 1 point(s).
Étapes de catégories D et E (soit les étapes 2, 4, 7, 9, 14, 15, 16, 17, 19, 20 et 21) : les 10 premiers coureurs à l’arrivée reçoivent respectivement : 15, 12, 9, 7, 6, 5, 4, 3, 2 et 1 point(s). Et lors du premier sprint intermédiaire de chaque étape, les 8 premiers reçoivent respectivement 12, 8, 6, 5, 4, 3, 2 et 1 point(s).




DÉLAIS :

Pour les étapes 1, 3, 11 et 18 : le temps du vainqueur + 7% de ce temps si la vitesse moyenne du vainqueur est inférieure ou égale à 40 km/h ; + 8% si la vitesse moyenne du vainqueur est comprise entre 40 et 45 km/h ; ou + 10% si la vitesse moyenne du vainqueur est supérieure à 45 km/h.
• Pour les étapes 5, 6, 8 et 13 : le temps du vainqueur + 9% de ce temps si la vitesse moyenne du vainqueur est inférieure ou égale à 37 km/h ; + 10% si la vitesse moyenne du vainqueur est comprise entre 37 et 41 km/h ; ou + 11% si la vitesse moyenne du vainqueur est supérieure à 41 km/h.
• Pour les étapes 10 et 12 : le temps du vainqueur + 11% de ce temps si la vitesse moyenne du vainqueur est inférieure ou égale à 35 km/h ; + 12% si la vitesse moyenne du vainqueur est comprise entre 35 et 39 km/h ; ou + 13% si la vitesse moyenne du vainqueur est supérieure à 39 km/h.
• Pour les étapes 4, 7, 9, 15, 16, 17, 19 et 20 : le temps du vainqueur + 16% de ce temps si la vitesse moyenne du vainqueur est inférieure ou égale à 30 km/h ; + 17% si la vitesse moyenne du vainqueur est comprise entre 30 et 34 km/h ; ou + 18% si la vitesse moyenne du vainqueur est supérieure à 34 km/h.
• Pour l’étape 14 : le temps du vainqueur + 19% de ce temps si la vitesse moyenne du vainqueur est inférieure ou égale à 30 km/h ; + 21% si la vitesse moyenne du vainqueur est comprise entre 30 et 34 km/h ; ou + 22% si la vitesse moyenne du vainqueur est supérieure à 34 km/h.
• Pour les étapes 2 et 21 : le temps du vainqueur + 30% de ce temps.





MAILLOTS DISTINCTIFS :







DIFFUSION



PRÉSENTATION DES ÉQUIPES : Mercredi 4 mai de 18h à 19h30 sur Eurosport Player







Cette année il sera possible de suivre le Tour d'Italie en intégralité, sur les chaîne classique d'Eurosport ( principalement E1 et E2 ), GCN et sur l'appication Eurosport player. La prise d'antenne débutera comme d'habitude par l'émission pré-course des " rois de la pédale " #Les RP, suivi de l'étape du jour. La différence sera que sur le player et GCN la prise d'antenne se prolongera d'environ 30 min chaque jour. A noter qu'il y aura régulièrement une rediffusion. Voici le programme et les horaires :


Vendredi 6 mai : RP > 12h10-12h40 / E1 > 12h40-17h15
Samedi 7 mai : RP > 13h30-14h / E1 > 14h-17h15
Dimanche 8 mai : RP > 12h10-12h40 / E1 > 12h40-17h15
Lundi 9 mai : Repos
Mardi 10 mai : RP > 12h05-12h35 / E1 > 12h35-17h15
Mercredi 11 mai : RP > 11h15-11h45 / E1 > 11h45-16h
Jeudi 12 mai : RP > 12h20-12h50 / E1 > 12h50 > 17h15
Vendredi 13 mai : RP > 11h25-11h55 / E1 > 11h55-17h15
Samedi 14 mai : RP > 13h10-13h40 / E1 > 13h40-17h15
Dimanche 15 mai : RP > 11h15-11h45 / E > 11h45-17h15
Lundi 16 mai : Repos
Mardi 17 mai : RP > 12h10-12h40 / E > 12h40-17h15
Mercredi 18 mai : RP > 12h-12h30 / E > 12h30-17h15
Jeudi 19 mai : RP > 11h35-12h05 / E > 12h05-17h15
Vendredi 20 mai : RP > 13h05-13h35 / E > 13h35-17h15
Samedi 21 mai : RP > 12h45-13h15 / E > 13h15-17h15
Dimanche 22 mai : RP > 11h55-12h25 / E > 12h25-17h15
Lundi 23 mai : Repos
Mardi 24 mai : RP > 10h45-11h15 / E > 11h15-17h15
Mercredi 25 mai : RP > 12h10-12h40 / E > 12h40-17h15
Jeudi 26 mai : RP > 13h20-13h50 / E > 13h50-17h15
Vendredi 27 mai : RP > 11h55-12h25 / E > 12h25-17h15
Samedi 28 mai : RP > 11h55-12h25 / E > 12h25-17h15
Dimanche 29 mai : RP > 13h25-13h55 / E > 13h55-17h15





























TEASER VIDÉO










Dernière édition par Delgato le 05 mai 2022, 13:34, édité 12 fois.
#3466418
loloherrera a écrit :
01 mai 2022, 19:15
Delgato...t'es timbré :w00t:
Colossale présentation, j'ai kiffé la partie historique (cette vidéo du Giro 1927 :love: ).

Je te laisse la place de leader par contre :elephant:

Faut deviner les vrais favoris, ou les participants de vcn ? :rabbit:
Merci, je kiffe Lucho, mais si tu veux on part co-leader ? :smile:
#3466426
J'allais te féliciter pour cet immense travail, mais je vois que je ne suis pas dans la Start List, j'étais pourtant le premier Islandais à participer à un GT, ça aurait du te marquer. Donc tant pis pour toi :elephant:

A noter que les 4 dernières éditions ont été remportés par un Ineos, même si Carapaz ne portait pas encore ces couleurs lors de sa victoire.
#3466428
Bonne nouvelle, on me signale à l'instant que notre reporter et historien en chef :study: le dénommé Ancelin, nous gratifiera de ses fameux topos historiques lors d'étapes de ce Giro.
:love: :banana: :pompom:
Pour ma part je vous ferais juste un petit point méteo tous les jours normalement, en plus des horaires de départ et d'arrivée qui sont en spoiler
#3466434
Dreki a écrit :
01 mai 2022, 19:58
J'allais te féliciter pour cet immense travail, mais je vois que je ne suis pas dans la Start List, j'étais pourtant le premier Islandais à participer à un GT, ça aurait du te marquer. Donc tant pis pour toi :elephant:

A noter que les 4 dernières éditions ont été remportés par un Ineos, même si Carapaz ne portait pas encore ces couleurs lors de sa victoire.
J'ai selectionné en fonction des groupes, et en me basant principalement sur le classement des top posteurs du forum pour l'ordre des dossards :spamafote:
Mais si j'avais monté une équipe Ciné Quiz, tu aurais été nommé leader :smile:
#3466450
Il famoso _plus dur des trois grands tours ! Pas très enthousiasmé par le parcours par rapport à d'autres années : manque de grosses étapes de montagne peut-être et finalement assez peu d'étapes indécises, enfin comme toujours ce sont les coureurs qui font la course (dernièrement on est plutôt servi, hormis au pays du gruyère :swiss: ).

Tout ça est bien peu face à l'excitation qui nous anime, le premier des trois grands tours dans une semaine, des paysages magnifiques !

Et merci pour le boulot fourni pour la présentation Delgato, presque à en faire rougir un certain lamantin.
#3466458
magistrale présentation .La partie historique (j ai 74 ans.....) m'a beaucoup touché et m a rapelé des souvenirs grandioses .La première victoire de charly Gaul sous la neige ,la pisette de charly gaul attaqué par le rusé Bobet pendant la dite pissette ....les giros de rafael geminiani dans l'equipe du grand Fausto Coppi ,Bartali, binda etc ;Un grand Merci Delgato !
#3466459
Merci !
Non, loin de moi l'idée de faire de l'ombre à Albator, ( ni à tous ceux qui sont nombreux à s'investir, et à faire régulièrement de très nombreuses présentations comme Zach, ou qui organisent énormement de jeux comme Pagliaorba :agenou: ) qui a réalisé par le passé de super prez comme le Giro 2016 entre autre qui me vient à l'esprit. :super: Et qui m'a inspiré et aidé en me donnant la bonne idée de séparer la présentation en plusieurs parties ( car je dépassais le nombre de caractères maximum aurorisés :green: ). Le road book aussi c'est grâce à lui ... Je lui dédie d'ailleurs cette préz tiens :wink:
Dernière édition par Delgato le 01 mai 2022, 21:10, édité 2 fois.
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peu de monde parle de sir fred wright aussi ou de […]

Merci pour cette jolie présentation :super[…]

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