- 23 avr. 2022, 21:49
#3462661
Il me semble que levrai-dufaux, il y a plusieurs mois, t'avait aidé dans ton questionnement en rappelant (en substance hein, je résume un max ) que ce à quoi on assiste ces dernières années a longtemps été la norme. Et que la véritable interrogation concernait plutôt l'hyper-spécialisation des coureurs dans les années 90-2000.
Physiquement, scientifiquement, je n'ai malheureusement rien à t'apporter vu que je n'y connais rien.
Mais je remarque que Sagan, au fond du trou aujourd'hui, restera dans ma mémoire comme le premier coureur que j'ai pu observer de mes yeux qui aura su prendre du plaisir et bousculer des schémas bien établis. En plus de l'image "cool" qu'il aura su véhiculer auprès de gens qui ne suivent pas ou peu le cyclisme. Il m'apparaît comme le premier jalon des coureurs qui nous donnent du plaisir par leur présence tout au long de l'année.
Ensuite sont arrivés Alaphilippe, Van der Poel et Van Aert, et il faut bien dire que Pogacar fait plaisir à voir tant il paraît faire partie des très grands, s'étant distingués sur les GT et se montrant redoutable sur les classiques.
Et je ne parle là que des méga-stars actuelles, Teuns prouve qu'il y en a d'autres et des bons.
@Dolidolipr4ne a écrit : ↑23 avr. 2022, 18:41Je sais bien, mais je ne parle pas de ça.SnakePlissken a écrit : ↑23 avr. 2022, 18:36A l'époque de la coupe du monde, ils étaient un paquet à enchainer les classiques, pour y marquer un max de points. J'ai le vague souvenir que Tchmil allait jusqu'au Tour de Lombardie, alors que c'était pas franchement une classique pour lui. Il y avait bien sûr des impasses de certains, notamment sur PR, mais pour ceux qui visaient un bon classement, il fallait être présent tout le temps sur ces 10 courses. C'était plutôt sympa.
Ce qui m’étonne, c’est comment on a pu croire, lors des deux décennies precedentes disons, qu’il ne fallait suuuuuuuuuurtout pas s’éparpiller pour perfer, et qu’aujourd’hui on constate l’exact inverse pour de plus en plus de coureurs.
C’est ce gouffre entre 2010 et 2022 que je ne comprends pas. Mais bon, Allezlasse a deja relativisé mon constat avec quelques exemples récents (bon ça reste tres juste comme échantillon quand meme, avec en plus les deux annees precedentes de Teuns au sein d’un calendrier chamboulé).
Il me semble que levrai-dufaux, il y a plusieurs mois, t'avait aidé dans ton questionnement en rappelant (en substance hein, je résume un max ) que ce à quoi on assiste ces dernières années a longtemps été la norme. Et que la véritable interrogation concernait plutôt l'hyper-spécialisation des coureurs dans les années 90-2000.
Physiquement, scientifiquement, je n'ai malheureusement rien à t'apporter vu que je n'y connais rien.
Mais je remarque que Sagan, au fond du trou aujourd'hui, restera dans ma mémoire comme le premier coureur que j'ai pu observer de mes yeux qui aura su prendre du plaisir et bousculer des schémas bien établis. En plus de l'image "cool" qu'il aura su véhiculer auprès de gens qui ne suivent pas ou peu le cyclisme. Il m'apparaît comme le premier jalon des coureurs qui nous donnent du plaisir par leur présence tout au long de l'année.
Ensuite sont arrivés Alaphilippe, Van der Poel et Van Aert, et il faut bien dire que Pogacar fait plaisir à voir tant il paraît faire partie des très grands, s'étant distingués sur les GT et se montrant redoutable sur les classiques.
Et je ne parle là que des méga-stars actuelles, Teuns prouve qu'il y en a d'autres et des bons.