Nopik a écrit : ↑21 oct. 2021, 12:47
On peut supposer que toute la pharmacopée pour essayer de mieux récupérer y passe dans ces équipes ultra "pro"
On se souvient encore de la pharma de Sharapova, pourtant tout à fait légale: sérieux, la meuf etait blindée de medocs, une vraie mourante….et oops un jour de janvier, le doc a oublié de lire la mise à jour des produits interdits et pan….y en a un qu’elle prend depuis des années qui vient de passer sur la liste noire.
C’est ce que je souhaitais dire hier: je suis absolument certain (et vraiment désolé si je casse le beau joujou de certains mais le vélo a laaaaaaaaaaaargement montré à quel point il est en avance sur ce plan et à quel point il reste gangrené par la presence d’anciens pros ayant baigné dans le dopage lourd pendant les annees noires; tu avais meme trouvé la photo d’un « medecin » banni à vie du monde du vélo se balader trangquillou sur une epreuve WT, discutant avec des equipes et meme des membres de l’UCI………..
) que certaines equipes poussent tout ce qu’ils peuvent pousser, utilisent tout ce qui est possible et imaginable et contournent tout ce qui est contournable. Je n’irais pas jusqu’à dire que certaines equipes sont plus vertueuses que d’autres, mais plutot que certaines equipes sont bien plus vicieuses que d’autres.
Et j’imagine aussi que meme les pratiques les moins dégueu ont tendance à l’etre davantage si c’est toujours plus la fete du slip chez les autres. Y a un effet exponentiel, quoi.
A l’interieur des equipes, je pense que certains coureurs se dopent plus ou moins activement, c’est-à-dire en toute conscience et meme de façon volontariste.
Je pense que certains coureurs sont disons peu regardants, faisant confiance au staff medical ou ne se posant pas vraiment de questions, estimant en gros que ça n’est ni leur probleme ni leur responsabilité.
Et j’ai meme dans l’idée que certains coureurs sont parfois « dopés » à leur insu.
Et sans voir le mal partout, c’est meme assez normal de devoir, comme n’importe qui n’ayant pas fait dix ans d’etudes, faire confiance à son medecin. Les gars n’ont pas le temps de décortiquer les notices ni d’analyser le contenu de la décoction que le doc’ leur apporte au dessert.