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Modérateur : Modos VCN

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Par Adryy8
#3311604
blouss_ a écrit :
20 avr. 2021, 10:39
C'est peut-être idiot mais je me demande si ce qu'on a vu en Turquie n'est pas le résultat d'une espèce d'opposition entre grosses et petites équipes, qui n'ont plus tellement l'habitude de courir ensemble. Les "petites" équipes ont joué des coudes pour se faire une place, les "grosses" pour se faire respecter.
Tu peux retirer le "qui n'ont plus tellement l'habitude de courir ensemble". Sur ce type de course, où il y a un meritable mix en temre d'équipe et de niveau, les gros sont toujours dans une position d'intimidation, ce qu'on n'a vu recemment n'est pas nouveau et ça arrive à chaque fois, à la limite ça a été plus remarqué car ça faisait longtemps que ça n'a pas été vu par les spectateurs, et tu as eu l'incident Groenewegen, qui je suis convaincu va changer à long terme la perspective vis à vis des sprints, mais ce n'est pas différent d'avant, pas plus ou moins aggréssif.
Par luckywinner
#3311606
JFKs a écrit :
20 avr. 2021, 09:37
luckywinner a écrit :
19 avr. 2021, 16:01


Marrant ce post, il reproche à des mécanos de ne pas en faire assez avant de se plaindre du risque de burn out. :hate: :hate:
Si s'occuper de la chaîne d'un vélo sur une course WT est susceptible de mener au burn out, on peut effectivement se questionner sur un choix de carrière. :rabbit: On peut partir du principe qu'en course, on peut demander cet effort à l'équipe technique et que ça fait partie du travail de base.

Par ailleurs, dans l'interview, Dillier ne lie pas burn out à ces périodes de courses forcément intenses et stressantes (longues journées pour tout le monde), mais plutôt au fait qu'après l'entraînement journalier sur le vélo, les coureurs ne cessent de penser au travail, au fait de bien devoir se nourrir, se reposer, etc. Il dit qu'il est difficile d'avoir une bonne balance entre vie privée et professionnelle, car cette dernière est toujours présente tant tout est mis en oeuvre pour optimiser les performances.

Là aussi, on peut difficilement comparer avec le travail d'un mécano qui après sa journée de travail peut se boire une bière tranquille.
Je pense pas que mon post méritait une réponse, car le discours de Dillier envers les mécanos étaient dans tous les cas inadaptés (code du travail....).
C'est pas les mécanos qu'il faut critiquer c'est la direction. :wink:

Tu penses qu'un mécanicien ne peut pas penser aux vélos qu'il doit bichonner en dehors des heures de travail? :wink:

Les mécaniciens (et le reste de l'encadrement), ont des rythmes particulièrement difficiles en temps de course (réglage des vélos matin et soir plus généralement des transferts à réaliser en journée (conduite de véhicule, par moment en course avec la concentration nécessaire), avec par moment des demandes particulières de certains coureurs, à prendre en compte au jour le jour.
Je ne dis pas que leur métier est plus difficile que cycliste professionnel, mais le discours de Dillier est simplement inadapté.
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Par sutter7
#3311614
luckywinner a écrit :
20 avr. 2021, 10:57
JFKs a écrit :
20 avr. 2021, 09:37


Si s'occuper de la chaîne d'un vélo sur une course WT est susceptible de mener au burn out, on peut effectivement se questionner sur un choix de carrière. :rabbit: On peut partir du principe qu'en course, on peut demander cet effort à l'équipe technique et que ça fait partie du travail de base.

Par ailleurs, dans l'interview, Dillier ne lie pas burn out à ces périodes de courses forcément intenses et stressantes (longues journées pour tout le monde), mais plutôt au fait qu'après l'entraînement journalier sur le vélo, les coureurs ne cessent de penser au travail, au fait de bien devoir se nourrir, se reposer, etc. Il dit qu'il est difficile d'avoir une bonne balance entre vie privée et professionnelle, car cette dernière est toujours présente tant tout est mis en oeuvre pour optimiser les performances.

Là aussi, on peut difficilement comparer avec le travail d'un mécano qui après sa journée de travail peut se boire une bière tranquille.
Je pense pas que mon post méritait une réponse, car le discours de Dillier envers les mécanos étaient dans tous les cas inadaptés (code du travail....).
C'est pas les mécanos qu'il faut critiquer c'est la direction. :wink:

Tu penses qu'un mécanicien ne peut pas penser aux vélos qu'il doit bichonner en dehors des heures de travail? :wink:

Les mécaniciens (et le reste de l'encadrement), ont des rythmes particulièrement difficiles en temps de course (réglage des vélos matin et soir plus généralement des transferts à réaliser en journée (conduite de véhicule, par moment en course avec la concentration nécessaire), avec par moment des demandes particulières de certains coureurs, à prendre en compte au jour le jour.
Je ne dis pas que leur métier est plus difficile que cycliste professionnel, mais le discours de Dillier est simplement inadapté.
En l'occurrence, c'est bien l'équipe et son organisation qu'il cible dans l'entretien (désolé si ce n'est pas ressorti dans ma retranscription). Les mécanos sont cités en exemple pour illustrer que les exigences posées aux coureurs ne sont pas uniformes sur tous les aspects de l'équipe, ce qui a beaucoup pesé sur son mental. Ce qu'il critique avant tout est l'incapacité de lui fournir un matériel correct durant une semaine, sur l'une des courses les plus importantes du monde alors que tant de sacrifices lui sont demandés.
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Par veji2
#3311625
N'empêche ces histoires de coureur qui font barrage et osent se plaindre, on a eu Tony Martin, là c'est Dowset, c'est un des trucs qui me dégoutent le plus dans le cyclisme pro, cette manière des grosses équipes d'intimider les CP et autres francs tireurs, ça devrait être sanctionné ce truc, faire barrage sur toute la largeur et essayer de mettre dans le bas flanc de la route les mecs qui veulent sortir ça devrait être un petit DSQ et à la casa direct...

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Par sutter7
#3311633
veji2 a écrit :
20 avr. 2021, 12:15
N'empêche ces histoires de coureur qui font barrage et osent se plaindre, on a eu Tony Martin, là c'est Dowset, c'est un des trucs qui me dégoutent le plus dans le cyclisme pro, cette manière des grosses équipes d'intimider les CP et autres francs tireurs, ça devrait être sanctionné ce truc, faire barrage sur toute la largeur et essayer de mettre dans le bas flanc de la route les mecs qui veulent sortir ça devrait être un petit DSQ et à la casa direct...
200% d'accord. C'est une plaie et j'espère que des sanctions seront prises rapidement.
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Par Teteoo
#3311642
veji2 a écrit :
20 avr. 2021, 12:15
N'empêche ces histoires de coureur qui font barrage et osent se plaindre, on a eu Tony Martin, là c'est Dowset, c'est un des trucs qui me dégoutent le plus dans le cyclisme pro, cette manière des grosses équipes d'intimider les CP et autres francs tireurs, ça devrait être sanctionné ce truc, faire barrage sur toute la largeur et essayer de mettre dans le bas flanc de la route les mecs qui veulent sortir ça devrait être un petit DSQ et à la casa direct...
Tellement d'accord. Ça me dégoute, et ça me rappelle le monde universitaire.
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Par pascal94100
#3314093
Leo Van Bon s'amuse bien sur Twitter. Il a lancé un délire autour de la photo d'Alaphilippe à l'arrivée de la flèche Walonne.
Voici un exemple !
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Par jicébé
#3315574
La Ligue Nationale de Cyclisme et la Fédération Française de Cyclisme ont adressé une lettre ouverte à E. Macron:

"Monsieur le Président de la République,

Les associations représentant le cyclisme professionnel français et la Ligue Nationale de Cyclisme souhaitent vous saisir de leurs plus vives inquiétudes face à la situation difficile, parfois désespérée, dans laquelle notre sport est plongé cette année tout particulièrement.
En effet, sur ordre des préfectures, nous sommes confrontés à un arrêt brutal des compétitions professionnelles en France depuis la mi-mars et l’arrivée de Paris-Nice, alors que, dans le même temps, nos voisins européens n’ont pas renoncé au principe de la continuité du sport professionnel, créant ainsi de graves distorsions, à la fois sportives et financières, préjudiciables aux organisateurs, aux équipes et aux coureurs de notre pays.

Alors qu’en 2020, à la même époque, nous pouvions nous féliciter d’un calendrier européen occupé à hauteur de 50% d’épreuves françaises, nous sommes cette année relégués au dernier rang. Pourquoi cette situation, alors que nous n’avons cessé de renforcer nos mesures sanitaires, allant même parfois au-delà des exigences gouvernementales ?
Depuis l’an dernier, avec l’appui de notre Fédération internationale, nous avons mis en place un protocole sanitaire contraignant pour tous les acteurs du cyclisme qui s’y plient. Nous avons la modestie de penser qu’il est efficace puisque nous ne déplorons aucun cluster sur le territoire pour un sport, qui, devons-nous le souligner, se pratique en plein air et ne peut concentrer de foules massives eu égard aux nombreux dispositifs dissuasifs mis en place.

Aujourd’hui, nous lançons un cri d’alerte. Le cyclisme professionnel est en danger. Nous sommes fiers de compter parmi nous le champion du monde en titre, Julian ALAPHILIPPE, de disposer de la plus grande épreuve mondiale, le Tour de France. Malheureusement, derrière ces belles vitrines, se cache une réalité moins réjouissante :
• Nos organisations bénévoles qui participent à la solidité d’un tissu social de proximité sont en détresse, certaines au bord du dépôt de bilan, quand d’autres, nombreuses, souhaitent tout simplement « laisser tomber »,
• Nos équipes professionnelles, plus particulièrement nos sept équipes de 2ème et 3ème division, sont quasiment au chômage ou contraintes de s’expatrier hors Europe pour tenter de rester compétitives.
• Nos coureurs s’inquiètent d’une disparité sportive hors norme qui entame leur compétitivité et affaiblit leur mental. Comment préparer correctement le Tour de France et les plus prestigieuses épreuves dans ces conditions adverses ?

Malgré nos demandes réitérées, notre sport n’est pas répertorié parmi les disciplines et les clubs exposés durablement à la pandémie. Il ne bénéficie donc pas d’un soutien dédié de la part de l’Etat, exception faite de mesures à caractère général sans réel rapport avec la profondeur de la crise que nous traversons. Les équipes du Premier Ministre en charge du sport et le ministère chargé des sports disposent de la liste détaillée des solutions qui pourraient apporter ce ballon d’oxygène dont nous manquons cruellement.

Face à ces urgences sportive, sociale, associative, entrepreneuriale, pour un sport populaire et discipliné, il est plus que temps que le gouvernement et ses représentants régionaux prennent en considération la vulnérabilité préoccupante du cyclisme professionnel français et mesurent, enfin, la gravité réelle de la situation. Ce ne sont pas les organisateurs bénévoles des Quatre Jours de Dunkerque, qui viennent de recevoir un refus préfectoral à moins de quinze jours du départ de leur épreuve les laissant dans une profonde détresse, qui viendront nous contredire.

Nous restons à votre disposition pour, ensemble, trouver les solutions qui permettront au cyclisme français de retrouver sa place dans le concert des nations."

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