Comme je sens que vous n'en pouvez plus d'attendre au vu des nombreuses réactions à mon précédent post, voici en guise de cadeau de Pâques avant l'heure les 2 dernières étapes.
#14:
La Seu d’Urgell - Col du Tourmalet, 239 km.
«Il Tappone», le vainqueur final sacré au Tourmalet, où le mémorial Jacques-Goddet rend hommage au concepteur d’un «Tour de l’an-2000» utopique, inspiration de ce «Tour de l’an(ti)-Corona».
- Combinaison de l’étape 16 du Tour 1993 (Andorre – Saint-Lary-Soulan), de La Seu d’Urgell au sommet du Col de Peyresourde, …
http://www.memoire-du-cyclisme.eu/eta_t ... map-16.jpg (de La Seu d’Urgell à Peyresourde).
… et de l’étape 16 du Tour 1964 (Luchon – Pau) du sommet du Col de Peyresourde au sommet du Col du Tourmalet.
http://www.memoire-du-cyclisme.eu/eta_t ... map-16.jpg (de Peyresourde au Tourmalet).
- Parcours: Port del Canto, 1725 m (km 33), Puerto de la Bonaigua, 2072 m (km 107), Col du Portillon, 1293 m (km 154), Col de Peyresourde, 1569 m (km 179), Col d’Aspin, 1489 m (km 209) et Col du Tourmalet, 2114 m, arrivée au sommet.
- Profils :
Port del Canto, 26,3 km à 4,2%, max 8%, GPM cat.2
https://www.cols-cyclisme.com/pyrenees- ... -c3089.htm
Puerto de la Bonaigua, 19,8 km à 5,7%, max 8,6%, GPM cat.1
https://www.cols-cyclisme.com/pyrenees- ... u-c543.htm
Col du Portillon, 8,6 km à 6,8%, max 7,9%, GPM cat.2
https://www.cols-cyclisme.com/pyrenees- ... t-c326.htm
Col de Peyresourde, 13,7 km à 6,9%, max 8,8%, GPM cat.1
https://www.cols-cyclisme.com/pyrenees- ... on-c68.htm
Col d’Aspin, 12 km à 6,5%, max 8,7%, GPM cat.1
https://www.cols-cyclisme.com/pyrenees- ... eau-c9.htm
Col du Tourmalet, 17,2 km à 7,4%, max 10%, GPM HC
https://www.cols-cyclisme.com/pyrenees- ... an-c64.htm
#15:
Montgeron – Paris, 103 km.
Quitte à en terminer par la traditionnelle arrivée à Paris et son carrousel autour de «la plus belle avenue du monde», autant partir de là où a démarré en 1903 le tout premier Tour de l’Histoire.
- Intégralité de l’étape 21 du Tour 2017.
https://www.ledicodutour.com/images/201 ... 017_21.jpg
- Parcours: 8 tours de circuits de 7 km, 9 passages sur les Champs-Elysées.
Et le récapitulatif:
#1:
Lille - Roubaix, 193 km.
Un petit Paris-Roubaix avec 14 secteurs pavés, dont le final quasi-intégral du vrai «Enfer du Nord». Une affaire de spécialistes: certains favoris présumés pourraient perdre le Tour dès la 1ère étape!
#2:
Roubaix – Bruxelles, 170 km.
Quelques-uns des monts pavés du Tour des Flandres, mais le « Muur » semble situé un peu loin pour créer une décision définitive. Les sprinters les plus «Flandriens» pour une arrivée «royale» ?
#3:
Huy (Ampsin) – Hasselt, 209 km.
Un parcours vallonné dès le départ, avec notamment 2 des côtes les plus emblématiques de Liège-Bastogne-Liège, avant un final plat pour les sprinters rescapés de la «Bataille des Ardennes».
#4:
Fribourg-en-Brisgau (Freiburg) - Mulhouse, 58 km
Un contre-la-montre individuel sur un parcours intégralement plat et d’une distance plus qu’appréciable : place aux vrais rouleurs.
#5:
Besançon – Oyonnax, 187 km.
Un avant-goût de la montagne pour une étape qui devrait favoriser autant les baroudeurs que les hommes forts pouvant profiter d’un parcours en dents de scie sur les 50 derniers km.
#6:
Saint-Julien-en-Genevois – Alpe d’Huez, 196 km.
La première arrivée au sommet, qui est aussi la célébration de la plus ancienne arrivée en altitude de toute l’histoire du Tour, magnifiée par l’exploit magistral d’un certain Fausto Coppi.
#7:
Le Lautaret – Pinerolo, 211 km.
Les Alpes, les «plus de 2000», le toit du Tour, mais aussi (et surtout ?) les descentes, 28 km dès le départ, et «à tombeau ouvert» (jusqu’à plus de 14% !) juste avant l’arrivée en Italie.
#8:
Cuneo – Nice, 289 km.
Un retour aux temps héroïques, avec une étape-marathon, via la Boucle de Sospel (empruntée de 1911 à 1947!), et un «Retour vers le futur», avec le final corsé d’une étape qui aura lieu (?) en 2020.
#9:
San Remo Circuito dei Fiori, 174 km.
Un circuit qui n’utilise du parcours de Milan-Sanremo «que» la descente du Poggio (à 3 reprises quand même!), mais vaut aussi par un tracé en montagnes russes dans l’arrière-pays.
#10:
Mont Ventoux, 21,5 km.
La seule fois où la montée sèche en contre-la-montre du Géant de Provence avait été effectuée, les 2 meilleurs grimpeurs de l’époque (et de l’Histoire ?) avaient écrasé l’opposition : bis repetita ?
#11:
Sète – Lavelanet, 241 km.
Une étape de transition, mais il en faut dans un GT. Les sprinters devront toutefois surmonter un relief quelque peu tourmenté en fin de parcours pour pouvoir en découdre.
#12:
Ax-les-Thermes - Barcelone, 241 km.
2 cols d’entrée de jeu, probablement sans autre influence que d’encourager les offensives, avant de clôturer en beauté l’arrivée en Espagne par un triple passage sur la colline de Montjuich.
#13:
Barcelone – Escaldes-Engordany, 205 km.
Un final en Andorre pour le hors-d’œuvre Pyrénéen, un col avec des pourcentages maxi parmi les plus élevés de l’épreuve, et l’arrivée jugée juste au bas de la descente du dernier de la série.
#14:
La Seu d’Urgell - Col du Tourmalet, 239 km.
«Il Tappone», le vainqueur final sacré au Tourmalet, où le mémorial Jacques-Goddet rend hommage au concepteur d’un «Tour de l’an-2000» utopique, inspiration de ce «Tour de l’an(ti)-Corona».
#15:
Montgeron – Paris, 103 km.
Quitte à en terminer par la traditionnelle arrivée à Paris et son carrousel autour de «la plus belle avenue du monde», autant partir de là où a démarré en 1903 le tout premier Tour de l’Histoire.
Voilà, c'est fini ...
... sauf si @CaramelMou, tu continues à te sentir d'attaque et motivé pour la suite des profils, ...