- 23 janv. 2020, 10:25
#3109662
"My heart rare doesn't go up, i'm tired"
Je vous rejoins mais dans ce cas-là, psychologiquement, le fait de ne pas voir que l'on est mal peut éviter de flancher dans la tête et permettre de gagner quelques watts en étant dans le déni. Je veux dire que pour les coureurs un peu anxieux qui passent leur temps à regarder leur SRM, ne plus en avoir peut leur éviter de justifier intérieurement qu'il ne sont pas dans un bon jour, et de se faire lâcher. Bref, de s'accrocher un peu plus, de laisser le mental prendre le dessus pour trouver le fameux second souffle, ce ne serait pas une mauvaise idée.
Un coureur suiveur, comme 90% du peloton, doit chercher à s'accrocher coûte que coûte à son objectif et n'a donc pas besoin de SRM en course : si tu vises un top 10 en montagne, tu dois t'accrocher jusqu'à rester dans les 10 derniers, puis gérer. Et c'est que dans cette phase de gestion que le SRM est important. L'utiliser avant peut-être contre-productif
Je vous rejoins mais dans ce cas-là, psychologiquement, le fait de ne pas voir que l'on est mal peut éviter de flancher dans la tête et permettre de gagner quelques watts en étant dans le déni. Je veux dire que pour les coureurs un peu anxieux qui passent leur temps à regarder leur SRM, ne plus en avoir peut leur éviter de justifier intérieurement qu'il ne sont pas dans un bon jour, et de se faire lâcher. Bref, de s'accrocher un peu plus, de laisser le mental prendre le dessus pour trouver le fameux second souffle, ce ne serait pas une mauvaise idée.
Un coureur suiveur, comme 90% du peloton, doit chercher à s'accrocher coûte que coûte à son objectif et n'a donc pas besoin de SRM en course : si tu vises un top 10 en montagne, tu dois t'accrocher jusqu'à rester dans les 10 derniers, puis gérer. Et c'est que dans cette phase de gestion que le SRM est important. L'utiliser avant peut-être contre-productif
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