- 15 sept. 2020, 15:42
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Des mécanismes d'action directe ou indirectes peuvent être à l’œuvre. La vérité c'est que sur les efforts à haute intensité il y a un énorme progrès dans tout les sports ou c'est objectivable ces dernières années et des "effets de groupes" ou certains semble trouver la recette par groupe. Bref si c'est pas les cétones c'est autre chose
Les cétones se révéleraient utiles pour augmenter les charges d’entraînement selon certaines études. En particulier pour des entraînements à pleine charge donc utile pour les pistars ou les sprinteurs long en athlé (qui en consomment visiblement).Bradounet_ a écrit : ↑15 sept. 2020, 15:30Pour les pistards, il est impossible que les cétones aient eu un quelconque impact sur la performance.GracchusBabeuf a écrit : ↑15 sept. 2020, 12:24Les perfs incroyable dans les efforts à forte sollicitation énergétique (cyclisme avec aussi la piste, athlé, triathlon, aviron) et les sur-dominations de nations dans les sports ou il est plus difficiles de déterminer un niveau de perf objectif (coucou le biathlon francais) sont légion post 2012. Maintenant on sait que des tests ont été effectué par les anglais en amont des JO sur les cétones. C'est pas à proprement parlé du dopage mais ca expliquerai beaucoup de chose. Je sait que certains ici doute de l'effet des cétones et presque ramèneraient ca à un effet placebo mais les grands britons ont outrageusement dominer le cyclisme à ces JO (sur pistes il y a forcément un truc c'est trop gros), ont surperformé dans les disciplines énergétiques en athlé (et peu dans le reste donc l'effet maison....), idem pour les rameurs et le triathlon.
Bien sur ca peut être autre chose, mais l'utilisation de substrat hyper énergétique (cétone ou autre) est une piste qui coche beaucoup de case. Que des groupes de gens progressent comme ca par "pool d’entraînement" ca cache forcément quelque chose. Les "inversions de hiérarchie" aussi. A l'EPOque les "moins bon répondeurs" se sont retrouvées loin derrières des mecs qu'ils battaient à plate couture les années d'avant. Tous dopés ne donne pas le même classement que tous pas dopées (mettre de l'EPO à un vincent Vittoz qui tourne à 53 d'hématocrite ca le feras moins progresser " que Bjarn Riss qui part de 41)
Après il faudra peut être redéfinir les limites de ce qui est dopant ou non.
Le problème c'est que 15 mecs qui sont devant les temps de Pantani ca va faire désordre et que notre sport favori est pour son plus grand malheur le seule auquel on lie intrinsèquement le dopage (avec le culturisme et l’haltérophilie peut être).
Sur des efforts très courts en anaérobie, ça ne sert à rien.
Des mécanismes d'action directe ou indirectes peuvent être à l’œuvre. La vérité c'est que sur les efforts à haute intensité il y a un énorme progrès dans tout les sports ou c'est objectivable ces dernières années et des "effets de groupes" ou certains semble trouver la recette par groupe. Bref si c'est pas les cétones c'est autre chose