Il y a aussi sans doute le fait qu'il faut atteindre un kilométrage minimum sur les 3 semaines. Et comme ce Giro propose 3 CLM relativement courts, il faut bien compenser en allongeant sérieusement la distance de certaines étapes en ligneflahutes12 a écrit : ↑18 mai 2019, 12:00Et alors, les organisateurs reviennent aux fondamentaux du cycliste qui était avant tout un sport d'endurance. Je suis surpris que tu t'étonnes que l'étape du Gavia et Mortirolo fasse 230 km. Tu ne te souviens plus de l'étape de Sestrières de Chappucci qui faisait 254 km. Le Giro a toujours proposé de ce genre d'étapes qui ont fait que les grands champions. Sans parler de Hamsten en 1988 dans les Dolomites dans le froid et la neige. Et que l'on ne me parle pas qu'en ce temps, le bla-bla habituel qui va ressortir. Non les coureurs acceptaient la douleur, et un directeur de course comme Torriani n'état pas du genre à se laisser dicter le déroulement de sa course.
En le rapportant à notre petit niveau, on voit bien les parcours cyclosportifs ne proposent plus de longs parcours qui ont tant fait le charme de ces épreuves. Rares sont ceux qui dépassent 150 km, même so on va me ressortir des exceptions. C'est une autre époque, un autre temps.
Et pour en revenir au Giro, je suis content que l'on propose des étapes qui ont le charme d'antan, même si l'on sait que les premières heures ne seront celles pendants lesquelles il y aura de la bagarre, mais une longue procession du peloton.