- 18 avr. 2019, 12:02
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Si c'est inexorable, inutile d'en parler. Il y a aussi des signes encourageants dans l'économie du cyclisme, pro ou amateur. Quand j'ouvre lequipe.fr (rarissime), je lis Football - Rugby - Tennis - Cyclisme, et les fédés cyclisme + cyclotourisme ça fait 230000 licenciés, ça pèse quand même. Pour en revenir à PR, le désamour ne me paraît pas palpable au bord des routes (bon, il y a un gros public belgo-néerlandais). La couverture médiatique ne fait pas tout.zwhisop a écrit : ↑18 avr. 2019, 11:03HistoriqueJe regardais Samedi,à Compiegne, l'histoire des Unes de L equipe sur Paris Roubaix . Peu de monde.L avant veille de la disparition de paris Roubaix de la Une. ; Un evenement evocateur de mutations profondes dont personne,sauf ici, dans le milieu velo, ne fait etat. Gène, malaise, desinteret, incapacite d'analyse,comme des politiques d'autruche? Une lente et inexorable desaffection dont personne ne veut parler.
Pour un cyclisme d'avant-guerre, sauvagement beau, entre Carniole, Cantabrie et Bouches-du-Rhin (avec quelques Abyssins), sans laborantins, dollars, UCI, 4x4 et gagne-petits.