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Modérateur : Modos VCN

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Par Ancelin
#3043066
Thor8_one a écrit :
20 juil. 2019, 11:49
Ancelin a écrit :
20 juil. 2019, 11:09
De toute façon il va falloir faire quelque chose pour les cétones, soit que toutes les équipes en prennent ou soit que ça soit interdit.
Le fossé entre les équipes cette saison est dû à ça je pense, DQS, Jumbo, Astana, Bora, Mitchelton, Ineos doivent en prendre je pense.
Au contraire CCC, AG2R ( :elephant: ), Lotto, DD, Katusha (pour une fois qu'il sont "clean" :green: )ne doivent pas en prendre vu leur niveau de début de saison. :spamafote:

Ma mère qui est diététicienne m'a dit que une prise en trop grande quantité de cétones pouvait entrainé une crise cardiaque (bon après elle sait plus trop ce que c'est).
Je ne suis pas d'accord avec toi.
Si il y a un problème de santé, alors au pouvoir publics de faire leurs job.
Si le soucis est une amélioration des performances alors aux instances antidopage de faire leurs job.
Si personne interdit le produit pourquoi l interdire ?

Dans ce cas interdisons les bons descendeurs de descendre à plus de 80km/h, ou aux rouleurs de rouler à 60km/h pour préparer un sprint...

Bref à partir du moment où c est autorisé chacun fait ce qu il veut en son âme et conscience.
Oui mais dans ce cas là que toutes les équipes l'utilise (comme les gels ou barres énergétiques) sinon il y aura toujours un écart de niveau entre ceux qui l'utilisent et ceux qui l'utilisent pas. :spamafote:

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Par stereoking69
#3043080
Ancelin a écrit :
20 juil. 2019, 11:54
Thor8_one a écrit :
20 juil. 2019, 11:49


Je ne suis pas d'accord avec toi.
Si il y a un problème de santé, alors au pouvoir publics de faire leurs job.
Si le soucis est une amélioration des performances alors aux instances antidopage de faire leurs job.
Si personne interdit le produit pourquoi l interdire ?

Dans ce cas interdisons les bons descendeurs de descendre à plus de 80km/h, ou aux rouleurs de rouler à 60km/h pour préparer un sprint...

Bref à partir du moment où c est autorisé chacun fait ce qu il veut en son âme et conscience.
Oui mais dans ce cas là que toutes les équipes l'utilise (comme les gels ou barres énergétiques) sinon il y aura toujours un écart de niveau entre ceux qui l'utilisent et ceux qui l'utilisent pas. :spamafote:
Et vous êtes sur que ça donne +15 % aux performances ? :reflexion:
Car je trouve ce chiffre énorme, autant +4/+5 % ok mais +15 % :siffle:
Avatar de l’utilisateur
Par Ancelin
#3043088
stereoking69 a écrit :
20 juil. 2019, 12:07
Ancelin a écrit :
20 juil. 2019, 11:54


Oui mais dans ce cas là que toutes les équipes l'utilise (comme les gels ou barres énergétiques) sinon il y aura toujours un écart de niveau entre ceux qui l'utilisent et ceux qui l'utilisent pas. :spamafote:
Et vous êtes sur que ça donne +15 % aux performances ? :reflexion:
Car je trouve ce chiffre énorme, autant +4/+5 % ok mais +15 % :siffle:
J'espère que non...
Avatar de l’utilisateur
Par Thor8_one
#3043099
Ancelin a écrit :
20 juil. 2019, 11:54
Thor8_one a écrit :
20 juil. 2019, 11:49


Je ne suis pas d'accord avec toi.
Si il y a un problème de santé, alors au pouvoir publics de faire leurs job.
Si le soucis est une amélioration des performances alors aux instances antidopage de faire leurs job.
Si personne interdit le produit pourquoi l interdire ?

Dans ce cas interdisons les bons descendeurs de descendre à plus de 80km/h, ou aux rouleurs de rouler à 60km/h pour préparer un sprint...

Bref à partir du moment où c est autorisé chacun fait ce qu il veut en son âme et conscience.
Oui mais dans ce cas là que toutes les équipes l'utilise (comme les gels ou barres énergétiques) sinon il y aura toujours un écart de niveau entre ceux qui l'utilisent et ceux qui l'utilisent pas. :spamafote:
Qui interdit à ag2r ou Arkea de l utiliser ?

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Par TheChosenOne6
#3043102
Le médecin d’Arkea a répondu à cette question. D’après lui il y a des doutes sur les potentiels effets néfastes du produit sur la santé des coureurs. Donc principe de précaution, on ne l’utilise pas.
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Par Thor8_one
#3043104
TheChosenOne6 a écrit :
20 juil. 2019, 12:53
Le médecin d’Arkea a répondu à cette question. D’après lui il y a des doutes sur les potentiels effets néfastes du produit sur la santé des coureurs. Donc principe de précaution, on ne l’utilise pas.
Bah des médecins sont bien antivax.
Mais ok, qu ils ne l utilisent pas, mais qu ils accusent pas les autre de l utiliser
Par biquet
#3043107
BanditManchot a écrit :
20 juil. 2019, 11:12
albo a écrit :
20 juil. 2019, 11:04
Bah si, faut s’abonner
« Après tant d'années, quel regard portez-vous sur le jeune Bahamontes ?

L'Espagne était très pauvre et je travaillais sur les marchés, je poussais des charrettes à bras de cent kilos, de fruits et de légumes, et ça montait tout le temps, c'est peut-être là que j'ai pris la mesure de ma force, que j'ai appris à apprécier les pentes, leur déclivité. Quand Julian Berrendero m'a sélectionné sur le Tour, en 1954, je venais de gagner le Tour des Asturies devant Bernardo Ruiz et Miguel Poblet, je m'y étais rendu à vélo, 400 kilomètres jusqu'à Mieres ; je n'avais pas d'argent. Sur le Tour, j'avais juste un maillot, une paire de chaussures et deux valises de l'organisation, sur lesquelles on collait nos dossards, la deuxième nous suivait avec nos affaires, d'hôtel en hôtel à bord d'une camionnette. Le chauffeur était surpris, la mienne était vide, je n'avais rien à mettre dedans. J'avais quand même gagné le Grand Prix de la montagne devant Louison Bobet !
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Sur ces Tours de l'après-guerre, Raphaël Geminiani a raconté que, avec la chaleur, il avait un jour retrouvé des vers dans sa musette....

On ne connaissait rien à la diététique, au Tour d'Avila on nous avait donné à manger de la paella, mais « Gem » exagère, comme toujours, je le connais bien. Daniel Dousset (leur manager de l'époque, agent aujourd'hui) nous mettait ensemble dans les critériums parce qu'il parlait italien ; là on se relâchait, Gem carburait au whisky. À La Rochelle, j'avais gagné l'américaine avec Gaul. Le soir, Hassenforder s'était amusé à verser des amphétamines dans le bocal à poissons pour les voir jaillir hors de l'eau !

«Gaul aimait mater les couples dans les chambres. Une nuit, il était monté sur un toit et avait brisé une véranda sous son poids ; on l'a su parce qu'il avait les jambes entaillées par des bouts de verre»

Gaul, c'était votre alter ego luxembourgeois, aussi blond que vous étiez brun...

Oui, mais lui avait un sale caractère, ses équipiers ne l'aimaient pas, à part Marcel Ernzer, le seul à le supporter. Ces deux-là étaient inséparables. Le soir, à l'hôtel, Charly Gaul aimait mater les couples dans les chambres, par les trous. Une nuit, il était monté sur un toit et avait brisé une véranda sous son poids, on avait su que c'était lui parce qu'il avait les jambes entaillées par des bouts de verre. C'était un drôle de type. À Marseille, je crois que sa première femme avait eu une aventure avec Bobet...

... Ce qui explique la "pissette" du Giro, en 1957, Gaul qui s'arrête pour satisfaire un besoin, Gem et Bobet qui l'attaquent, Gaul qui promet de leur ouvrir le ventre...

Il avait travaillé comme garçon boucher. Après, Bobet n'était pas très aimé, on le trouvait présomptueux. Dans un critérium à Toulouse, il m'avait traité de salaud parce que je l'avais battu au sprint ; je lui avais répondu sur le même ton. Il aurait voulu qu'on le laisse gagner tous les critériums au prétexte qu'il était Maillot Jaune. Pour le faire bisquer, Gaul se déplaçait dans une somptueuse voiture américaine, une Buick, trop large pour lui. Après, ça s'est gâté, Charly est allé vivre dix ans en ermite dans un bois...

Gaul, en 1958, vous avait distancé sous la pluie dans le Luitel, vous n'étiez pas ébloui aussi par lui ?

C'est difficile. Dans le Giro, je l'avais vu se piquer en course, un autre jour j'avais rattrapé au vol sa musette qu'il avait ratée ; il m'avait dit de la jeter mais je l'avais gardé. Dedans, au milieu du poulet, il y avait une seringue prête à servir. Il y avait ce soigneur, Vidal, qui préparait les Belges... Gaul, lui, marchait dans le froid, sous le déluge, jamais dans la chaleur, beaucoup de coureurs sont morts dans la chaleur, à cause du dopage.
Federico Bahamontes, à son bureau du Pena Club, son ancien fan-club. Derrière lui, son totem, un aigle.

Vous preniez des stimulants ? Après tout, il n'y avait pas de contrôle (1), ce n'était pas illicite....

Je prenais un peu de café, pas trop, ça m'empêchait de dormir, je le mélangeais avec du cognac, du Kola Astier (un excitant vendu exclusivement en Italie), de l'Agua del Carmen (un tranquillisant à base de produits naturels). Le Kola Astier, c'est un soigneur de la Bianchi, Pino De Grandi, qui m'en procurait, après, je ne voulais pas m'empoisonner : quand je le voyais mettre des pastilles dans les thermos, je versais tout dans les toilettes, comme à Solingen (Allemagne de l'Ouest), où Fritz Schaer a vendu le Mondial (1954) à Bobet.

Peut-être parce qu'il se savait battu par Bobet... Cela dit, comment l'aviez-vous su ?

Tout se savait au Mondial de Reims (1958), Alfredo Binda avait passé un bidon à Ercole Baldini (vainqueur devant Louison Bobet et André Darrigade) avec un billet à l'intérieur pour lui dire « tu peux y aller... ». Il y avait des arrangements, les masseurs entre eux étaient comme des femmes dans un salon de coiffure, ils ne pouvaient pas s'empêcher de tout raconter. On vivait tous ensemble, dans une grande proximité, on s'aidait mutuellement...

«Pourquoi certains coureurs allaient en Suisse se faire changer le sang ? Et Anquetil ?»

En 1959, on ne sait si c'est vrai ou si c'est une légende, vous vous seriez arrêté au sommet du col de la Romeyère, pour manger une glace...

Non, c'est vrai, j'étais avec Lucien Lazaridès et Le Guilly, un Belge qui n'avait qu'un oeil, une voiture technique s'était approchée pour leur dire en me désignant : « Où vous allez avec lui ? Il va tous vous lâcher ! » Souvent, les autres préféraient me laisser partir, ils disaient « sinon il va nous tuer ». Là sur la Romeyère, la voiture avait projeté une pierre dans ma roue, j'ai mis deux kilomètres à lâcher Le Guilly ; au sommet, il y avait un vendeur de glace ambulant, mais comme il regardait la course je m'étais servi moi-même une glace en attendant d'être dépanné.

C'est vrai que vous aviez peur dans les descentes ?

Dans le Tour de Catalogne, j'étais tombé sur un cactus dans la descente de la Vierge de Montserrat, il avait fallu me retirer les épines avec une pince à épiler ; j'en avais partout, ça m'avait refroidi, mais peur, non, mais je dépensais tellement d'énergie sur les cols qu'au sommet j'avais la fringale, je profitais des descentes pour me ravitailler. Longtemps je n'ai pas su m'alimenter, après j'ai fait des listes, avec Dalmacio Langarica (son directeur sportif), on écrivait ce que je voulais trouver dans ma musette, derrière le profil des étapes.

Aujourd'hui, certains coureurs frisent l'anorexie, mais vous étiez maigre, vous aussi, c'était le secret ? Je veux dire pour bien grimper ?

Je pesais 56 kg, Gaul était très maigre, lui aussi, mais dans les cols du Giro, on n'arrivait pas à lâcher Baldini, qui était très lourd. Qu'est-ce qu'il avait dans le corps ? Et pourquoi certains coureurs allaient en Suisse se faire changer le sang ? Et Anquetil ? Aujourd'hui je me demande : ils sont où, tous ceux qui couraient avec moi...

Vous avez achevé votre carrière en France, chez Margnat-Paloma. Par choix ?

Les responsables de la Kas et de Ferry's m'offraient chacun 500 000 pesetas (environ 3 000 euros) pour rester en Espagne, mais je ne voulais pas choisir. En choisissant je m'aliénais des sympathies, j'avais préféré signer pour Margnat-Paloma, avec Otano, Carasco, pour un contrat inférieur de 150 000 mais j'avais un fixe et des primes ; j'ai fini là en 1965. Cette année-là, personne n'a été payé, d'après le patron, M. Gauthier, il n'y avait plus d'argent dans les caisses...

Soixante ans après, vous vous sentez quitte et en accord avec l'histoire ?

Je n'ai qu'un regret, l'étape de Chamonix de 1963, qui passait par le petit Saint-Bernard, l'ancienne route de la Forclaz, toute caillouteuse, durcie par les neiges ; il pleuvait ce jour-là et on ne m'aurait pas revu si Geminiani n'avait pas coupé le câble de dérailleur d'Anquetil pour qu'il puisse changer de vélo (2). Son mécano en avait profité pour lui donner une longue poussette et, sur la fin, Anquetil est revenu dans l'abri d'une moto et m'a battu au sprint, en prenant les trente secondes de bonification

Vous auriez pu poser réclamation...

Je voulais, oui, la moto n'avait rien à faire là, mais Raoul Rémi (son directeur sportif chez Margnat-Paloma) m'en a dissuadé, il y avait du brouillard, les juges n'avaient rien vu et la moto, c'était celle d'un photographe, bah... Pour moi, elle n'était pas là par hasard, ils étaient sûrement dans le coup. Dommage, sans cela j'aurais peut-être gagné le Tour une deuxième fois cette année-là.. »

(1) Les contrôles antidopage débutent véritablement en 1966.

(2) Le règlement interdisait les changements de vélo, excepté sur incident mécanique.
publié le 19 juillet 2019 à 22h49 mis à jour le 19 juillet 2019 à 23h09
Doit y avoir une bonne part de conneries également dans les histoires racontées par Federico "El Loco" Bahamontès. :hehe: D'ailleurs, la plupart des anciens coureurs racontent souvent l'histoire dans le sens qui les arrange. Rien que sur l'affaire de la roue de Vietto dans les Pyrénées, y avait pas un coureur qui donnait la même version: Lapébie, Speicher, Vietto, Magne, c'était 4 histoires différentes !! :rieur:

Les frères Dries avaient réalisé 2 documents trés intéressants intitulés "les histoires extraordinaires du Tour". C'était un festival de déclarations contradictoires. Lazaridès disait un truc, Teisseire et Fachleitner soutenaient l'inverse, Brambilla avait une 3è version, etc. Alfredo Binda disait que lorsqu'il faisait le compte rendu des courses qu'il venait de disputer, Bartali ne racontait jamais la moitié de la vérité.

Par contre, il est vrai que la réputation de "chaudières" qui collent aux images de Gaul et Anquetil est bien établie. Olivier Dazat disait que le luxembourgeois sentait la médecine à 100 mètres, et Chapatte venait même le questionner sur sa prise excessive de produits dopants, qui expliquerait en grande partie ses difficultés récurrentes lors des grandes chaleurs ( ce n'était pas toujours le cas, il faut le préciser).
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Par Teteoo
#3043129
Pas besoin de quoter l'ensemble du message, ça alourdit un peu la lecture :wink:

Je dis ça surtout pour les suivants :genance:
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Par Lemon-Curry
#3043160
C'était 54 et non 59 l'histoire du cornet de glace. Et Le Guilly était un Breton à deux yeux mais c'est peut-être le chauffeur de la voiture dont il est question même si c'est mal retranscrit. :green:
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Par Dreki
#3043222
Bon suite aux accusations de dopage d’Alaphilippe et aux vue des doutes sur les précédents vainqueurs de la grande boucle, je suis allé de vérifier mes stats, et je suis tombé sur quelque chose d’édifiant :

100 % des vainqueurs des GT, sans aucune exception, n’avaient JAMAIS remporté de GT avant leur première victoire.

Je suis atterré devant cette révélation. On se demande d’où vient leur transformation subite :carton: On ne peut avoir confiance en la probité de personne... Si Julian emporte le Tour, il sera dans la droite lignée de toutes ces chaudières...
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Par Lemon-Curry
#3043233
Dreki a écrit :
20 juil. 2019, 14:47


100 % des vainqueurs des GT, sans aucune exception, n’avaient JAMAIS remporté de GT avant leur première victoire.
Faux. Avant sa victoire sur le Tour 2013, qui était sa première en GT, Froome avait en fait déjà gagné la Vuelta 2011. :elephant:
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Par Dreki
#3043239
Lemon-Curry a écrit :
20 juil. 2019, 14:56
Dreki a écrit :
20 juil. 2019, 14:47


100 % des vainqueurs des GT, sans aucune exception, n’avaient JAMAIS remporté de GT avant leur première victoire.
Faux. Avant sa victoire sur le Tour 2013, qui était sa première en GT, Froome avait en fait déjà gagné la Vuelta 2011. :elephant:
Ah, bien vu ! Froome est donc le seul coureur propre du peloton. :tonton:
Par zwhisop
#3043284
philippe dandy desabuse qui devrait bientot tourner la page Il ne sera pas remplace.

Donc la polemique insidieuse qui s'inflitre , les cetones,cette fois.Le plus beau des sports est maudit.
Avatar de l’utilisateur
Par abraxas
#3043381
Lemon-Curry a écrit :
20 juil. 2019, 14:56
Dreki a écrit :
20 juil. 2019, 14:47


100 % des vainqueurs des GT, sans aucune exception, n’avaient JAMAIS remporté de GT avant leur première victoire.
Faux. Avant sa victoire sur le Tour 2013, qui était sa première en GT, Froome avait en fait déjà gagné la Vuelta 2011. :elephant:
:green:
Par Nico2938
#3043408
TheChosenOne6 a écrit :
20 juil. 2019, 12:53
Le médecin d’Arkea a répondu à cette question. D’après lui il y a des doutes sur les potentiels effets néfastes du produit sur la santé des coureurs. Donc principe de précaution, on ne l’utilise pas.
Il faudrait un spécialiste de la question mais les corps cétoniques, c'est une solution mise en place par le corps pour palier le manque de "glucides". Globalement, c'est compliqué de rester en état de cétose sur une longue période et il est probable que les cétones soient une manière d'avoir accès à cette voie sans s'imposer un régime cétogène au coureur.
En revanche, c'est impossible que les gains soient de l'ordre de 15 %, ça n'améliore pas la performance en soi comme un produit dopant. On doit pouvoir soutenir une intensité légèrement plus élevée sur le long terme mais un état de cétose, ça ne fait pas grimper un col plus vite qu'une alimentation classique avec des glucides. La principale différence doit provenir du fait qu'on est moins confronté à la baisse du glycogène musculaire.
En plus, vu la manière dont les coureurs récupèrent après les étapes, ils mettent tout en place pour recharger les stocks de glycogène.

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