- 14 août 2019, 00:37
#3058527
Moi récemment je me souviens de Valverde qui en 2016 avait fait un très bon Giro puis avait fait le Tour en tant qu'équipier (mais en prenant soin de faire une jolie place de 6e) et finalement la Vuelta où il avait pas été flamboyant, sûrement un peu cramé. Le cas de figure est pas le même que ce que tu décris mais il avait terminé les trois grands tours et était même plutôt constant (il était pas à la rue non plus sur la Vuelta, il fait 12e)
Souvent quand tu rates ton Tour après le Giro c'est que t'es un peu cuit alors pour se farcir la Vuelta après faut vraiment avoir une grosse envie de se venger (et une sacrée capacité de récup).PuncheurFou a écrit : ↑14 août 2019, 00:21Wallers ====> Bah voilà un bon exemple, merci beaucoup, même s'il a fait trois bon GT (un top 20 dans chacun fautle faire), ça me va comme exemple.
Je m'étais posé la question parce qu'on voit souvent des coureurs qui vont à la Vuelta pour sauver leur saison, souvent après un mauvais Tour (vu que ce sont souvent des coureurs de GT), mais je me demandais de ce fait si un gars après un bon Giro, un mauvais Tour, avait eu envie de prendre sa revanche sur la Vuelta ou se contentait d'un bon Giro.
Merci pour l'article, et merci aux autres aussi d'avoir cherché à répondre à la question (si d'autres cas vous reviennent, n'hésitez pas ! ).
Moi récemment je me souviens de Valverde qui en 2016 avait fait un très bon Giro puis avait fait le Tour en tant qu'équipier (mais en prenant soin de faire une jolie place de 6e) et finalement la Vuelta où il avait pas été flamboyant, sûrement un peu cramé. Le cas de figure est pas le même que ce que tu décris mais il avait terminé les trois grands tours et était même plutôt constant (il était pas à la rue non plus sur la Vuelta, il fait 12e)