[_levure]

Plusieurs fois sur la route par hasard par proximité géographique en vacances: près de Saint-Omer en 2001, de Rouen en 2002, Macon en 2006.
Mais surtout les deux arrivées à la Planche des Belles Filles, à chaque fois en réussissant à me positionner à 50-60 mètres de l'arrivée, en face d'une TV en plus. La Grosse différence entre 2012 et 2014 étant la météo: plein soleil et 30°C en 2012 et 20°C brouillasseux, pluvieux, venteux en 2014 dans les deux cas en arrivant 4 heures avant l\"arrivée des coureurs. Nibali arrivant d'ailleurs avec le beau temps en 2014. Ce que j'ai trouvé d'ailleurs effarant est la différence de tête des coureurs à l'arrivée, surtout après la belle rampe des 200 d,erniers mètres
Froome : visage très tendu, en mode moucheron surtout avec les lunettes et le maillot
Evans: la définition du Masque, rien ne transparait
Wiggins: en mode Joker/Porte derrière Evans

Nabila : un peu comme Evans, mais la bouche plus ouverte
Pinot : visage bien expressif niveau fatigue
Valverde : visage à la Froome, sans la moucheron
...
Gallopin : visage déconfit, j'ai rarement vu un coureur, même à la TV, qui laissait autant transparaître l'abattement

L'arrivée en cul-de-sac est assez particulier : caravane amoindrie, descente de la route avec les voitures des DS et la caravane.
Ma soeur, postée à 5 km de l'arrivée, n'a pas forcément vue grand chose, mais a récupérée un bidon de Slagter B)

[nat77]

Enfin je peux me re-connecter ! J'ai déjà vu le Tour de nombreuses fois, ce n'est pas la course que je préfère aller voir... Je serai toutefois sur la route aujourd'hui vers Gières, et demain au départ avec un pass VIP grâce à AG2R B)

[_clash]

Je ne me suis déplacé qu'une fois pour le Tour de France: en 2000, j'étais toute la journée au sommet du col de Joux Plane. J'entendais des bribes de nouvelles de la course en provenance d'une radio qu'un gars avait pas loin. Juste assez pour rêver d'un scénario de malade... le renversement du tyran par une attaque mythique quasiment au KM 0 !
Évidemment, quelques heures plus tard...
On va dire que j'en garde un souvenir doux-amer :unsure:

[savoldalejandro]

Je ne me suis déplacé qu'une fois pour le Tour de France: en 2000, j'étais toute la journée au sommet du col de Joux Plane. J'entendais des bribes de nouvelles de la course en provenance d'une radio qu'un gars avait pas loin. Juste assez pour rêver d'un scénario de malade... le renversement du tyran par une attaque mythique quasiment au KM 0 !
Évidemment, quelques heures plus tard...
On va dire que j'en garde un souvenir doux-amer :unsure:

Tu as vu Jan s'arrêter pour changer de velo ? hmy:

[blaireau59]

Plusieurs fois sur la route par hasard par proximité géographique en [b:3gnvy7q3]vacances[/b:3gnvy7q3]: près de [b:3gnvy7q3]Saint-Omer[/b:3gnvy7q3] en 2001,

Sérieux ?

[Mel*]

Le Tour, c’est mon grand-père qui me l’a fait découvrir. La première grande image dont je me souviens c’est la terrible chute d’Armentières en 94. J’étais incapable de détacher mon regard de la télé… Après ça, j'ai adoré suivre le Tour de France 1995. J’allais régulièrement sur les étapes lorsqu’elles ne passaient pas très loin mais à cette époque je m’intéressais davantage à la caravane et aux cadeaux qu’ils lançaient qu’aux coureurs ;)

Après 98, je ne passais plus mes mois de juillet chez mes grands-parents et je me suis détachée du vélo (en plus c’était la grande époque de l’équipe de France de foot ! B) ...). Jusqu’en 2004 où je me suis retrouvé un peu par hasard sur la ligne d’arrivée à Chartres le jour où Voeckler prend son premier maillot jaune. Il pleuvait des cordes, on se tordait le cou pour apercevoir un bout de l’écran géant perdu au milieu des parapluies et pourtant j’en garde un superbe souvenir : l’ambiance d’un groupe de jeunes très connaisseurs à côté de moi, la voix de Daniel Mangeas, le podium qui a suivi….ça m’a donné envie de resuivre le Tour et ce Tour 2004 qu'on a tendance à critiquer j’en garde un très bon souvenir parce que c’est mon 1er Tour que je suivais depuis longtemps, parce que Voeckler, parce que Virenque et son dernier maillot à pois, parce que c’était la 1ère de Moncoutié, parce que c’était mes 1ers champs Elysées…

Depuis j’essaie d’aller tous les ans voir l’arrivée sur le Tour aux Champs Elysées et gros plus pour l’année dernière de nuit c’était vraiment magnifique. Un autre souvenir marquant de ces dernières années est Montargis et la victoire du Cav en larmes sur le podium…

Le Tour, c’est la course la moins facile pour voir les coureurs mais c’est aussi celle sur laquelle l’ambiance est la plus particulière : la caravane, le public toujours très impressionnant, les médias, l’organisation des équipes font que on en garde toujours de bons souvenirs…. ;)

[_clash]

Je ne me suis déplacé qu'une fois pour le Tour de France: en 2000, j'étais toute la journée au sommet du col de Joux Plane. J'entendais des bribes de nouvelles de la course en provenance d'une radio qu'un gars avait pas loin. Juste assez pour rêver d'un scénario de malade... le renversement du tyran par une attaque mythique quasiment au KM 0 !
Évidemment, quelques heures plus tard...
On va dire que j'en garde un souvenir doux-amer :unsure:

Tu as vu Jan s'arrêter pour changer de velo ? hmy:

Euh oui entre autres... Mais c'était pas l'événement le plus marquant, si ?

[pierrefromalsace]

Bien joué JacLafitte :)

[Cyclohexane]

Oulà, plusieurs souvenirs...alors en vrac:
1985: CLM individuel de Sarrebourg dans le Dabo, avec Lucho, Perico, Lemond...et Hinault, impressionnant

J'y étais aussi et au même endroit :cheer: . Je me souviens avoir vu Jacques Chancel juste en face de moi accompagné de Jacques Weber (ma maman était allé lui demander un autographe...).

Pour le reste c'était vraiment génial, on voyait passer tous les coureurs les uns après les autres.
Et Hinault dans les derniers qui allait s'imposer à Strasbourg, prendre le maillot jaune et le garder jusqu'au bout. Un grand moment.

Et puis une deuxième fois à Obernai en 2006, au départ de la 3ème étape. J'en ai gardé quelques photos et je vous en livre trois.

Jaja au village départ
[img width=400]http://route67.free.fr/test/1.jpg[/img]

Voeckler et Hunter à la bourre qui se rendent vers la ligne de départ
[img width=400]http://route67.free.fr/test/2.jpg[/img]
[img width=400]http://route67.free.fr/test/3.jpg[/img]

[Gambrinus]

J'ai aussi un Froome avant sa mutation en 2008 au CLM de St Amand Montrond

[url=http://www.hostingpics.net/viewer.php?i ... g:16h2gxe6][img:16h2gxe6]http://img4.hostingpics.net/pics/164229 ... Froome.jpg[/img:16h2gxe6][/url:16h2gxe6]

Un Froome 2008, ça doit être une rareté, non ? :woohoo:
Bravo en tout cas, il fallait le prévoir :cheer:

[doutey_fdjeux_fan]

J'ai aussi un Froome avant sa mutation en 2008 au CLM de St Amand Montrond

[url=http://www.hostingpics.net/viewer.php?i ... g:2eelho4b][img:2eelho4b]http://img4.hostingpics.net/pics/164229 ... Froome.jpg[/img:2eelho4b][/url:2eelho4b]

Un Froome 2008, ça doit être une rareté, non ? :woohoo:
Bravo en tout cas, il fallait le prévoir :cheer:

On va dire que j'ai quasi tout le monde (enfin non) parce qu'après j'ai filé sur l'arrivée, donc j'ai tous les premiers concurrents du chrono, avec des photos assez nettes pour un fois !

[savoldalejandro]

Ils viennent de goudronner l'avenue qui doit accueillir les coureurs à Nîmes ... c'est DEGEULASSE

[Macro]

Je l'ai vu 3 fois seulement:

- 1979: Metz-Ballon d'Alsace, à Ramonchamp. Je me suis chopé une insolation parait-il. Chez moi, il doit toujours trainer un espèce de sac de plage jaune avec le parcours, probablement distribué à cette occasion par la caravane. Etant né en 1979, je n'ai rien d'autre à raconter à se sujet (putain d'inconscients mes parents :silly: )

- 1997: Colmar-Montbéliar: Je suis monté au Ballon d'Alsace à Vélo, et me suis placé à environ 2 km du sommet, côté Masevaux. J'ai eu une super vue sur la course et je me souviens parfaitement de Rous en tête, Madouas pris en étau par Hervé et Dufaux, Virenque gesticulant derrière dans le groupe avec Escartin et Olano, Pantani qui fait rouler les Mercatone Uno, Bolts qui tire Ullrich, Riis à la ramasse, Mengin, chez lui, en tête du grupetto...Toute une époque

- 2005 (?): Les Champs...On ne voit pas grand chose, c'est bondé...Mais c'est à faire une fois je pense. De plus, après la course, il y a des chances de croiser les coureurs dans les rues attenantes à l'Avenue. Je me souviens avoir aperçu les FDJ à la recherche de leur hôtel...

En 1998, j'avais envisagé de me placer dans le Col de la Faucille lors de l'étape de Neuchatel, mais vu que c'était peu après le \"mouvement\" des coureurs, je n'ai pas pris le risque d'un déplacement pour rien...

[Orodreth]

Malheureusement, j'ai jamais été sur les routes du Tour. En 2005, j'aurais pu y aller mais j'ai \"trop\" petit (enfin 8 ans) et trop con, surement, parce que j'ai pas voulu y aller. :D
Mais vu que j'ai 17 ans, j'ai encore le temps de partir voir le Tour.

[angelsbdesign]

Mais oui Orodreth... Tu as encore du temps pour faire le plein de souvenirs persos du Tour... Des bons et, j'espère, peu de moins bons.
Moi qui ai commencé a m'y intéresser sans doute en même temps que JPO je continue à préférer regarder la course que les cartes postales de vacances...
Alors des souvenirs j'en ai plein:
Le démarrage de Bahamontes dans les premiers kilomètres du col de Romeyere en 58 où mon père m'avais emmené en train pique niquer au bord de la route...
Je n'oserais même pas raconter qu'en 51, tout bambin, des amis viticulteursnous avaient emmené dans la seule camionette du village voir passer le Tour qui arrivait à Montpellier. Je me souviens d'un groupe de la même équipe lâché très loin (c'était Coppi en pleine défaillance avec toue l'équipe italienne !) mais surtout de la moto qui faisait dégager la route empruntée par les spectateurs après le passage des coureurs pour permettre le passage de 3 attardés très longtemps après la fin du \"spectacle\"!
Dans les années 60 je suis allé souvent voir passer les coureurs à Gillestre entre Vars et Izoard mais ce n'était pas très enthousiasmant.
Par contre j'étais en bas du col de Porte à Grenoble en 70 lors de la victoire de Merckx en solitaire... mais surtout en 71 quand Thévenet l'avait lâché avec Ocana et Zoetemelk.
J'ai aussi vu Fignon en tête au sommet de la Côte de Chalimont avant Villard de Lans en 84 et les Colombiens Parra et Herrera dans la dernière montée vers Lans en Vercors en 85.
Enfin, en 87 j'étais dans le col de la Bataille après le ravitaillement au moment où Fignon fait rouler les Renault avec Roche et Delgado pour que Bernard (qui avait crevé au sommet du Tourniol avec le maillot jaune le lendemain de son exploit du Ventoux) ne rentre pas : Cancellara n'existait pas encore ! Et les équipiers de Bernard partis avec l'échappé (Bauer, Ruttiman), ne s'étaient pas encore relevés (les oreillettes n'existaient pas non plus !).
Maintenant j'ai fait le plein de bonheurs et d'émotions pour le Tour et je préfère regarder le déroulement de la course à la télé ayant suffisemment d'occasions de trainer auprès des stafs et des coureurs sur d'autres épreuves...

[savoldalejandro]

Avec l'expérience on apprend à se placer, rien à foutre de l'arrivée, aujourd'hui, j'étais devant le bus des Movistar, résultat ? Le bidon de Valverde et une photo d'anthologie :)
Par contre c't'orage de malade :woohoo:

[ChicoDjango]

C'est un plaisir de lire tous vos témoignages, et en particulier celui d'Angelsbdesign, qui en a vécu des bribes de légendes du Tour !
Personnellement, je reviens toujours enchanté de mes virées sur le Tour. J'aime l'ambiance, le côté barnum un peu fou, les rencontres et discussions en attendant le passage de la caravane et des coureurs, les moments de convivialité partagés non seulement avec des mordus du vélo qui, comme moi, essaient de tout connaître des coureurs et s'informent du moindre mouvement de course, mais aussi - et c'est ce qui fait que le Tour est unique - avec des badauds qui savent à peine le nom du Maillot Jaune mais qui viennent partager le bout de gras, le bout de conversation, les bouts de sourires et d'excitation dans cette grande fête du mois de juillet !

Mes souvenirs de l'étape arrivant à Colmar (victoire de Neil Stephens), en 97, sont assez vagues, mais je garde encore une impression forte de mon premier sprint, à Strasbourg, en 2001. J'étais idéalement placé, et pourtant j'ai à peine eu le temps de voir filer le peloton rugissant. Mais je n'en étais pas moins heureux, il y avait l'excitation avant qu'ils n'arrivent, les commentaires qui fusaient d'une oreille à une autre sur une attaque d'untel, une crevaison d'un autre, et ensuite la stupéfaction face à cette impression de force que le peloton dégageait, et puis le bonheur de croiser, après l'étape, quelques-uns de ces coureurs que j'admirais tant.

Il y eut ensuite bien d'autres étapes. Parmi celles-ci, l'étape de Gap, pour laquelle je garderai à l'esprit les réactions ébahies du public, voyant les images, sur le grand écran placé à l'arrivée, de la chute de Beloki et du rodéo improbable d'Armstrong. Lors du grand départ de Strasbourg, j'avais eu la chance de recevoir une accréditation pour me placer dans une tribune officielle, et j'alternais le plaisir des petits-fours distribués par de charmantes hôtesses (à la fin de l'adolescence, je les reluquais avec appétit !), et celui de voir les coureurs du prologue filer comme des balles. Le lendemain, lors de l'étape en ligne, je me suis senti si heureux de pouvoir discuter avec quelques coureurs, et je me disais qu'aucun autre sport ne permettait au public de côtoyer de si près ses champions.
Un autre souvenir marquant est une montée du col de la Schlucht. J'étais placé à l'exact endroit où Klöden avait placé un démarrage (il allait ensuite jouer la victoire d'étape à Gerardmer, battu par Weening). Et ce jour-là j'avais été marqué par le courage des coureurs blessés et lessivés par une première semaine très usante (Zabriskie, ancien Maillot Jaune, traînait sa peine, à plusieurs minutes des meilleurs).

Cette année,j'étais au col du Markstein, avec toute ma petite troupe de neveux et nièces, à qui j'avais envie de faire partager ma passion. Lorsque le gruppetto est passé, je leur ai dit que le maillot de champion de France serait facilement identifiable, et qu'ils pouvaient se mettre à crier \"Allez Arnaud ! Allez Arnaud !\" Le coureur de la FDJ les a visiblement entendus, nous a jetés un regard rapide et a enlevé un bidon de son cadre pour nous le jeter. Les gamins étaient fous de joie ! Ensuite, Egoitz Garcia est passé, juste devant la voiture-balai, et une petite nièce m'a dit qu'on devait lui donner la coupe du coureur le plus courageux ! Voilà, ce sont des petites choses, mais ce sont tous ces souvenirs accumulés qui font le charme de cette course !

[Akaion]

Je suis allé voir le Tour pour la première fois à Castres en 1999, pas vraiment de souvenir, si ce n'est qu'il y avait beaucoup, beaucoup de monde, beaucoup trop en fait...

Ensuite, 2001, arrivée dans ma ville de Lavaur, je n'avais qu'entreperçu les coureurs, mais j'avais pu avoir l'autographe de Franckie Andreu (qui ne faisait pas le Tour mais faisait apparemment les étapes avant les coureurs). J'avais pu voir Poupou également mais surtout, transpirant, portant seul de mallettes en plein soleil pour rejoindre le bus CSC où il y avait l'émission d'après tour, Jean René Godart, qui avait la gentillesse de s'arrêter, nous serrer la main, et à qui j'avais dit \"Vous faites du bon travail sur la moto\" (ce que je pensais, je trouvais qu'il décrivait bien et puis sa voix, pour moi, c'est très nostalgique), il avait vraiment plaisir de cette remarque, me remerciant, je garde de lui quelqu'un de gentil qui s'était arrêté pour nous (mes potes et moi) alors qu'il était vraiment en galère.

En 2003, dans le contre la montre de Cap'Découverte, on avait avec les potes fait une banderole \"Thévenet revient!\" Bernard nous avait salué et Prud'homme en avait parlé le lendemain pendant le direct. Je me souviens surtout de l'impression de puissance d'Ullrich, mais surtout de Botero dans son maillot de champion du monde de chrono.

En 2005, j'étais dans la côte de Saint Ferreol à Revel avec mon cousin pour voir les coureurs amenés par les T-Mobile, et des coureurs vraiment en souffrance à l'arrière, j'avais ensuite pu discuter avec Francis Von Londersele, très sympathique.
Toujours en 2005, le lendemain, à Albi, j'avais pu discuter avec Portal et un seul coureur s'était arrêté me signer un autographe, un jeune espagnol qui s'appelait Alberto Contador... Un de mes potes avait réussi à se faire inviter dans le bus Gerolsteiner pour nous récupérer des bouteilles de la marque (on avait un pote encore plus fan de Rebellin que Tuco).

En 2010, sur le bord de la route de l'étape menant à Revel, je me souviens surtout des spectateurs qui ne venaient que pour la caravane, et vraiment cons prêts à se battre pour des casquettes et des bobs cochonou...

Et enfin en 2011, pour l'arrivée à Lavaur, sous la pluie, devant le podium, pour voir Voeckler en jaune et Hoogerland avec les traces impressionnantes de sa chute sur ses jambes, vraiment marquant.

[TheChosenOne6]

2003: Première fois sur le chrono de cap d'écouverte dans un faux plat descendant à une dizaine de kms de l'arrivée. Ullrich était celui qui m'avais donner la meilleur impression de vitesse mais c'était surtout le nombre de véhicule derrière Armstrong en jaune à l'époque qui m'avait choqué.

2005; L'arrivée au Puy en velay, dans les 50 derniers mètres et la victoire de Guerini.

2010: Dans l'étape de Mende, au lac d'Issarles. Je me rapelle de Hushovd dans l'échappée avec son maillot de champion de Norvège et de Contador sur qui j'avais concentré toute mon attention.

[sylvain84]

Il y en a qui vont voir l'étape d'Hautacam ici ?