[TheChosenOne6]

Bien que ça puisse changer après le Tour de Pologne, la France passe deuxième au classement des nations. Après le Tour, et depuis la création du Pro Tour/World Tour, ce n'était jamais arrivé. L'époque où fallait absolument que Chavanel fasse un gros coup à l'EnecoTour pour permettre à la France d'avoir 9 coureurs au championnat du monde semble loin

Et l'Espagne écrase tjs le classement avec 3 coureurs. Et sa ne va pas s'arranger avec la Vuelta qui arrive.

[AlbertoBoy]

Gestion et récupération, le corps de Valverde avec plus d'une dizaine de GT à son actif semble digèrer beaucoup mieux la période de récupération d'une semaine entre GT et classique. Ce qui était deja vrai avant, remember 2003, à l'age de Bardet et aprés son deuxième GT il faisait 2 du championnat du monde 2 semaines plus tard.

certes tu as raison, mais en 2003 fait-il le tour à bloc de chez bloc? car là oui!...
En plus il y a le coup de la déception de louper le podium....

3 semaines de bagarre intensive pour une medaille en chocolat....Faut du temps pour se relever normalement!!!

Gros mental dans tous les cas!!!

Valverde n'a pas disputé le Tour 2003.
Son baptême du feu fut la Vuelta.

[Boris]

nouveau parcours moche car il se fourvoie dans la tendance actuelle : mettre la grosse difficulté décisive à la fin, où la décision se fait par sa difficulté seule. Résultat un peloton flêche wallonien au pie de cette dernière difficulté à prévoir pour les années futures. Finie la course de mouvement qui certaines années faisait le seul de cette course où les états de formes sont variables. Dommage.

Je pense qu'on en a débattu sur l'ancien forum, mais que préconises-tu pour inverser cette tendance?
Mettre la difficulté principale en début ou milieu d'épreuve est le plus sur moyen de la voir escamotée; parsème ton épreuve de vacheries afin d'éliminer les équipiers et faire ressortir les leaders et tout le monde roulote jusqu'à la dernière bosse, LBL style.
Comme tu le dis, Paris-Roubaix est le cas à part, mais du coup, elle n'est courue que par une poignée de spécialistes dont la saison se finit pratiquement à Roubaix.
Autre exception peut-être, les championnats du Monde, quand le parcours est sélectif (l'an passé par ex.); mais là aussi, cela reste une exception.

Non vraiment, je suis peut-être trop pessimiste, mais je ne vois pas comment inverser la tendance actuelle...

[Liam]

nouveau parcours moche car il se fourvoie dans la tendance actuelle : mettre la grosse difficulté décisive à la fin, où la décision se fait par sa difficulté seule. Résultat un peloton flêche wallonien au pie de cette dernière difficulté à prévoir pour les années futures. Finie la course de mouvement qui certaines années faisait le seul de cette course où les états de formes sont variables. Dommage.

Je pense qu'on en a débattu sur l'ancien forum, mais que préconises-tu pour inverser cette tendance?
Mettre la difficulté principale en début ou milieu d'épreuve est le plus sur moyen de la voir escamotée; parsème ton épreuve de vacheries afin d'éliminer les équipiers et faire ressortir les leaders et tout le monde roulote jusqu'à la dernière bosse, LBL style.
Comme tu le dis, Paris-Roubaix est le cas à part, mais du coup, elle n'est courue que par une poignée de spécialistes dont la saison se finit pratiquement à Roubaix.
Autre exception peut-être, les championnats du Monde, quand le parcours est sélectif (l'an passé par ex.); mais là aussi, cela reste une exception.

Non vraiment, je suis peut-être trop pessimiste, mais je ne vois pas comment inverser la tendance actuelle...

L'idéal pour moi c'est quand la grosse difficulté est placée à 20/25 bornes de l'arrivée, qu'elle est précédée par quelques dizaines de kms très usant. A la limite qu'elle soit suivie par une petite difficulté, ne permettant pas d'elle même de faire la différence, mais pas plus.

Sur LBL, La Redoute sera systématique escamotée, du moment qu'elle sera suivie par des côtes aussi difficiles que La Roche aux Faucons et St Nicolas. A la limite La Roche aux Faucons aurait sa place mais le duo St Nicolas / côte finale de Ans bloque complètement la course. Un final moins dur après la Roche aux Faucons obligerait les coureurs à se découvrir dans ces deux côtes.

Idem sur le Tour de Lombardie ou Villa Vergano annihile toute offensive dans Madonna del Ghisallo.

Le cyclisme est devenu défensif et les équipiers sont de plus en plus forts, donc je comprends cette volonté de durcir les courses pour éviter au maximum les arrivées groupées, mais je pense qu'on s'y prend à l'envers. Ce ne sont pas les dernières kilomètres qu'il faudrait durcir mais les 50/100 précédant le final.