[brunobasto]

C'est pas sur cette étape que les derniers Kelme ont tous abandonné....?

[Xav_38]

Quelle magnifique étape de Indurain, un grand espoir qui enfin commence à gagner au plus haut niveau. J'avoue que je commençais à désespérer en voyant qu'il se transformait en équipier de luxe de Delgado.

Bon 5" entre les deux premiers à la sortie de la première étape de montagne, ça fait pas beaucoup. Cet écart va surement beaucoup augmenter dans les prochains jours. Lemond a tenu aujourd'hui, ça m'étonne déjà pas mal, mais la répétition des étapes de montagne va finir par lui être fatal.

[brunobasto]

Son seul équipier correct en montagne, Janusz Kuum vient d'abandonner.

[AlbatorConterdo]

10ème étape : CAUTERETS-LUCHON / Superbagnères, 136 km
mardi 11 juillet 1989



Le Tourmalet, Aspin, Peyresourde et Superbagnères en moins de 136 km, c'est l'étape reine des Pyrénées.
-Alors que Roche n'a pas pris le départ, Pascal Richard et Carlsen sont les premiers attaquants à Luz-Saint-Sauveur, mais Carlsen est aussitôt lâché.
Dès les premières pentes du Tourmalet, Cubino attaque et entraîne Millar et Mottet avec lui. Mais Cubino est lâché après Barèges puis repris. Millar et Mottet rejoignent Richard et les trois hommes comptent 45" d'avance sur le peloton Lemond, Fignon, Delgado à 5 km du sommet, alors que Simon, Parra, Indurain, notamment, sont lâchés.
Les Reynolds impriment un gros rythme, refusant de voir des favoris comme Millar ou Mottet -qui ont lâchés Richard- prendre trop d'avance. Le peloton se réduit à une trentaine d'unité, Lemond se retrouve sans équipiers.
- - Dans la vallée, Gorospe, puis Delgado sortent du peloton "maillot jaune". Les deux Reynolds se rejoignent au km 63 (La Séoube) sur les faux plats au pied d'Aspin.
Dès le bas de l'ascension, Delgado lâche son équipier et revient sur Mottet et Millar. Au sommet d'Aspin, Millar, Mottet, Delgado possèdent 2'17" sur le peloton du Maillot Jaune.
Les 3 coureurs creusent encore l'écart dans la descente au bas de laquelle ils comptent 3'30".
- Les trois augmentent leur avance à 4'45" au pied de Peyresourde où Mottet devient le virtuel leader. Leur avance culmine à 4'58" à mi-col.
Herrera est lâché du peloton. A Luchon, l'écart est de 4'35"
- A 10 km de l'arrivée au sommet, l'avance des hommes de tête est de 3'52". Dans Superbagnères, Rooks et Theunisse contre-attaquent. Fignon conduit vigoureusement la poursuite. A 5 km de l'arrivée : Delgado, Mottet, Millar, à 3'20", Rooks et Theunisse, à 3'40", Fignon, Hampsten, Lemond, Lejarreta, Caritoux, Alcala, Pino, Bugno. Delgado accélère à 2 km du sommet, Mottet lâche. Millar l'emporte devant Delgado. Fignon lâche Lemond aux 500 m et prend le maillot jaune pour quelques secondes,
mais désormais, Delgado et Mottet sont revenus dans la lutte au général.

Classement de l'étape :
1. Robert Millar (Gbr) en 4h22'19" (moy : 31.107 km/h)
2. Pedro Delgado (Esp)
3. Charly Mottet (Fra) à 19"
4. Steven Rooks (Hol) à 3'04"
5. Gert-Jan Theunisse (Hol)
6. Marino Lejarreta (Esp) à 3'14"
7. Laurent Fignon (Fra) à 3'26"
8. Andrew Hampsten (Usa) à 3'35"
9. Greg LeMond (Usa) à 3'38"
10. Raul Alcala (Mex) à 3'42"

Le CG :
1. Laurent Fignon (Fra) en 46h11'49"
2. Greg LeMond (Usa) à 7"
3. Charly Mottet (Fra) à 57"
4. Pedro Delgado (Esp) à 2'53"
5. Andrew Hampsten (Usa) à 5'18"
6. Marino Lejarreta (Esp) à 5'51"
7. Gianni Bugno (Ita) à 6'03"
8. Robert Millar (Gbr) à 6'42"
9. Raul Alcala (Mex) à 6'46"
10. Steven Rooks (Hol) à 6'59"

Les védéos :
Le Journal du Tour (avec un Roche assez agacé par Alain Vernon en itw...)


L'étape :

[damienleflahute]

Depuis l'an passé, je suis vraiment fan de Mottet. Il se replace vraiment bien aujourd'hui. Je découvre aussi Fignon au sommet de son art, j'étais trop jeune lors de ses 2 premières victoires, et j'aime bien son équipe.
Enfin bref, c'est top, c'est un joli Tour, et il ne devrait pas échapper à un français, Delgado a trop de retard, et Lemond semble vraiment moins fort maintenant.

[AlbatorConterdo]

Depuis l'an passé, je suis vraiment fan de Mottet. Il se replace vraiment bien aujourd'hui. Je découvre aussi Fignon au sommet de son art, j'étais trop jeune lors de ses 2 premières victoires, et j'aime bien son équipe.
Enfin bref, c'est top, c'est un joli Tour, et il ne devrait pas échapper à un français, Delgado a trop de retard, et Lemond semble vraiment moins fort maintenant.

Je ne sais pas si Fignon est vraiment au sommet de son art, aujourd'hui par exemple, il était un peu limite dans Peyresourde.
Quant à Delgado, maintenant qu'il est revenu à moins de 3', j'aurai tendance à le trouver encore plus dangereux que Mottet, qui montre souvent des limites dans la haute montagne (cf Tour 1987)

[gradouble]

Cette "remontada" de Delgado est impressionnante

Je pense qu'ils sont 4 maintenant à compter pour la victoire finale :
Fignon (gros favori), Lemond qui devrait continuer à perdre du temps, Delgado (incroyable) et Mottet.

Très belle étape avec des favoris qui se lancent à 3 ou 4 cols de la fin

Amis du futur, vous n'y croirez pas.

[fred30]

Exactement le genre d'étape qui nous manque aujourd'hui.

Je viens de lire le résumé de l'étape gagnée par Indurain, et je me demandais pourquoi Delgado n'avait pas tenté une grande manoeuvre vu qu'il avait l'air bien.
Mais cette 2e étape pyrénéenne était parfaite pour ça. Très peu de vallée et de beaux enchaînements. Etonnant que Lemond-Fignon n'aient pas tenté plus que cela de limiter l'écart avec l'espagnol.

Voilà en tous cas des favoris qui respectent le parcours et des coureurs classés essayer de jouer la gagne. Que ça fait du bien !

[AlbatorConterdo]

Exactement le genre d'étape qui nous manque aujourd'hui.

Je viens de lire le résumé de l'étape gagnée par Indurain, et je me demandais pourquoi Delgado n'avait pas tenté une grande manoeuvre vu qu'il avait l'air bien.
Mais cette 2e étape pyrénéenne était parfaite pour ça. Très peu de vallée et de beaux enchaînements. Etonnant que Lemond-Fignon n'aient pas tenté plus que cela de limiter l'écart avec l'espagnol.

Voilà en tous cas des favoris qui respectent le parcours et des coureurs classés essayer de jouer la gagne. Que ça fait du bien !

Au moment où Delgado attaque, ils ne sont plus très nombreux dans le peloton, LeMond n'a plus d'équipiers, Fignon peut compter sur Rué mais pas très longtemps et les PDM ne veulent pas rouler et se sacrifier pour les autres

[AlbatorConterdo]

11ème étape : LUCHON-BLAGNAC, 154.5 km
mercredi 12 juillet 1989




- La course s'emballe dans la descente du col des Ares sous l'impulsion de Müller. Fabio Parra, malade, qui a souffert dans l'ascension, est lâché,
attendu par son dernier équipier de Kelme, Roncancio. L'allure très rapide ne leur permet pas de revenir et ils abandonnent.
- L'allure est si vive que le peloton explose au km 47. 51 composent le peloton "maillot jaune" où figurent tous les favoris sauf Herrera et Breukink.
Haex sort seul alors que le peloton se reforme au km 69 à St-Martory.
- Haex est repris au km 80 par Gayant, Rué, Schurer, Bauer, Vermote, Museeuw, Frison & Rossignoli. Vermote attaque alors et se projette à l'avant avec Gayant et Frison.
- De nombreux coureurs tentent de s'intercaler derrière Vermote, Gayant, Frison. Kvalsvoll est le plus insistant. Le trio de tête maintient son avance aux alentours de la minute.
- A 20 km de l'arrivée, les trois échappés possèdent encore 40" sur Kvalsvoll, 1'40" sur le peloton. Mais le peloton roule fort désormais. Kvalsvoll est repris à 18 km du but,
Gayant et Vermote aux 14 km. Frison insiste 1 km de plus, en pure perte.
- L'équipe Paternina prépare le sprint d'Hermans, mais Dhaenens s'échappe à trois kilomètres de la ligne. Il maintient quatre-vingts mètres d'avance...
quand il chute aux 600 mètres. Mathieu Hermans gagne le sprint et remporte l'étape

1. Mathieu Hermans (Hol) en 3h37'47" (moy : 43.667 km/h)
2. Giovanni Fidanza (Ita)
3. Eddy Planckaert (Bel)
4. Teun Van Vliet (Hol)
5. Sean Kelly (Irl)
6. Ronny Van Holen (Bel)
7. Steve Bauer (Can)
8. Alfred Achermann (Sui)
9. Jesper Skibby (Dan)
10. Marc Sergeant (Bel)

Le CG ne change pas

Les védéos :
L'étape :


Le journal du Tour :

[-Vélomen-]

Merci pour les vidéos !

Vraiment top !

[AlbatorConterdo]

12ème étape : TOULOUSE-MONTPELLIER, 233.5 km
jeudi 13 juillet 1989



- Worre attaque dès le départ, il prend 30" mais le peloton réagit et le reprend au km 7. Immédiatement, le peloton se scinde en trois parties,
mais la présence de Mottet dans la première suscite la réaction du maillot jaune. Le regroupement intervient au km 12.
- A l'occasion du premier "Catch", Arnaud & Tebaldi s'échappent, sur l'initiative du Français. Le peloton réagit un peu, mais ils creusent l'écart. Perini s'intercale alors.
Au km 55, Perini est à 1'30", le peloton qui s'est calmé est à 5'50". Tebaldi s'arrête et attend son compatriote Perini. Les deux Italiens reviennent sur Arnaud au km 64.
3 hommes en tête avec 7'30" d'avance.
- Les échappés augmentent encore l'écart qui est de 13' à Saint-Alby au km 75, puis 21'30" au km 100 et 29' au km 156 à Bedarieux !
- Une chute survient à Clermont-l'Hérault (km 185) qui implique une trentaine de coureurs dont Caritoux, Theunisse. Millar, Van Holen, Boyer.
Une autre se produit au km 200 dont Roux est la principale victime, alors qu'à l'avant, Arnaud manque un virage.
- Arnaud est dans l'impossibilité de revenir sur les deux Italiens, qui se présentent à Montpellier avec 2'09" sur le Français. Ils ont conservé plus de 21' sur le peloton démobilisé. Perini conduit le sprint, mais Tebaldi le dépasse aisément.

Classement de l'étape :
1. Valerio Tebaldi (Ita) en 5h40'54" (moy : 42.593 km/h)
2. Giancarlo Perini (Ita)
3. Dominique Arnaud (Fra) à 2'09"
4. Thomas Wegmüller (Sui) à 21'24"
5. Jan Goessens (Bel) à 21'40"
6. Frans Maassen (Hol)
7. Eddy Schurer (Hol)
8. Philippe Louviot (Fra)
9. Rik Van Slycke (Bel)
10. François Lemarchand (Fra)

Le CG ne bouge pas

Les classements annexes :
Classement général sprint inter:
1. Sean Kelly (Irl) 51 pts
2. Valerio Tebaldi (Ita) 50
3. Dominique Arnaud (Fra) 35
4. Giancarlo Perini (Ita) 30
5. Martial Gayant (Fra) 21

Classement Maillot vert :
1. Sean Kelly (Irl) 182 pts
2. Etienne De Wilde (Bel) 142
3. Giovanni Fidanza (Ita) 112
4. Jesper Skibby (Dan) 80
5. Eddy Planckaert (Bel) 79
6. Steve Bauer (Can) 78
7. Steven Rooks (Hol) 76
8. Phil Anderson (Aus) 76
9. Acacio Da Silva (Por) 74
10. Johan Museeuw (Bel) 74

Classement Maillot à pois:
1. Gert-Jan Theunisse (Hol) 154 pts
2. Robert Millar (Gbr) 136
3. Pedro Delgado (Esp) 116
4. Charly Mottet (Fra) 107
5. Miguel Indurain (Esp) 106
6. Steven Rooks (Hol) 95
7. Luis Herrera (Col) 83
8. Greg LeMond (Usa) 73
9. Eric Caritoux (Fra) 52
10. Anselmo Fuerte (Esp) 41

Classement du combiné :
1. Sean Kelly (Irl) 78 pts
2. Miguel Indurain (Esp) 57
3. Gert-Jan Theunisse (Hol) 52
4. Acacio Da Silva (Por) 39
5. Valerio Tebaldi (Ita) 38

Les védéos :
Le journal du Tour :

[AlbatorConterdo]

13ème étape : MONTPELLIER-MARSEILLE, 177 km
vendredi 14 juillet 1989



Après une 12ème étape qui a mis le forum en feu , le peloton s'offre une récréation pour la fête nationale: L'allure est faible, les coureurs se divertissent au son du clairon sonné par Thierry Marie. C'est Leleu qui porte la première attaque au km 83. il est aussitôt repris.
- Leleu a déclenché les hostilités et le peloton explose sous l'effet d'un vent très violent et favorable. Bordures !!
- Au km 110, avant Rieumes, Fignon et Mottet attaquent et sortent du premier peloton qui comprend la plupart des favoris. Ils sont pris en chasse par LeMond et Delgado sortis à leur tour , lesquels sont aussitôt repris. Fignon et Mottet se relaient parfaitement et leur avance monte à 45", se stabilise longtemps vers 40", mais la côte de Rove au km 151 les condamne. Ils sont repris, sitôt franchi le sommet, par un peloton très amaigri.
- Colotti attaque alors à l'amorce de la côte de Saint-Antoine, à 15 kilomètres du but, suivi de Barteau. Barteau attaque Colotti à 600 mètres du sommet et augmente son avance dans les rues de Marseille, pour s'imposer en solitaire.

1. Vincent Barteau (Fra) en 4h17'31" (moy : 41.706 km/h)
2. Jean-Claude Colotti (Fra) à 45"
3. Martial Gayant (Fra) à 1'16"
4. Steve Bauer (Can) à 1'21"
5. Etienne De Wilde (Bel) à 1'25"
6. Sean Kelly (Irl)
7. Per Pedersen (Dan)
8. Andreas Kappes (All)
9. Alfred Achermann (Sui)
10. Laudelino Cubino (Esp)

Le CG ne bouge pas

Les védéos :
Le Journal du Tour :


L'étape :

[gradouble]

Fête nationale et surtout bicentenaire.

On en parlait dans toutes les écoles, juste avant les vacances de la révolution française.
Il y avait des sans-culottes partout dans les cours de récré.

Enfin, je pense que Fignon et Mottet n'on pas trop insisté. Je me demande dans quelle mesure, ce n'était pas un peu pour la blague...et le bicentenaire.

[Kivolanov_Volabov]

Quelle étape !

Et le journal du Tour de ce jour là est aussi très très fort avec les RMO déguisés qui boivent du rouge

[levrai-dufaux]

Fête nationale et surtout bicentenaire.

On en parlait dans toutes les écoles, juste avant les vacances de la révolution française.
Il y avait des sans-culottes partout dans les cours de récré.

Enfin, je pense que Fignon et Mottet n'on pas trop insisté. Je me demande dans quelle mesure, ce n'était pas un peu pour la blague...et le bicentenaire.

Mottet et Fignon n'ont pourtant pas fait semblant

C'était une sacrée étape effectivement, le genre de scénario assez improbable, même pour l'époque !

[AlbatorConterdo]

14ème étape : MARSEILLE-GAP, 238 km
samedi 15 juillet 1989



- Le début d'étape est calme, la première attaque ne survient qu'au km 112, quand Lemarchand sort du peloton. Il est repris 5 km plus loin.
- Dans la côte de Châteauredon au km 130, Marc Madiot part en compagnie de Herrera et Jérôme Simon. Le peloton réagit peu et leur avance est de 1'30" à Digne au km 139.
Ils sont pris en chasse par Mauri , Chaubet, Earley, Murgualday, Louviot, W. Peeters & Yvon Madiot mais ces 7 contre-attaquants sont absorbés.
- Cubino se lance à son tour à la poursuite de Marc Madiot, Jérôme Simon et Herrera. L'avance des trois échappés est de 1'40" sur Cubino au km 180 (ravitaillement de Seyne-les-Alpes) et 5'15" sur le peloton. Au sommet du col Saint-Jean (km 192), les trois passent 1' avant Cubino; 6'10" avant le peloton. Puis Cubino perd du terrain et à 20 km de Gap,
il est maintenant à 2'30" du trio. Le peloton, emmené par les Super U revient à 3'40". Cubino renonce.
- Aux 10 km, les trois conservent 1'55" alors que dans le peloton, les sprinters ayant pu suivre, Château d'Ax et Paternina participent à la poursuite.
A 5 km de l'arrivée à Gap, les trois échappés n'ont plus que 35" sur le peloton d'où sort Maassen, flanqué de Poisson. A 2 km de la ligne, Nijdam se joint à ces derniers.
- Madiot, J. Simon et Herrera repris par le peloton, Poisson démarre à 1500 mètres de la ligne et seul Nijdam le rejoint.
Nijdam déborde Poisson et remporte sa deuxième étape après celle de Wasquehal, dans son style bien à lui
Laurent Fignon reste maillot jaune, le peloton n'ayant pas voulu profiter des difficultés du parcours, mais Delgado a pris 10" de pénalité hier suite à un ravito hors limite.

1. Jelle Nijdam (Hol) en 6h27'55" (moy : 37.121 km/h)
2. Pascal Poisson (Fra) à 2"
3. Eddy Planckaert (Bel)
4. Giovanni Fidanza (Ita)
5. Sean Kelly (Irl)
6. Etienne De Wilde (Bel)
7. Phil Anderson (Aus)
8. Steven Rooks (Hol)
9. Rudi Dhaenens (Bel)
10. Per Pedersen (Dan)

Le CG :
1. Laurent Fignon (Fra) en 66h39'08"
2. Greg LeMond (Usa) à 7"
3. Charly Mottet (Fra) à 57"
4. Pedro Delgado (Esp) à 3'03"
5. Andrew Hampsten (Usa) à 5'18"
6. Marino Lejarreta (Esp) à 5'51"
7. Gianni Bugno (Ita) à 6'03"
8. Robert Millar (Gbr) à 6'42"
9. Raul Alcala (Mex) à 6'56"
10. Gert-Jan Theunisse (Hol) à 7'06"

Les védéos :
Le Journal du Tour :

L'étape :

[Xav_38]

14ème étape : MARSEILLE-GAP, 238 km
samedi 15 juillet 1989

Quelle dommage de ne pas mieux profiter de la géographie autour de Gap et de proposer un profil aussi décevant. On aurait pu imaginer arriver par le col de Manse par exemple, la descente est assez technique et peut créer des écarts entre les favoris, bon sans aller jusqu'à espérer une chute ou un détour par un champ pour un favori bien sur.

[AlbatorConterdo]

14ème étape : MARSEILLE-GAP, 238 km
samedi 15 juillet 1989

Quelle dommage de ne pas mieux profiter de la géographie autour de Gap et de proposer un profil aussi décevant. On aurait pu imaginer arriver par le col de Manse par exemple, la descente est assez technique et peut créer des écarts entre les favoris, bon sans aller jusqu'à espérer une chute ou un détour par un champ pour un favori bien sur.

Et en plus, je pense que beaucoup avaient déjà en tête le difficile CLM de demain

[levrai-dufaux]

14ème étape : MARSEILLE-GAP, 238 km
samedi 15 juillet 1989

Quelle dommage de ne pas mieux profiter de la géographie autour de Gap et de proposer un profil aussi décevant. On aurait pu imaginer arriver par le col de Manse par exemple, la descente est assez technique et peut créer des écarts entre les favoris, bon sans aller jusqu'à espérer une chute ou un détour par un champ pour un favori bien sur.

Une étape de 238 km la veille d'un contre-la-montre comprenant deux ascensions, ce n'est tout de même pas un cadeau

Quant à l'étape, j'ai regardé quelques images, mais comment Madiot, Simon et Herrera ont-ils pu être repris avec l'avance qu'ils possédaient ? On est pas loin de la faute professionnelle, surtout pour Toshiba qui n'a même pas le général auquel se raccrocher...

Et Herrera, quelle tristesse sur ce Tour de France. Toujours élégant, mais il n'est plus que l'ombre de lui-même. Son déclin aura nettement précédé l'avènement de la génération EPO.