- 17 déc. 2020, 21:18
#3269929
Je reviens avec un concours sur les grimpeurs où chacun à des avis souvent très critiques (avec raison), cherchant toujours des améliorations, je crois obtenir un résultat qui sera enfin satisfaisant pour une majorité des connaisseurs habitués de ce forum, les participants et les lecteurs. Les points ne tiennent pas compte des résultats d’avant 1946.
Il sera très simple d’y participer, un peu comme celui lancé le 17 novembre, une liste dans l’ordre des 10 premiers et ô surprise, vous pouvez ici aussi prendre Merckx, voire Armstrong.
Je vous laisse tout le temps pour m’envoyer vos choix, je fixe le délai limite au 30 décembre 23h59. Les premiers résultats commenceront à tomber à partir du 2 janvier 2022.
Voici comment j’ai construit mon nouveau classement :
Vuelta depuis 1960
Avant les années 80’ peu de vraies étapes de hautes montagnes aussi, je ne tiens compte que des étapes accidentées ayant causées plusieurs cassures dans les 20 premiers (min.4), sinon il faut la présence d’un champion reconnu dans le top10 et au minimum une cassure dans les 20. Une échappée de 3 coureurs ou moins avec un gros peloton compact derrière ne constitue pas une vraie cassure.
Si la victoire revient à l’un de ces champions reconnus, il suffit de quelques cassures (dont une dans les 20 premiers) avec des groupes attardés, pour obtenir la cote « C »
Pour les éditions d’avant 1960, les 3 premiers du classement de la montagne obtiendront des points.
Pour le Giro et le Tour, ainsi que la Vuelta à partir de 1989 :
La plus haute cotation « A » se gagne avec une victoire d’un grand nom avec un autre reconnu et minimum 3 cassures dans le top10.
« B » Pour les gagnants moins prestigieux mais avec 4 cassures et plus, ainsi que plus de trois grands noms dans les 10. Ou un grand nom vainqueur de l’étape avec une ou deux cassures. Si c’est lui-même qui gagne détaché l’étape vaut «B» même sans autre cassure dans les 9 suivants. Si le grand nom n’est pas détaché et qu’il n’y a aucune cassure dans les 10, l’étape passe en C.
« C » Les gagnants moins prestigieux et avec 1 à 3 cassures et le nom d’au moins un champion reconnu dans le top10, sans lui, c’est minimum 4 cassures. Toutefois avec 3 grands noms ou plus, une seule cassure permet d’obtenir le «C». Autrement l'étape passe en «D» même si le vainqueur d’un groupe sans cassure est un grand nom.
« D » Les étapes accidentées et montagneuses de la Vuelta d’avant 1989.*
La liste des 200 coureurs constituant les «champions reconnus» est issue d’un concours calculant les étapes entre 1946 et 2016. J’ai rajouté les coureurs ayant terminé sur l’un des podiums des 3 GT de 2017 à 2020, plus les 3 meilleurs d’un décompte des 10 premiers du classement de la montagne de ces éditions.
* à partir de 1989, l'UCI met en place la Coupe du Monde avec un calendrier et une cotation des épreuves stables.
Le classement sera présenté en 5 phases.
1) Les 5 premiers résultats des coureurs à leur début (1946 pour de très grands, leurs vrais débuts date souvent d'avant-guerre.
2) Les 5 résultats suivants, donc les 10 premiers de leur carrière
3) Leurs 20 premiers résultats en carrière
4) Tous leurs résultats depuis leur début
5) Et finalement le classement des « grimpeurs » sera le total de points de leurs résultats et l’addition de la moyenne (total divisé par nombre d’étapes où les longues carrières sont favorisées dans les chiffres réels), moyenne multipliée par 50. Ainsi une moyenne de 22,6 par étape donnera 1,130 pts supplémentaires dans cet exemple. Un autre avec un bon total de points sur plusieurs dizaines d'étapes devraient avoir une moyenne plus faible avec plusieurs petites places au fil des ans, disons 13,3 ne lui rajoute que 665 pts. Cela devrait favoriser un peu les super grimpeurs aux carrières légendaires mais trop brèves qui sont trop souvent mal noté dans mes classements grimpeurs d'il y a quelques années.
---édit du 31 janvier :
Pour compléter, un classement des 50 totaux acquis sur les 15 meilleures saisons en carrière donnera des points supplémentaires de la façon suivante :
500 au premier, 475 au second, 450 au troisième, 430 au 4e en diminuant de 10 points par rang plus bas, ceci jusqu’au 40e, les 10 derniers perdant 5 pts par rang plus bas pour finir avec seulement 15 pts au 50e classé.
Ces bonus pourraient avantager quelques carrières écourtées, mais plus riches en grandes victoires que certains vétérans de l’endurance, la moyenne puis un bon classement des 15 top performances en carrière devraient les aider à rattraper leur retard en total de points à vie. Mais bon, contre les vétérans ayant remporté des victoires ici et là, au long de leur carrière, il n’y a rien à faire, ils prendront des bonus eux aussi.
Il sera très simple d’y participer, un peu comme celui lancé le 17 novembre, une liste dans l’ordre des 10 premiers et ô surprise, vous pouvez ici aussi prendre Merckx, voire Armstrong.
Je vous laisse tout le temps pour m’envoyer vos choix, je fixe le délai limite au 30 décembre 23h59. Les premiers résultats commenceront à tomber à partir du 2 janvier 2022.
Voici comment j’ai construit mon nouveau classement :
Vuelta depuis 1960
Avant les années 80’ peu de vraies étapes de hautes montagnes aussi, je ne tiens compte que des étapes accidentées ayant causées plusieurs cassures dans les 20 premiers (min.4), sinon il faut la présence d’un champion reconnu dans le top10 et au minimum une cassure dans les 20. Une échappée de 3 coureurs ou moins avec un gros peloton compact derrière ne constitue pas une vraie cassure.
Si la victoire revient à l’un de ces champions reconnus, il suffit de quelques cassures (dont une dans les 20 premiers) avec des groupes attardés, pour obtenir la cote « C »
Pour les éditions d’avant 1960, les 3 premiers du classement de la montagne obtiendront des points.
Pour le Giro et le Tour, ainsi que la Vuelta à partir de 1989 :
La plus haute cotation « A » se gagne avec une victoire d’un grand nom avec un autre reconnu et minimum 3 cassures dans le top10.
« B » Pour les gagnants moins prestigieux mais avec 4 cassures et plus, ainsi que plus de trois grands noms dans les 10. Ou un grand nom vainqueur de l’étape avec une ou deux cassures. Si c’est lui-même qui gagne détaché l’étape vaut «B» même sans autre cassure dans les 9 suivants. Si le grand nom n’est pas détaché et qu’il n’y a aucune cassure dans les 10, l’étape passe en C.
« C » Les gagnants moins prestigieux et avec 1 à 3 cassures et le nom d’au moins un champion reconnu dans le top10, sans lui, c’est minimum 4 cassures. Toutefois avec 3 grands noms ou plus, une seule cassure permet d’obtenir le «C». Autrement l'étape passe en «D» même si le vainqueur d’un groupe sans cassure est un grand nom.
« D » Les étapes accidentées et montagneuses de la Vuelta d’avant 1989.*
La liste des 200 coureurs constituant les «champions reconnus» est issue d’un concours calculant les étapes entre 1946 et 2016. J’ai rajouté les coureurs ayant terminé sur l’un des podiums des 3 GT de 2017 à 2020, plus les 3 meilleurs d’un décompte des 10 premiers du classement de la montagne de ces éditions.
* à partir de 1989, l'UCI met en place la Coupe du Monde avec un calendrier et une cotation des épreuves stables.
Le classement sera présenté en 5 phases.
1) Les 5 premiers résultats des coureurs à leur début (1946 pour de très grands, leurs vrais débuts date souvent d'avant-guerre.
2) Les 5 résultats suivants, donc les 10 premiers de leur carrière
3) Leurs 20 premiers résultats en carrière
4) Tous leurs résultats depuis leur début
5) Et finalement le classement des « grimpeurs » sera le total de points de leurs résultats et l’addition de la moyenne (total divisé par nombre d’étapes où les longues carrières sont favorisées dans les chiffres réels), moyenne multipliée par 50. Ainsi une moyenne de 22,6 par étape donnera 1,130 pts supplémentaires dans cet exemple. Un autre avec un bon total de points sur plusieurs dizaines d'étapes devraient avoir une moyenne plus faible avec plusieurs petites places au fil des ans, disons 13,3 ne lui rajoute que 665 pts. Cela devrait favoriser un peu les super grimpeurs aux carrières légendaires mais trop brèves qui sont trop souvent mal noté dans mes classements grimpeurs d'il y a quelques années.
---édit du 31 janvier :
Pour compléter, un classement des 50 totaux acquis sur les 15 meilleures saisons en carrière donnera des points supplémentaires de la façon suivante :
500 au premier, 475 au second, 450 au troisième, 430 au 4e en diminuant de 10 points par rang plus bas, ceci jusqu’au 40e, les 10 derniers perdant 5 pts par rang plus bas pour finir avec seulement 15 pts au 50e classé.
Ces bonus pourraient avantager quelques carrières écourtées, mais plus riches en grandes victoires que certains vétérans de l’endurance, la moyenne puis un bon classement des 15 top performances en carrière devraient les aider à rattraper leur retard en total de points à vie. Mais bon, contre les vétérans ayant remporté des victoires ici et là, au long de leur carrière, il n’y a rien à faire, ils prendront des bonus eux aussi.