Par elisaDk59 - 15 janv. 2019, 00:39
- 15 janv. 2019, 00:39
#2949898
La particularité de ce Tour est de souffrir de très fortes chaleurs (en 2014, 37 ° à 9h du matin et ça grimpe), en + d'un vent désertique puissant qui vient du Bush ou de Tasmanie et qui incendie les forêts.
Bref, c'est comme le déluge, invivable, infernal.
En 2006, j'ai vu plein de coureurs zigzaguer en arrivant et on les mettait sous des tentes avec des perfusions !! C'était cinglant.
La bitume fondait, on en avait plein les chaussures et les roues de vélo. Une calamité.
Ce tour est vraiment spécial en tout. L'ambiance est montée en puissance, déjà avec le retour d'Armstrong en 2009 . Puis la classification World Tour.
C'est extraordinaire, très bon enfant, très bien organisé. Un tour à découvrir mais très loin et coûteux. Il faut partir pour 1 mois minimum.
Les autochtones m'ont toujours fait sourire en disant qu'ils n'avaient jamais connu pareilles conditions climatiques....
Pourtant, c'est pareil ou pire d'année en année.
En général, les équipes n'envoyaient pas vraiment de coureurs avec de hautes ambitions de printemps car risqué avec le décalage horaire, les chocs thermiques, le vent puissant qui balaie. C'est ce que les équipes m'ont dit entre 2006 et 2014.
Voilà de mes 3 TDU. Mal au cœur de ne pas avoir pu y retourner cette année.
Bonsoir,jimmy39 a écrit : ↑14 janv. 2019, 11:14Mieux que ça (ou pire), c'est parce que le vent pourrait animer la course et le peloton se retrouver éparpillé sur un circuit beaucoup trop court avec des coureurs lâchés risquant de gêner les premiers
Pour l'étape 2 par contre il semble bien que se soit à cause de la chaleur prévue...
La particularité de ce Tour est de souffrir de très fortes chaleurs (en 2014, 37 ° à 9h du matin et ça grimpe), en + d'un vent désertique puissant qui vient du Bush ou de Tasmanie et qui incendie les forêts.
Bref, c'est comme le déluge, invivable, infernal.
En 2006, j'ai vu plein de coureurs zigzaguer en arrivant et on les mettait sous des tentes avec des perfusions !! C'était cinglant.
La bitume fondait, on en avait plein les chaussures et les roues de vélo. Une calamité.
Ce tour est vraiment spécial en tout. L'ambiance est montée en puissance, déjà avec le retour d'Armstrong en 2009 . Puis la classification World Tour.
C'est extraordinaire, très bon enfant, très bien organisé. Un tour à découvrir mais très loin et coûteux. Il faut partir pour 1 mois minimum.
Les autochtones m'ont toujours fait sourire en disant qu'ils n'avaient jamais connu pareilles conditions climatiques....
Pourtant, c'est pareil ou pire d'année en année.
En général, les équipes n'envoyaient pas vraiment de coureurs avec de hautes ambitions de printemps car risqué avec le décalage horaire, les chocs thermiques, le vent puissant qui balaie. C'est ce que les équipes m'ont dit entre 2006 et 2014.
Voilà de mes 3 TDU. Mal au cœur de ne pas avoir pu y retourner cette année.