Le forum pour discuter du cyclisme et du cyclisme uniquement, entre passionnés . Actualité, transferts, débats, analyses et courses de vélo en direct. Toute les infos sur le forum des fans de la petite reine.

Modérateur : Modos VCN

  • Page 310 sur 311
  • 1
  • 307
  • 308
  • 309
  • 310
  • 311

Par *Chouchou*
#2945054
Le cyclisme a évité ce genre de cadeau de Nöel, mais pour d'autres sports ça n'a pas été le cas : :wink:

Haltérophilie : cinq suspensions à titre provisoire pour dopage
Publié le mardi 25 décembre 2018 à 14:03

https://www.lequipe.fr/Halterophilie/Ac ... age/971972


Rugby
Trois joueurs suspendus pour dopage

Publié le mardi 25 décembre 2018 à 17:54

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites ... age/972003
Avatar de l’utilisateur
Par charlix
#2945269
ça me rend un peu chafoin ce genre de document, comme si l'adhésion au MPCC était une caution automatique. Pas très à l'aise devant l'idée de mettre en avant le TDU à 0% alors qu'ils ne font qu'inviter une sélection nationale. Curieux aussi d'oublier de mettre en partenariat avec ASO pour la californie, seule épreuve à ne pas atteindre les 100%.

Sur le fond, entre Burgos (MPCC) et Axeon (non MPCC), ma confiance n'irait certainement pas vers la première citée

Image

Avatar de l’utilisateur
Par Orodreth
#2945304
"Sur le fond, entre Burgos (MPCC) et Axeon (non MPCC), ma confiance n'irait certainement pas vers la première citée"

D'ailleurs Burgos vient tout juste d'intégrer le MPCC pour tenter de rattraper son image je suppose.
Avatar de l’utilisateur
Par Quef
#2945331
Mais pourquoi Axeon n’adhère pas au MPCC ? Le fait que ce ne soit pas obligatoire n’est quand même pas bloquant....
Quand même, l’adhésion au MPCC n’octroie pas un totem d’immunité, mais je préfère les équipes qui adhèrent à celles qui tournent le dos. Juste, ce serait mieux que l’association intègre ou réintègre ses membres avec une période de carence.
Avatar de l’utilisateur
Par jicébé
#2945333
Quef a écrit :
27 déc. 2018, 19:29
Mais pourquoi Axeon n’adhère pas au MPCC ? Le fait que ce ne soit pas obligatoire n’est quand même pas bloquant....
Quand même, l’adhésion au MPCC n’octroie pas un totem d’immunité, mais je préfère les équipes qui adhèrent à celles qui tournent le dos. Juste, ce serait mieux que l’association intègre ou réintègre ses membres avec une période de carence.
Parce que c'est du vent: comme le dit Charles (Charlix?) dans son édito sur le sujet, on y rentre comme dans un moulin, on en ressort quand les conditions deviennent trop contraignantes, et on y rentre de nouveau pour se racheter une crédibilité.
Avatar de l’utilisateur
Par daizenshu_
#2945341
Même Funvic a failli y rentrer au MPCC à l'époque, c'est dire...
Enfin, ils y ont même été d'ailleurs, en tant que membre probatoire.
Par *Chouchou*
#2945350
Opinion : MPCC, des chiffres à prendre avec des pincettes
Par Charles Marsault le 27/12/2018 à 13:20

http://www.velo-club.net/post/opinion-m ... -pincettes

Voilà ! Bonne analyse. :agenou:

Et une question me vient à l'esprit (peut-être mal tourné ?) :
MPCC et ASO, français, sont-ils en train de réagir au fait que le Giro soit préféré cette année au Tour par de nombreux cadors ? :reflexion:
Sinon je ne comprends par pourquoi cette "guerre" des chiffres qui veut démontrer qu'il y a un "mauvais" Giro et un bon Tour. :confused:
Avatar de l’utilisateur
Par rbl85
#2945351
*Chouchou* a écrit :
27 déc. 2018, 21:22
Opinion : MPCC, des chiffres à prendre avec des pincettes
Par Charles Marsault le 27/12/2018 à 13:20

http://www.velo-club.net/post/opinion-m ... -pincettes

Voilà ! Bonne analyse. :agenou:

Et une question me vient à l'esprit (peut-être mal tourné ?) :
MPCC et ASO, français, sont-ils en train de réagir au fait que le Giro soit préféré cette année au Tour par de nombreux cadors ? :reflexion:
Sinon je ne comprends par pourquoi cette "guerre" des chiffres qui veut démontrer qu'il y a un "mauvais" Giro et un bon Tour. :confused:
Tu n'est pas sérieux quand même ?
Par *Chouchou*
#2945366
Ben disons qu'il y a une drôle de coïncidence dans la chronologie des faits, et parce que je ne me souviens pas que cette étude ait déjà été faite pas le MPCC les années précédentes. Et avec tout ce que je lis sur le net, je me pose souvent des questions.
Par *Chouchou*
#2946731
dolipr4ne a écrit :
26 oct. 2018, 12:50
Excusez mon insistance sur le sujet mais:

- comment expliquer que les coureurs ne se gavent pas au salbutamol, etant donné la jurisprudence Froome? (ma question est sérieuse)
- comment expliquer que RIEN ne soit fait pour changer/adapter le reglement quand on voit à quel fiasco cela a abouti? Comment les instances "competentes" (obligé de mettre des guillemets...) peuvent prendre le risque de vivre une nouvelle mascarade, avec un reglement inapplicable?

Perso, cette histoire me tue encore, meme des mois apres. Mais ça me tue encore plus qu'on passe à autre chose aussi vite, en oubliant tout en quelque sorte, sans chercher des noises aux instances (d'ailleurs ont-elles seulement justifié leur abandon de poursutes dans l'affaire Froome? :reflexion: ) et sans en tirer la moindre consequence.
Oui le 11 juillet 2018 sur le site de l'AMA : :wink:

L'AMA clarifie les faits concernant la décision de l'UCI à propos de Christopher Froome

Le 2 juillet 2018, l’Agence mondiale antidopage (AMA) a annoncé qu’elle ne ferait pas appel de la décision de l’Union Cycliste Internationale (UCI) de ne pas conclure à une violation des règles antidopage (VRAD) le cas du cycliste britannique Christopher Froome.

L’Agence a accepté que le résultat analytique de l’échantillon de M. Froome, prélevé le 7 septembre 2017 durant la Vuelta a España, qui avait révélé la présence de salbutamol, une substance interdite, dans une concentration supérieure à la limite de décision de 1 200 ng/ml, ne constituait pas un résultat d’analyse anormal (RAA). La décision de l’Agence de ne pas faire appel de la décision de l’UCI, qui était l’autorité de gestion des résultats ayant une compétence exclusive dans ce dossier, a été prise après un examen complet et rigoureux de l’ensemble des explications et des preuves à l’appui soumises par M. Froome en juin 2018 (et que l’UCI a transmises à l’AMA), ainsi que la consultation exhaustive d’experts internes et externes.

L’AMA est convaincue que l’UCI est arrivée à une décision juste et équitable dans ce cas très complexe et souhaite clarifier certains éléments qui ont fait l’objet de beaucoup de conjectures et d’informations erronées.

La substance, le contrôle et la science

Le salbutamol est un remède thérapeutique efficace contre l’asthme, sans propriétés connues d’amélioration de la performance quand on en inhale des doses thérapeutiques. Cependant, si on en prend des doses excessives ou par voies systémiques (p. ex., voie orale), il peut être un stimulant ou un agent anabolisant, raison pour laquelle il figure dans la Liste des interdictions avec un seuil d’utilisation.

L’AMA considère que le seuil actuel du salbutamol est à un niveau adéquat selon la littérature scientifique publiée sur cette substance au cours des vingt dernières années. Contrairement à d’autres substances, étant donné les variables relatives au salbutamol selon les conditions spécifiques de chaque cas, la règle est conçue pour permettre aux sportifs dont on découvre qu’ils ont dépassé le seuil d’avoir la possibilité d’expliquer comment cela est arrivé et de justifier une utilisation thérapeutique adéquate.

Dans le cas de M. Froome, le contrôle a été effectué de la même façon que pour tout autre sportif, par l’examen des données physiologiques et circonstancielles particulières qui pouvaient être clairement déterminées. M. Froome a pu démontrer au Tribunal de l’UCI comment il était possible qu’il ait pris une dose autorisée de salbutamol (1 600 mcg/24 h, sans dépasser 800 mcg/12 h) alors que l’échantillon prélevé contenait une concentration de la substance (1 428 ng/ml d’urine, après ajustement selon la gravité spécifique) supérieure à la limite de décision (1 200 ng/ml).

Dans certains autres cas, des sportifs ont pu démontrer une excrétion inhabituellement élevée de salbutamol au moyen d’une étude de pharmacocinétique contrôlée. Cependant, l’UCI a accepté le fait que, dans ce cas, une telle étude n’aurait pas produit de preuves fiables, car il aurait été impossible de recréer de façon adéquate les conditions semblables à celles du moment où M. Froome a subi le contrôle, en tenant compte de son état physique; ces conditions comprenaient une maladie, des symptômes d’asthme exacerbés, une augmentation progressive des doses sur une courte période, de la déshydratation et le fait que M. Froome était à mi-parcours d’une course cycliste de plusieurs jours.

En fonction de ces données et du fait que le système permet aux sportifs de démontrer qu’ils n’ont pas dépassé la dose maximale, il n’est pas rare que les cas relatifs au salbutamol se concluent sans qu’il y ait sanction. Entre 2013 et 2017, selon les données disponibles de l’AMA dans le Système d’administration et de gestion antidopage (ADAMS), sur les 41 cas terminés qui portaient sur le salbutamol comme seule substance :

20 % (huit cas sur 41) se sont conclus par un acquittement;
environ 50 % (21 sur 41) ont entraîné une suspension;
les autres cas incluaient diverses circonstances, y compris des réprimandes reçues par les sportifs, la participation à des sports non signataires du Code mondial antidopage ou des cas où les sportifs avaient une autorisation d’usage à des fins thérapeutiques (AUT) valide.

Au cours de la même période, 57 cas impliquaient le salbutamol, soit seul (voir ci-dessus) ou en combinaison avec d’autres substances interdites :

14 % d’entre eux (huit cas sur 57) se sont conclus par un acquittement;
environ 50 % (30 sur 57) ont entraîné une suspension;
les autres cas incluaient diverses circonstances, y compris des réprimandes reçues par les sportifs, la participation à des sports non signataires ou des cas où les sportifs avaient une AUT valide.
Pour ce qui est du cyclisme sur route, il n’y a pas eu de problème important au sujet de l’abus de salbutamol. Sans compter le cas de M. Froome, seulement quatre des 57 cas terminés impliquant cette substance concernaient ce sport. Parmi ces cas, trois ont entraîné une suspension de six à neuf mois et un s’est conclu par un acquittement.

Par conséquent, bien que les circonstances particulières du cas de M. Froome soient uniques, le résultat auquel l’UCI est arrivée n’est pas inhabituel. L’AMA estime qu’il s’agit d’un résultat juste et équitable d’un cas très complexe et que M. Froome méritait d’être traité avec autant d’équité que tout autre sportif.

Afin de rester à jour dans ce domaine complexe de l’antidopage et, comme on le voit dans le document relatif au salbutamol qui est joint ci-dessous, l’AMA a financé et soutenu un certain nombre d’études sur le salbutamol au fil des ans et continue à le faire. Nous incluons ci-dessous une liste détaillée des publications provenant d’études financées par l’AMA qui concernent l’excrétion de salbutamol, car l’AMA encourage les équipes de recherche à publier les résultats de leurs études dans des revues à comité de lecture. (Des études non financées par l’AMA ont également été publiées et ont fourni des données utiles.)

Sporer, Sheel et McKenzie, Med Sci Sport Exerc, 2008, 40:149
Sporer, Sheel, Taunton, Rupert et McKenzie, Clin J Sports Med, 2008, 18:282.
Mareck, Guddat, Schwenke, Beuck, Geyer, Flenker, Elers, Backer, Thevis et Schanzer, Drug Test Analysis, 2011, 3:820
Elers, Morkeberg, Jansen, Belhage, Backer, Scan J Sport Med, 2012b: 22: 232–239
Dickinson, Hu, Chester, Loosemore et Whyte, Clin J Sport Med, 2014, 24:482
Elers, Pedersen, Henninge, Hemmersbach, Dalhoff et Backer, Int J Sport Med, 2011, 32:574
Elers, Pedersen, Henninge, Hemmersbach, Dalhoff et Backer, Clin J Sport Med, 2012, 22:140
Dickinson, Hu, Chester, Loosemore et Whyte, J Sport Sci Med, 2014, 13:271
Dickinson, Hu, Chester, Loosemore et Whyte, Clin J Sport Med, 2014, 24:482
Haase, Backer, Kalsen, Rzeppa, Hemmersbach et Hostrup, Drug Test Analysis, 2016, 8:613
Hostrup, Kansel, Auchenberg, Rzeppa, Hemmersbach, Bangbo et Backer, Drug Testing Analysis, 2014, 6:528 (le résumé final est en attente)

Outre ces études, il en existe d’autres en cours dans ce domaine. En vertu des modalités des ententes entre les équipes de recherche et l’AMA, ce sont les équipes de recherche qui sont propriétaires des données et des études. Par conséquent, l’AMA n’est pas autorisée à divulguer des données non publiées provenant de projets terminés ou en cours. Par contre, tous les projets de recherche subventionnés par l’AMA figurent dans la section Recherche de notre site Web et comprennent un sommaire des objectifs du projet ainsi qu’un résumé des résultats et des conclusions, le cas échéant.

De toute évidence, quand il s’agit de cas complexes comme celui-ci, l’AMA consulte des experts internes et des experts externes indépendants, y compris le groupe d’experts Liste de l’AMA, qui est responsable de fournir au Comité Santé, médecine et recherche de l’AMA des conseils, des recommandations et une direction en matière de publication, de gestion et de mise à jour de la Liste des interdictions.

Le processus

Du début jusqu’à la fin, l’UCI a assumé la responsabilité exclusive de la procédure et en a effectué toutes les étapes. Bien qu’elle n’ait pas été partie à la procédure, l’AMA a réagi pendant tout le processus de gestion des résultats de l’UCI, qu’elle a aidée quand il était nécessaire.

Après avoir été informés du résultat d’analyse anormal (RAA) présumé en septembre 2017, l’UCI et M. Froome, le 28 décembre 2017, ont conclu un accord de procédure ad hoc (l’AMA n’a aucunement participé au processus ayant mené à cet accord). L’UCI et M. Froome ont convenu que les demandes de preuve de M. Froome seraient décidées par le Tribunal antidopage de l’UCI. Les demandes ont été déterminées par le tribunal à la mi-mars 2018 après des soumissions importantes de M. Froome et de l’UCI.

Le 31 janvier, M. Froome a envoyé une lettre à l’AMA demandant de l’information précise au sujet des bases scientifiques du seuil et de la limite de décision pour le salbutamol. Le 5 mars, l’AMA a fourni aux parties au dossier de l’information sur la limite de décision et les raisons qui la justifient.

En avril, l’AMA a demandé à intervenir dans les procédures de l’UCI en tant que tierce partie afin de répondre à toute question relative au régime du salbutamol, mais sa demande a été refusée par le Tribunal de l’UCI. Malgré ce refus et dans le but d’aider les parties, l’AMA a fourni le 15 mai une note plus détaillée sur le régime du salbutamol en répondant fondamentalement aux questions de M. Froome.

Quand l’AMA a reçu les explications et les preuves importantes de M. Froome le 4 juin, elle s’est dépêchée de les passer en revue avec les experts internes et externes, et a contacté l’UCI avant de faire sa déclaration le 28 juin. Ensuite, le 2 juillet, l’UCI a annoncé sa décision de clore le cas.

Il est à noter que, jusqu’à ce que l’AMA ait reçu les explications détaillées de M. Froome le 4 juin, elle considérait que ce cas méritait que l’on fasse une étude de pharmacocinétique contrôlée et, au besoin, que des mesures disciplinaires soient prises au niveau de l’UCI et du Tribunal arbitral du sport.

Cependant, en fonction de ce que l’UCI a fourni à l’AMA et une fois que les explications de M. Froome ont été évaluées par les experts internes et externes appropriés, il est devenu clair pour l’AMA que, notamment, la combinaison de la variabilité intra-sujet démontrée dans l’excrétion du salbutamol, de l’augmentation soudaine importante du dosage de salbutamol avant le contrôle du dopage et du nombre de contrôles du dopage consécutifs signifiait que le résultat d’analyse ne pouvait pas être considéré comme incompatible avec l’ingestion de salbutamol inhalé selon la dose maximale autorisée.

Pour les raisons mentionnées ci-dessus, l’AMA estime qu’accepter les explications de M. Froome était la bonne chose à faire et constitue un résultat équitable.

L’avenir

Chaque cas est évalué selon ses propres circonstances et cette décision ne change rien au sujet du contrôle ou du régime. Actuellement, il n’y a pas de preuve indiquant qu’un changement de seuil ou de limite de décision pour le salbutamol soit nécessaire. L’AMA a pris note de certains commentaires publics remettant en question le seuil du salbutamol et la façon dont il a été déterminé. Il est à remarquer que les études menées au cours des dix dernières années – à la fois financées par l’AMA et indépendantes – ont renforcé la légitimité du seuil actuel.

Cependant, étant donné qu’elle reconnaît la complexité de certains cas précis liés au salbutamol, en particulier le fait que les voies d’administration différentes ne peuvent pas être distinguées par l’analyse d’urine, l’AMA continuera à consulter des experts du domaine et à effectuer des recherches dans le domaine. Comme pour tous les aspects de la Liste des interdictions, dès que de nouvelles données scientifiques sont rendues disponibles, l’AMA les évalue pour s’assurer d’appliquer les résultats des recherches les plus récentes et d’offrir la meilleure protection des droits de tous les sportifs.

https://www.wada-ama.org/fr/media/nouve ... -propos-de
Avatar de l’utilisateur
Par dolipr4ne
#2946853
Merci Chouchou pour le pavé, c’est bientot les flandriennes! :green:

N’empeche, je n’arrive pas à voir comment une future affaire de taux anormal de salbu pourrait etre traitée, avec ce qui s’est passé pour Froome. Vous imaginez une suspension d’un gars qui aurait dépassé les 1200ng, là où Froome a été blanchi pour 2000ng? Sors tes rames à l’UCI pour expliquer le deux poids/deux mesures...

Par consequent, je suis convaincu, et c’est triste, que l’on n’aura plus jamais de controle anormal de salbu dans le cyclisme. #complot :genance:
Avatar de l’utilisateur
Par Nopik
#2946862
Bah évidemment que c'est open bar :rieur:
Cela a été confirmé par les instances lorsqu'ils ont dit que ce taux n'avait pas de fondements sérieux.

Édit : ah c'est pas ce que dit l'ama mais je crois que c'est ce qui était ressorti a l'époque... 'fin bref
Par *Chouchou*
#2946924
dolipr4ne a écrit :
05 janv. 2019, 14:55
Merci Chouchou pour le pavé, c’est bientot les flandriennes! :green:

N’empeche, je n’arrive pas à voir comment une future affaire de taux anormal de salbu pourrait etre traitée, avec ce qui s’est passé pour Froome.Vous imaginez une suspension d’un gars qui aurait dépassé les 1200ng, là où Froome a été blanchi pour 2000ng? Sors tes rames à l’UCI pour expliquer le deux poids/deux mesures...

Par consequent, je suis convaincu, et c’est triste, que l’on n’aura plus jamais de controle anormal de salbu dans le cyclisme. #complot :genance:
Dans le texte, l'AMA précise 1 428 ng pour Froome, et non 2000.
Perso j'imagine rien, je n'ai pas tous les éléments qui ont été débattus par tous les experts, et je ne suis pas expert non plus.
La seule chose que je sais, c'est que Froome, portant le maillot de leader sur la Vuelta pendant une grande partie de la course, a été contrôlé sur chaque fin d'étape, et qu'en conséquence l'AMA a pu comparer tous ces résultats. S'il y a d'autres cas de coureurs qui dépassent la limite, est-ce qu'ils auront été contrôlés aussi souvent pour pouvoir prétendre utiliser la défense de Froome ?

  • 1
  • 307
  • 308
  • 309
  • 310
  • 311

Bora qui n’a pas su choisir et qui perd to[…]

Le Mme Irma du forum saison 9

Vous devez trouver le 61ème d'Eschborn-Fran[…]

Rivals Manager 2024

Il n'y a pas vraiment moyen de faire un classeme[…]

33 kms à faire / 16” d'avance, le pel[…]

Toute l'actualité cycliste sur notre site   Accéder au site