- 03 nov. 2018, 19:59
#2929212
Il n’avait pas eu de jour sans en 2014, c’est un oubli de sa part ou une erreur de transcription.
Pour rappel beaucoup pestaient de le voir un peu sur la retenue la première moitié du Giro.
Sinon c’est sa nature d’etre généreux, il arrive quand même à un bon compromis a priori, sachant que ça le fatigue aussi de se brider, ça bouffe du jus...
Après quand ça grimpe pour de bon et que Reichenbach ou autre est plus loin, c’est que ce dernier est un peu limite, et s’accroche au maximum au cas où (temporisation où il pourrait recoller, leader qui lâche du lest et a besoin de lui pr limiter la casse, incident mécanique où il devrait filer son vélo...)
Il peut même être très dur au débrief à chaud dixit Roux.
Non je pense que quand il n’y a plus personne c’est que la main d’oeuvre est épuisée, ça arrive...
Il avait averti que la transition serait délicate car quinze jours c’est beaucoup + inhabituel, mais il l’a bien réussie.
Non mais il cite le Tour 2012 où il est plus loin donc ça ne tient pas.*Chouchou* a écrit : ↑03 nov. 2018, 19:21
Pinot oublie que sur le Tour 2014 où il fait podium + meilleur jeune, il n'avait pas été malade, mais il prend peut-être en compte l'écart en temps et non la place au classement général ?
Il n’avait pas eu de jour sans en 2014, c’est un oubli de sa part ou une erreur de transcription.
On peut penser aussi à Yates, à Pozzovivo...Concernant le fait qu'il tombe souvent malade et qu'il perde ses bons résultats à cause de cette fragilité, je repense à une interview de Vino sur le dernier Giro après l'abandon de Thibaut.
Il disait : "un GT ça se gère sur 3 semaines".
Du coup je m'étais fait cette réflexion : on est bien content de la manière dont Pinot attaque à de multiples reprises, qu'il passe ses relais, etc... ce que j'adore chez ce coureur en particulier , mais s'il en faisait moins (comme MAL d'Astana dont le manager est Vino, qui a justement pris sa 3ème place sur le podium en suçant les roues,) il ne serait peut-être pas tombé malade à 1 jour de l'arrivée ?
Pour rappel beaucoup pestaient de le voir un peu sur la retenue la première moitié du Giro.
Sinon c’est sa nature d’etre généreux, il arrive quand même à un bon compromis a priori, sachant que ça le fatigue aussi de se brider, ça bouffe du jus...
C’est beaucoup moins vrai maintenant, il se retrouve souvent bien placé par ses coéquipier, bien calé dans les roues.Il y a aussi qu'il dépense de l'énergie en remontant tout seul au lieu que ce soit un équipier qui le place en montagne. J'ai souvent vu qu'il faisait seul cet effort avec un coéquipier qui suivait + loin derrière, alors que d'autres leaders utilisaient leurs coéquipiers à cet effet.
Après quand ça grimpe pour de bon et que Reichenbach ou autre est plus loin, c’est que ce dernier est un peu limite, et s’accroche au maximum au cas où (temporisation où il pourrait recoller, leader qui lâche du lest et a besoin de lui pr limiter la casse, incident mécanique où il devrait filer son vélo...)
C’était vrai ses premières années (il excédait même ses coéquipiers à perdre les roues, traîner à l’arriere) mais maintenant de l’aveu des divers coéquipiers/entraîneurs interrogés il n’hésite plus à demander/imposer.Est-ce que Pinot ne serait pas (trop ?) gentil ? Est-ce qu'il n'ose pas réclamer ce service ? Ou pense-t-il qu'ils en ont déjà assez fait et ne veut pas les cramer pour la suite ?
J'ai l'impression que Thibaut ne les met à la planche que lorsqu'il ne peut vraiment pas faire autrement, sinon il se débrouille comme il peut ?
Il peut même être très dur au débrief à chaud dixit Roux.
Non je pense que quand il n’y a plus personne c’est que la main d’oeuvre est épuisée, ça arrive...
C’était encore les bénéfices du cycle Vuelta justement a priori.Concernant le besoin de Pinot de faire plusieurs jours de courses avant son objectif principal, comment explique-t-il la forme monstrueuse qu'il possédait sur les Mondiaux alors qu'il n'avait pas fait de compétition depuis la fin de la Vuelta ?
Il avait averti que la transition serait délicate car quinze jours c’est beaucoup + inhabituel, mais il l’a bien réussie.