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Modérateur : Modos VCN

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Par Nopik
#2721660
Oui mais c'est plus difficile d'impacter l'économie d'ensemble que d'adapter à la marge certaines règles :siffle:
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Par nostradamus--dans--le--bus
#2721665
Le manque de suspense et de retournement de situations est surtout un problème sur le Tour et LBL.

Les flandriennes, le Giro et la Vuelta ne sont pas vraiment concernées.

On pourrait adopter des régles exceptionnelles sur le Tour ( Grosse bonification en haut des cols, parcours plus difficile, équipe de 7 pour affaiblir le leader etc etc)

Le Tour est le coeur de la saison et la grosse vitrine du cyclisme, je crois qu' il ne faut pas hésiter à faire des exceptions réglementaires pour lui.

Je suis nostalgique du temps ou finir le Tour était un exploit, le temps ou le peloton était très amaigri en troisième semaine avec 120 coureurs arrivant à Paris.

Une course comme le Tour de Lombardie a réussi à s' adapter au cyclisme moderne contrairement à la Doyenne par exemple. C' est un bon exemple de ce qu' il faut faire je pense.

Le mur de Sermano était trop difficile dans les années 60, mais à notre époque il est nécessaire pour garder l' ame du Tour de Lombardie.

Gerrans au palmarès de LBL ça la fout mal. Le cyclisme se porte plutot bien, c' est vraiment le Tour qui pose problème.

On a édulcoré la difficulté du Tour à cause du dopage à partir de 1998, mais c' est pas la difficulté qui favorise le dopage, c' est surtout les enjeux financiers.

On se dope plus pour faire un cent mètre que pour faire un marathon car il y a plus à gagner, c' est l' épreuve reine.

Un des gros problèmes du Tour c' est également les chutes par rapport aux autres GT.
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Par bullomaniak
#2721674
Le Tour n'a absolument pas été édulcoré en difficulté, il est même plus dur maintenant qu'avant où les étapes de montagnes étaient monstrueuses certes mais rares alors qu'on avait beaucoup plus d'étapes de plaines qu'aujourd'hui. Les difficultés sont plus nombreuses mais plus étalées en fait.

D'ailleurs ça serait cool intéressant de savoir si on serait prêt à revenir à cet équilibre là avec des étapes ayant plus de chances d'être animées mais très peu nombreuses. Et pour conséquence d'enquiller au minimum la chiantise de la plaine du Tour 2017.
Par -Vélomen-
#2721676
bullomaniak a écrit :
07 déc. 2017, 20:53
Le Tour n'a absolument pas été édulcoré en difficulté, il est même plus dur maintenant qu'avant où les étapes de montagnes étaient monstrueuses certes mais rares alors qu'on avait beaucoup plus d'étapes de plaines qu'aujourd'hui. Les difficultés sont plus nombreuses mais plus étalées en fait.

D'ailleurs ça serait cool intéressant de savoir si on serait prêt à revenir à cet équilibre là avec des étapes ayant plus de chances d'être animées mais très peu nombreuses. Et pour conséquence d'enquiller au minimum la chiantise de la plaine du Tour 2017.
+ 1.

En 2000 par exemple, le parcours était montagneux pour l'époque mais ne proposait qu'une étape de montagne dans les Pyrénées (Hautacam).

Et dans les années 90 il y avait peu d'étapes de montagne et beaucoup beaucoup d'étapes de plaine et de clm !
Par biquet
#2721683
C'est vrai que le parcours du Tour 98, par exemple, susciterait un tollé général s'il était re-proposé aujourd'hui.. :paf-mur: :carton: :colere:

A peine 4 vraies étapes de montagne, et parmi elles, un bon vieux Pau-Luchon des familles et une course de côte au Plateau de Beille. A côté de ça, plus de 110 bornes chronos, et un très grand nombre (10 !!! :ouch: ) d'étapes de plaine frisant ou dépassant les 200km.
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Par marooned
#2721706
biquet a écrit :
07 déc. 2017, 21:25
C'est vrai que le parcours du Tour 98, par exemple, susciterait un tollé général s'il était re-proposé aujourd'hui.. :paf-mur: :carton: :colere:

A peine 4 vraies étapes de montagne, et parmi elles, un bon vieux Pau-Luchon des familles et une course de côte au Plateau de Beille. A côté de ça, plus de 110 bornes chronos, et un très grand nombre (10 !!! :ouch: ) d'étapes de plaine frisant ou dépassant les 200km.
Il y avait quand même une 5ème étape de montagne de prévue entre Albertville et Aix les Bains via le Semnoz, le Col des Prés et le Revard mais cette étape fût neutralisée. Et malgré ça, Pantani a battu Ullrich donc il y avait encore trop de montagne et pas assez de chrono :siffle:

Dans mes souvenirs, les étapes de plaine étaient aussi beaucoup moins chiantes à cette époque qu'elles le sont aujourd'hui. En tout cas, les échappées allaient bien plus souvent au bout.
Par *Chouchou*
#2721718
nostradamus--dans--le--bus a écrit :
07 déc. 2017, 20:11
Le manque de suspense et de retournement de situations est surtout un problème sur le Tour et LBL.

Les flandriennes, le Giro et la Vuelta ne sont pas vraiment concernées.

On pourrait adopter des régles exceptionnelles sur le Tour ( Grosse bonification en haut des cols, parcours plus difficile, équipe de 7 pour affaiblir le leader etc etc)

Le Tour est le coeur de la saison et la grosse vitrine du cyclisme, je crois qu' il ne faut pas hésiter à faire des exceptions réglementaires pour lui.

Je suis nostalgique du temps ou finir le Tour était un exploit, le temps ou le peloton était très amaigri en troisième semaine avec 120 coureurs arrivant à Paris.

Une course comme le Tour de Lombardie a réussi à s' adapter au cyclisme moderne contrairement à la Doyenne par exemple. C' est un bon exemple de ce qu' il faut faire je pense.

Le mur de Sermano était trop difficile dans les années 60, mais à notre époque il est nécessaire pour garder l' ame du Tour de Lombardie.

Gerrans au palmarès de LBL ça la fout mal. Le cyclisme se porte plutot bien, c' est vraiment le Tour qui pose problème.

On a édulcoré la difficulté du Tour à cause du dopage à partir de 1998, mais c' est pas la difficulté qui favorise le dopage, c' est surtout les enjeux financiers.

On se dope plus pour faire un cent mètre que pour faire un marathon car il y a plus à gagner, c' est l' épreuve reine.

Un des gros problèmes du Tour c' est également les chutes par rapport aux autres GT.
En effet ! Difficile d'avoir du spectacle, des tactiques de courses... lorsque qu'un bon nombre d'équipes sont décapitées de leurs leaders et/ou de leurs principaux grimpeurs dès la première semaine avant même d'avoir pu nous montrer leur valeur en montagne.
Après, le leader ayant échappé au massacre se retrouve esseulé face à quelques équipes complètes ou presque qui peuvent maîtriser leur ardeur.
La concurrence étant moindre, les attaques sont moins fréquentes, et le peut qui reste s'observe, se neutralise.

Pour répondre à un post dans ce topic concernant Nibali, sur le Giro 2017, c'est le seul leader qui a attaqué de loin en grimpant le dernier col puis en nous gratifiant d'une descente majestueuse avec une victoire à la clé. Ce jour là, il a envoyé du rêve.
En général, j'aime pas les arrivées en descente, mais quand c'est Nibali j'admire sans crainte de chute tant que la route est sèche.
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Par bullomaniak
#2721791
Attaquer à 4 km du sommet du dernier col c'est attaquer de loin ? :confused:

Genre Quintana qui essaie de partir au milieu de l'étape d'Ortisei ou de tout faire péter dans une descente dans les premiers kilomètres vers Piancavallo c'est quoi du coup ?
Par GewissBallan
#2721802
bullomaniak a écrit :
08 déc. 2017, 09:17
Attaquer à 4 km du sommet du dernier col c'est attaquer de loin ? :confused:

Genre Quintana qui essaie de partir au milieu de l'étape d'Ortisei ou de tout faire péter dans une descente dans les premiers kilomètres vers Piancavallo c'est quoi du coup ?
un coup de folie
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Par veji2
#2721805
nostradamus--dans--le--bus a écrit :
07 déc. 2017, 20:11
Le manque de suspense et de retournement de situations est surtout un problème sur le Tour et LBL.
(...)
Une course comme le Tour de Lombardie a réussi à s' adapter au cyclisme moderne contrairement à la Doyenne par exemple. C' est un bon exemple de ce qu' il faut faire je pense.

Le mur de Sermano était trop difficile dans les années 60, mais à notre époque il est nécessaire pour garder l' ame du Tour de Lombardie.

Gerrans au palmarès de LBL ça la fout mal. Le cyclisme se porte plutot bien, c' est vraiment le Tour qui pose problème.
Sauf que le tour de Lombardie et LBL sont deux courses bien différentes et placées à des moments bien différents de la saison. Le tour de Lombardie est devenue une classique pour grimpeurs à punch et a la chance d'être en toute fin de saison quand les niveaux de forme sont ultra hétérogènes et que beaucoup beaucoup d'équipiers de haut niveau ont fini leur saison. C'est simple l'an dernier la FDJ avec Gaudu et Molard était une des équipes les plus costauds ou presque du Lombardie ! Et le Lombardie a aussi tiré bénéfice de la retraite de Purito et la blessure de Valverde, pour mémoire il faut se souvenir des Lombardies de Purit ou Katusha et Movistar contrôlaient pour que Purito plante dans la dernière bosse... le Lombardie 2013 reste un monument de ce que le cyclisme moderne peut offrir de passif et glauque avec aucun coureur prêt à attaquer avec Voeckler lors d'une temporisation et tout le monde attendant sagement la dernière montée sous le contrôle des Katush...

LBL est une grande classique pour coureur complet à la base, et non un délire pour puncheur, et se déroule à un moment de la saison où tout le monde est au taquet. On aurait des équipes très réduites et une course débridée, LBL aurait autant de chances de sourir à un GVA ou un Kwiat qu'un Alaphilippe ou Dan Martin. Ce serait le genre de course qui verrait ces profils différents s'affronter sur un terrain mixte. Sauf que ça ne marche plus.

Et puis soyons honnêtes, si l'ennui est particulièrement fort lors de LBL et du Tour, il ne lui est pas réservé, la grosse majorité des courses par étapes WT donnent lieu à une arrivée en peloton de favoris et leur lieutenants au pied de la dernière bosse avec un gros train qui écrème et des attaques dans les tous derniers kms...

Des étapes comme celle du Vercors sur le Dauphiné 2015 ou Nibali, Gallopin, Valverde, Rui Costa sont partis à 100 bornes de l'arrivée sont devenu des courses totalement anormales. J'aimerais revoir des Liège comme celle de 2005 où Vino et Voigt étaient partis à 70 bornes de l'arrivée...
Par GewissBallan
#2721806
nostradamus--dans--le--bus a écrit :
07 déc. 2017, 20:11


Gerrans au palmarès de LBL ça la fout mal. Le cyclisme se porte plutot bien, c' est vraiment le Tour qui pose problème.
on a Goss et Ciolek au palmarès de Milan - San Remo, c'est pareil, ça a toujours existé ce genre de surprise
Par biquet
#2721810
marooned2 a écrit :
07 déc. 2017, 22:52
biquet a écrit :
07 déc. 2017, 21:25
C'est vrai que le parcours du Tour 98, par exemple, susciterait un tollé général s'il était re-proposé aujourd'hui.. :paf-mur: :carton: :colere:

A peine 4 vraies étapes de montagne, et parmi elles, un bon vieux Pau-Luchon des familles et une course de côte au Plateau de Beille. A côté de ça, plus de 110 bornes chronos, et un très grand nombre (10 !!! :ouch: ) d'étapes de plaine frisant ou dépassant les 200km.
Il y avait quand même une 5ème étape de montagne de prévue entre Albertville et Aix les Bains via le Semnoz, le Col des Prés et le Revard mais cette étape fût neutralisée. Et malgré ça, Pantani a battu Ullrich donc il y avait encore trop de montagne et pas assez de chrono :siffle:

Dans mes souvenirs, les étapes de plaine étaient aussi beaucoup moins chiantes à cette époque qu'elles le sont aujourd'hui. En tout cas, les échappées allaient bien plus souvent au bout.
La victoire de Pantani emmène à se poser une question importante:

-Pour un grimpeur, est-ce vraiment préférable de voir un maximum de cols dilués dans 10 étapes de haute ou moyenne montagne plutôt qu'un nombre moindre concentré en 4 ou 5 étapes ??? :scratch:

Parce-que bon, l'impression que j'ai parfois, c'est que plus le nombre de phases montagneuses est importante, moins les gars ont de forces pour secouer le cocotier dans les étapes décisives. :confused: En 2016, ça me paraissait flagrant. (après, 1998 était une année particulière, Pantani était Pantani, et Ullrich s'était un peu suicidé)
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Par Allobroges
#2721812
Bof, Gerro a gagné à la Valverde, sans avoir une équipe du tonnerre si ce n'est ce pauvre Weeno qui tirait sa braquasse sur St Nicolas sans être à un rythme époustouflant évitant les attaques...
Quand c'est Valverde qui l'emporte dans les mêmes conditions, on crie presque au génie...

Et Gerro n'est pas n'importe qui (si on va par là, le vainqueur de 2009 dont j'ai oublié le nom, n'a pas non plus un palmares très reluisant sur des classiques...) J'ai pas fait l'exercice mais il serait pas loin du top 10 des plus jolis palmares des classic men encore en activité...
Par ulysse1
#2721821
à propos des parcours de c l m , j' aimerais bien revoir celui qui avait donné lui à la vitoire de jean-françois bernard devant herrera , il comportait une quarantaine de km de plat suivis du ventoux ( qui dit mieux pour l' originalité ? ) et de manière assez étonnante par rapport aux 40 km absolument plats herrera était déjà en tête à mi-col du ventoux et l' aurait emporté sans problème sans la performance hors de ses normes habituelles du vainqueur de ce jour-là
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Par marooned
#2721865
ulysse1 a écrit :
08 déc. 2017, 11:12
à propos des parcours de c l m , j' aimerais bien revoir celui qui avait donné lui à la vitoire de jean-françois bernard devant herrera , il comportait une quarantaine de km de plat suivis du ventoux ( qui dit mieux pour l' originalité ? ) et de manière assez étonnante par rapport aux 40 km absolument plats herrera était déjà en tête à mi-col du ventoux et l' aurait emporté sans problème sans la performance hors de ses normes habituelles du vainqueur de ce jour-là
Le chrono ne faisait "que" 36,5km. Une quinzaine de km de plat jusqu'à Bédoin puis l'ascension classique.
Avatar de l’utilisateur
Par loloherrera
#2721873
marooned2 a écrit :
08 déc. 2017, 13:36
ulysse1 a écrit :
08 déc. 2017, 11:12
à propos des parcours de c l m , j' aimerais bien revoir celui qui avait donné lui à la vitoire de jean-françois bernard devant herrera , il comportait une quarantaine de km de plat suivis du ventoux ( qui dit mieux pour l' originalité ? ) et de manière assez étonnante par rapport aux 40 km absolument plats herrera était déjà en tête à mi-col du ventoux et l' aurait emporté sans problème sans la performance hors de ses normes habituelles du vainqueur de ce jour-là
Le chrono ne faisait "que" 36,5km. Une quinzaine de km de plat jusqu'à Bédoin puis l'ascension classique.
Et je me permets d'ajouter que Bernard était en tête à tous les points intermédiaires.
Par *Chouchou*
#2721923
bullomaniak a écrit :
08 déc. 2017, 09:17
Attaquer à 4 km du sommet du dernier col c'est attaquer de loin ? :confused:

Genre Quintana qui essaie de partir au milieu de l'étape d'Ortisei ou de tout faire péter dans une descente dans les premiers kilomètres vers Piancavallo c'est quoi du coup ?
Voilà, j'ai retrouvé la partie du post auquel je répondais :
biquet a écrit :
07 déc. 2017, 19:28
...
Nibali me semble de plus en plus calculateur, dans les GT en tout cas. Cette année, il n'a fait rêver personne, pas plus sur le Giro que sur la Vuelta. Je le vois plus en vieux renard restant bien à l'affût, faisant jouer son endurance et sa régularité et portant ses attaques dans les descentes finales ( celles de Portillon, Colombière et Aubisque seront un terrain de jeu idéal pour lui).
...
Et dans mon précédent post, la phrase complète concernant Nibali comportait les mots que je mets en gras :
"Pour répondre à un post dans ce topic concernant Nibali, sur le Giro 2017, c'est le seul leader qui a attaqué de loin en grimpant le dernier col puis en nous gratifiant d'une descente majestueuse avec une victoire à la clé. Ce jour là, il a envoyé du rêve."
Par biquet
#2721942
*Chouchou* a écrit :
08 déc. 2017, 16:34
bullomaniak a écrit :
08 déc. 2017, 09:17
Attaquer à 4 km du sommet du dernier col c'est attaquer de loin ? :confused:

Genre Quintana qui essaie de partir au milieu de l'étape d'Ortisei ou de tout faire péter dans une descente dans les premiers kilomètres vers Piancavallo c'est quoi du coup ?
Voilà, j'ai retrouvé la partie du post auquel je répondais :
biquet a écrit :
07 déc. 2017, 19:28
...
Nibali me semble de plus en plus calculateur, dans les GT en tout cas. Cette année, il n'a fait rêver personne, pas plus sur le Giro que sur la Vuelta. Je le vois plus en vieux renard restant bien à l'affût, faisant jouer son endurance et sa régularité et portant ses attaques dans les descentes finales ( celles de Portillon, Colombière et Aubisque seront un terrain de jeu idéal pour lui).
...
Et dans mon précédent post, la phrase complète concernant Nibali comportait les mots que je mets en gras :
"Pour répondre à un post dans ce topic concernant Nibali, sur le Giro 2017, c'est le seul leader qui a attaqué de loin en grimpant le dernier col puis en nous gratifiant d'une descente majestueuse avec une victoire à la clé. Ce jour là, il a envoyé du rêve."
Bof, je vois pas en quoi il a envoyé du rêve en sonnant progressivement la charge à 5 ou 6 bornes du dernier sommet, avant de faire une grosse descente, sa spécialité.

Il ne s'est pas isolé dans la pente, il était accompagné de 3 ou 4 gars (dont Quintana, qui l'a relayé dans la montée).

Franchement, comme le disait Bullo, Quintana (et sa formation, pour une fois) m'a paru bien plus virulent sur l'ensemble du Giro, même si c'était parfois fait de manière maladroite. Ils ont essayé de faire exploser la course au pied des montées du Blockhaus (réussite partielle) et d'Oropa (échec), ils ont tenté le putsch lors de la négligence de Dumoulin (et ça a failli marcher !!), et Quintana a encore essayé de bousculer Dumoulin dans le cours de l'étape menant à Ortisei, en avançant des pions à l'avant puis en attaquant assez loin de l'arrivée (nouvel échec).

Je dis pas que Nibali n'a rien fait (il a tenté à plusieurs reprises, notamment sur l'Etna), mais sur l'ensemble du Giro, je trouve quand même que Quintana et Movistar ont bien plus pesé sur la course que Nibali et sa formation.

Et sur le plan de la performance athlétique pure, les 7 derniers km de Quintana au Blockhaus m'ont davantage marqué que la victoire de Nibali à Bormio. Mais chacun son point de vue.
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