- 19 mai 2017, 17:39
#2598066
Les Alpes, les voilà, toutes proches ! Après avoir remonté de la pointe du pied à la tête la botte italienne, voilà le peloton du Giro enfin arrivé au pied de la haute montagne. Pour cette 14e étape, néanmoins, il ne va faire que la regarder de loin puis l'effleurer. Les 131 kilomètres du jour sont assez simples, en fait : 120 bornes de plaine, puis la montée finale vers le sanctuaire de la Vierge noire d'Oropa (encore un lieu classé au patrimoine de l'Unesco, décidément), souvent vue ces derniers temps sur le Giro : victoire célèbre de Marco Pantani en 1999, contre-la-montre en côte remporté par Marzio Bruseghin en 2007, et échappée victorieuse d'Enrico Battaglin en 2014. Là-haut, on n'est qu'à 1.142 mètres, mais ça grimpe sec quand même sur un tout petit peu moins de douze bornes. En deux temps : d'abord un pied assez tranquille, puis un changement soudain après cinq kilomètres. La pente dépasse alors les 8%, et elle reste à ces hauteurs jusqu'au sommet, entrecoupée par trois très courts replats. Le passage le plus difficile, à 11%, est à la hauteur de la banderole des deux derniers kilomètres. De quoi donner une montée dynamique et rapide, même s'il ne devrait pas y avoir d'énormes écarts entre les principaux favoris.
Départ à 13h40. Arrivée prévue vers 17h10.
La carte de l'étape
Le profil et la carte de l'ascension finale
Samedi 20 mai, 14e étape : Castellania - Oropa (131 km)
Les Alpes, les voilà, toutes proches ! Après avoir remonté de la pointe du pied à la tête la botte italienne, voilà le peloton du Giro enfin arrivé au pied de la haute montagne. Pour cette 14e étape, néanmoins, il ne va faire que la regarder de loin puis l'effleurer. Les 131 kilomètres du jour sont assez simples, en fait : 120 bornes de plaine, puis la montée finale vers le sanctuaire de la Vierge noire d'Oropa (encore un lieu classé au patrimoine de l'Unesco, décidément), souvent vue ces derniers temps sur le Giro : victoire célèbre de Marco Pantani en 1999, contre-la-montre en côte remporté par Marzio Bruseghin en 2007, et échappée victorieuse d'Enrico Battaglin en 2014. Là-haut, on n'est qu'à 1.142 mètres, mais ça grimpe sec quand même sur un tout petit peu moins de douze bornes. En deux temps : d'abord un pied assez tranquille, puis un changement soudain après cinq kilomètres. La pente dépasse alors les 8%, et elle reste à ces hauteurs jusqu'au sommet, entrecoupée par trois très courts replats. Le passage le plus difficile, à 11%, est à la hauteur de la banderole des deux derniers kilomètres. De quoi donner une montée dynamique et rapide, même s'il ne devrait pas y avoir d'énormes écarts entre les principaux favoris.
Départ à 13h40. Arrivée prévue vers 17h10.
La carte de l'étape
Le profil et la carte de l'ascension finale