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Par 34Thomas13
#2785119
Salut,
Petit CR de ma deuxième cyclo (deuxième de l'année, et deuxième tout court, après la Corima).

Parcours de 89km (dont 2 neutralisés) de l'Héraultaise Roger Pingeon, avec 1600m de dénivelé selon les organisateurs, plutôt 1500 selon mon GPS et Strava ou même 1359 selon Open Runner (va comprendre).

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Quelques bonnes côtes (dont les Lavagnes - sommet à mi-parcours), des petites routes, du mauvais goudron par endroits, du vent modéré mais par rafales. Bref, exigeant et parfois dangereux. Mais un superbe ciel bleu, avec un temps très frais en début de matinée mais bien réchauffé par un soleil costaud ensuite.

La grande satisfaction, c'est d'avoir terminé fort, contrairement à la Corima. Dans la Drôme, j'avais perdu des dizaines de places sur la fin, ne tenant plus les roues. Là, on finit à deux avec un gros rouleur (qui m'aura rattrapé puis lâché en bas de la dernière descente). Quand il me double, je pige que ce type est puissant, et je sais qu'il y a 20 bornes de terrain relativement plat (beaucoup de faux plats, notamment descendants). Or je sais aussi qu'il y a une courte bosse au pied (65km sur le profil), alors j'essaye de rester à vue sans prendre trop de risque dans cette fin de descente. Je le reprends tout juste en sommet de bosse, et m'accroche à sa roue. 40 km/h sur plat, on frôle parfois les 50 dans les faut-plats descendants. Je passe quand même quelques relais quand il faiblit un peu. On sympathise (Christophe a 55 ans et vient de la région toulousaine - CV Montastruc). On collabore, mais c'est lui qui fait le gros du travail. On reprend deux jeunes, on les lâche, et on manque de pas grand chose de revenir sur un groupe de 6 ou 7 mecs. On finit en duo, sans sprinter. Je termine en roue libre sur les 50 dernières mètres, profitant de cette arrivée.

Le petit regret, c'est de ne pas savoir descendre. Pénalisant, notamment dans la dernière descente quand il n'y a plus de côte ensuite pour se refaire. Hier, ce fut peut-être un mal pour un bien, mais si mon rouleur m'avait bouffé un peu plus tôt dans cette descente, je ne l'aurais jamais revu... Et qui sait, si je négocie mieux la descente des Lavagnes, je rejoins peut-être d'autres coureurs dans le dernier col.

Mais revenons au début de course :
Gros inconvénient, les bouchons du début de Course. Contrairement à la Corima où c'était parti tambour battant malgré 2000 coureurs (3 parcours confondus), ici les 550 coureurs de mon parcours sont vite embouteillés. Ça frotte, ça gueule, ça râle... Beaucoup de jeunots essayent de passer devant dans les paquets serrés. Je comprends vite pourquoi, le pont suspendu de Lagamas, après deux kilomètres, est un véritable entonnoir, et le début réel est à sa sortie... L'idée, c'est donc d'en sortir en bonne position.
J'étais très bien placé sur la ligne de départ fictif, mais je sors du pont bien plus loin, ne voulant pas jouer les casse-cou (et les emmerdeurs, au passage, tant certains sont cons quand il s'agit de griller son monde).
Sortie du pont, ça part à fond, des paquets se forment, très hétérogènes, donc peu durables sur ces terrains légèrement vallonnés. Je largue mon paquet, me retrouve avec deux trois mecs, on roule, on rejoint un petit peloton, et devant nous à quelques centaines de mètre le premier peloton, celui des meilleurs. On se retrouve vite à 5 ou 6, les autres ne pouvant suivre, on reprend des lâchers du premier peloton, ça se calme un peu, d'autres nous rejoignent. On attaquera la première côte, plutôt roulante (cf à 18 km sur le profil), dans un groupe d'une cinquantaine de coureurs. On l'amorce très doucement, je passe en tête de groupe pour accélérer le rythme et ne pas accumuler trop de retard sur les grosso modo 100 coureurs qui sont devant nous.
Un peu plus tard, on attaque le gros col (Les Lavagnes, donc - un peu plus de 6km à 6 %, très irréguliers - passage à plus de 10% et très mauvais revêtement). Je monte à 18 km/h de moyenne, lâche tout le groupe, reprends une trentaine de mecs du premier peloton. Je reperds 2 ou 3 places dans la descente (très dangereuse mais interdite à la circulation), attaque la dernière côte (sommet à 30 bornes de l'arrivée) sans aucun replat, reprends les places perdues dans la descente (plus quelques autres), mais me retrouve rapidement dans un "désert cycliste". Derrière, ils sont loin, mais devant aussi. Personne à reprendre avant le sommet, avec à la sortie d'un virage plus de 500m de route déserte devant mois. Je termine le col sans forcer et bascule seul. Y a 20 bornes de "plat" une fois au pied. L'idée, c'est donc de descendre le moins mal possible puis de rouler peinard pour être rejoint tout frais par un ou plusieurs coureurs.
Bas de descente, Christophe me double, vous connaissez la suite...

Classement officiel : 71 sur 515 classés (le 70ème étant mon gros rouleur, avec l'évidence depuis le début de notre collaboration de 20km que je ne disputerai pas le sprint).

87 km en 2h48.

Bilan global : ravi d'avoir terminé en forme, d'avoir parfois pu profiter du paysage, d'avoir bien géré mes efforts. En col, j'ai repris des dizaines de places sans en perdre aucune. A relativiser bien sûr puisque les meilleurs grimpeurs étaient probablement dans ce qui restait du premier peloton à l'attaque des Lavagnes.

Une question bête, avez-vous des conseils pour mieux descendre ? Comment avez-vous géré vos imperfections dans ce domaine, si vous en aviez ? :smile:

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Par On3
#2786013
Encore une belle cyclo ! :super:
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Par 34Thomas13
#2786402
Merci à vous.
A part pour le problème du pont et la descente des Lavagnes qui est dangereuse, c'est une petite cyclo que je vous conseille vraiment ;).
Ah si, autre petit bémol : si ce n'est le café, l'eau, le thé à l'accueil, rien est offert avec l'inscription de base (pas même un petit dèj ou une barre céréale). Le maillot et le repas sont en pack (tarification supplémentaire).
Tarif pour le minimum syndical (ce que j'ai payé, donc) : 21 euros avant le 15 février (donc je vais pas me plaindre...).
http://heraultsport-pingeon.fr/index.php/tarifs/
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Par vaiceurum
#2792541
Warning ! Pavé incoming ! :elephant:

Résumé de l’épisode précédent qui n’a pas encore été publié sur le forum :

Le 18 mars j’avais participé à La Corima de 155 km.

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Ce n’était pas ma première course IRL de l’année (je précise car des courses j’en ai fait un paquet sur zwift déjà dont une place de vice-champion de France ça pète la classe mais ça veut rien dire :rieur: )
Je suis arrivé à Montélimar à l’heure prévu mais à priori pas suffisamment pour être placé à l’avant du peloton. En effet, les 2000 participants partent tous en même temps quelque soit le parcours réalisé. Du coup je pars très loin au départ, plus de 1500 personnes devant moi qu’il va falloir dépasser le plus vite possible pour espérer un résultat correct. Ainsi je passe la ligne de départ 3’ après les premiers.
Le fictif n’en est pas un pour moi et je me lance dans une entreprise perdu d’avance : rattraper les hommes de tête. Comme vous pouvez le voir sur le profil, le début de la course consiste en l’enchaînement de trois côtes. Il faut ajouter à ça un important vent de nord qui accélère la formation de petits groupes à cause des bordures. Je me retrouve à devoir faire le jump une multitude de fois pour sauter de groupes en groupe. J’ai la chance d’être assisté pendant un moment par un autre gars dans la même situation que moi. Au bout d’une heure et au sommet de la troisième côte, j’ai à peine repris 10s sur la tête de course et le prochain groupe devant moi est à environ 30s. Mais après 1h à bloc, j’ai atteint ma limite. Je me fais reprendre par un groupe qui va alors grossir petit à petit par l'arrière. Dans le col de Valouse je vais profiter du vent de dos pour tenter d’écrémer un peu et éventuellement rattraper des gens. Mais au final ce sont des efforts que je vais payer sur la fin de course.
Alors qu’il ne reste que 25km, je vais sauter de mon groupe sur une bordure alors que nous allions rattraper un groupe devant nous. Je finis tout seul à une position anecdotique (environ 50ème). Je peux me consoler en regardant les watts dépensés sur la première heure et me dire que la forme arrive.


Après ce premier paragraphe d’introduction, je peux maintenant attaquer le récit de ma seconde course de l’année de ce week-end, La Bisou. Sans passer par 4 chemins je peux tout de suite vous dire que cette cyclo est 100 fois mieux que La Corima !

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Le parcours est tout aussi splendide est exigeant et l’organisation bien meilleure. Le niveau est aussi très relevé avec la présence sur la ligne de départ des 2 champions de France espoir homme et femme ainsi que des coureurs Elite de Bourg en Bresse. Pas de vent, une température correcte et même un peu de soleil. Cette fois-ci, le fictif est bien réel et j’ai le temps de me replacer à l’avant du peloton. L’objectif du jour accompagner le plus longtemps possible les machines et si possible basculer le Mont July avec eux.
J’attaque cette première côte de 3 km à 9% bien placé. Cependant cela m’a déjà demandé des efforts et le pied est attaqué à bon train. L’écrémage est instantané et quand je me retourne à la moitié de l’ascension, je vois que c’est moi qui ferme la porte. Je vois bien que pour tenir le groupe je suis obligé fournir une puissance que je ne suis pas capable de tenir pendant 10’, mais je m’accroche dans l’espoir vain qu’il y ai un moment de flottements. A 1km du sommet, je suis contraint à réduire l’allure et à voir le maillot tricolore de Victor Lafay s’éloigner. Sur la fin de la montée, un gars revient à bon train sur moi et à l’air d’avoir géré sa montée. A la bascule, il cherche un relai de ma part mais j’en suis incapable.
Pour moi il est impossible que nous puissions revenir sur la tête de course au vue de la différence de niveau et que de loin je n’ai vu personne d’autre se faire décramponner du groupe après moi. Plusieurs personnes nous rejoignent de l’arrière et nous attaquons la vallée à 8. A ce moment, mon but, et ça à l’air d’être le cas pour tout le monde, est que personne d’autres ne reviennent de l’arrière. Ça collabore comme j’ai rarement vu. Tout le monde passe ces relais à un rythme assez soutenu. Les côtes sont montées au train et dans les vallées un rouleau se forme. Nous finissons même par reprendre un gars lâché de l’avant. Dans la côte de Grand-Corent km 86, je monte à un rythme plus soutenu et fais même le forcing en haut pour éliminer les plus fatigué et relancer l’allure du groupe. Au sommet nous sommes 4 puis 2 autres gars produiront un gros effort pour revenir sur nous. Forcément, ces deux là vont mettre du temps avant d’accepter de prendre de nouveau des relais.
L’ultime difficulté se trouve km 110 avec une montée en deux temps. Il y a de très gros pourcentage que je mets à profit pour essayer de former des écarts. Au sommet nous sommes plus que 3. Un quatrième homme revient au prix d’un gros effort. Dans les derniers kilomètres nous roulons toujours à bonne allure et nous reprenons un coureur du groupe de tête. De mon côté je commence à fatiguer et j’allège un peu mes relais. En plus de la fatigue que pointe le bout de son nez, je commence à avoir mal à la plante des pieds. Et à la vitesse que nous roulons, je n’ai pas trop le temps de toucher à mes chaussures. Malgré la fatigue de tout le monde, la bonne entente est de mise. Et ça commence à parler sprint ou pas sprint. Pour ma part, je vais sprinter pour la beauté du geste. Finalement je suis un peu le seul à me lever de la chaise et je passe la ligne 20ème à 8’ du vainqueur et 6’ du groupe principale.
Un résultat qui me satisfait même si je regrette un peu de ne pas avoir pu basculer avec les meilleurs.

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Par Mancebo82
#2792667
Félicitations Vaiceurum, tes recits sont très agréables à lire et en plus t’as bien gazé, de bonne augure pour la suite de ta saison. :wink:
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Par vaiceurum
#2792767
Merci ça fait plaisir :wink:
Je pense quand même que je devrais me forcer à relire plus attentivement pour éviter les fautes bêtes et les mauvaises tournures de phrases.

Pour ma "carrière", j'aurais dû m'y mettre plus tôt ^^. Mon but actuellement c'est à moyen terme pouvoir jouer la gagne sur ce genre de course. Pour le moment il me manque de la PMA.
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Par On3
#2793903
Qu'est-ce qui fait que la Bisou est "bien mieux organisée" que la Corima ?

Il n'y a pourtant pas grand chose à reprocher à la seconde. Le départ, c'est effectivement discutable. Pas vraiment de sas si ce n'est les départs prio, et un départ faussement neutralisé qui fait que les mecs qui ne sont pas dans le sas prio doivent envoyer du lourd dans les rues de Montélimar s'ils veulent espérer ne pas être à 10' au pied de la première difficulté. En vrai, je crois que le même sas prio ne respecte pas du tout cette neutralisation à 20km/h (soi-disant !). Du coup, je ne comprends pas l'intérêt de l'annoncer haut et fort chaque année.

Sur le 150km, je reprocherais également l'absence de ravito jusqu'à ce qu'on retrouve le parcours moyen (soit autour de 100 bornes, sachant que la séparation se fait au km ~60). Mais quelque part, c'est difficile de leur en vouloir sur ce point, ils cherchent à mutualiser leurs ravitos en fonction des parcours et être bénévole toute la journée pour ça, faut en vouloir.

Mais bon, ce sont des points de détails, je trouve le reste excellent. La possibilité de récupérer son dossard toute l'après-midi du samedi, l'amabilité des organisateurs et bénévoles, la sécurité sur le parcours (notamment les longs km après le départ).
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Par Mancebo82
#2793924
Niveau organisation au top, le jour où vous oserez descendre dans les Pyrénées ( :green: ) je vous conseille le mondial des chocolatiniens messieurs aka l’Ariégeoise, difficile de faire mieux.

Des solides et liquides au pied et en haut des cols, des benevoles toute la journée de partout, parfois en pleine pampa pour nous faire signe de ralentir pour un virage dangereux, et j’en oublie, le top je vous dis. :wink:
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Par Allobroges
#2793927
Bon, alors, motivation en totale berne pour l'auscitaine vu les conditions climatiques...On s'est rabattu sur un excellent lapin sauce moutarde/fritesà la graisse de canard/bières devant Roubaix, absolument contreproductif compte tenu de mes objectifs...

Je vais donc tenter de me rabattre sur la Ronde Castraise (et je n'exclus pas un long trail la semaine prochaine, histoire de _fondre un peu du haut du corps, que je privilégie à la traditionnelle clavette)

Ca devient galère pour s'entrainer (les belles journées étant essentiellement prévues en semaine...)
Dernière édition par Allobroges le 13 avr. 2018, 13:06, édité 1 fois.
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Par On3
#2793943
Allobroges, c'est clairement le Carlos Betancur de VCN. :rieur: :green:

Edit : Allobroges, il ne s'aligne ni sur l'Auscitaine ni sur la Castraise, il nous mixe les deux et il s'aligne sur l'Arlésienne. :elephant: :elephant: :elephant:
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Par Allobroges
#2793950
Oui, j'avais pas anticipé qu'un déplacement dans le Gers était aussi piégeux d'un point de vue diététique...

J'aurai dù m'en douter moi qui constate chaque week end les méthodes de gavage locales de leur "petits" joueurs de rugby...
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Par El_Pistolero_07
#2793953
Mancebo82 a écrit :
13 avr. 2018, 11:10
Niveau organisation au top, le jour où vous oserez descendre dans les Pyrénées ( :green: ) je vous conseille le mondial des chocolatiniens messieurs aka l’Ariégeoise, difficile de faire mieux.

Des solides et liquides au pied et en haut des cols, des benevoles toute la journée de partout, parfois en pleine pampa pour nous faire signe de ralentir pour un virage dangereux, et j’en oublie, le top je vous dis. :wink:
Un jour je serai présent et l'Ardèche imposera sa loi !

Sauf si y'a Bodo
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Par vaiceurum
#2794124
Je n'aurais peut-être pas dû dire que c'est l'organisation le problème, mais plutôt des choix qui me conviennent pas. Si je ne porte pas La Corima dans mon cœur ce n'est pas seulement pour cette histoire de départ à 2000 personnes. J'ajoute à cela le fait que les trois courses démarrent en même temps du coup pendant un moment nous roulons et faisons la course avec des coureurs qui ne seront pas classé avec nous. Je comprends que cela peut permettre à des indécis de choisir leur parcours au tout dernier moment en fonction des jambes mais est-ce que cela ne serait quand même pas une minorité.
A ma comparaison entre mes deux courses, il y a eu aussi une différence de sécurité. Sur la Corima, il est arrivée de nous retrouver à des carrefours sans aucune personne pour le sécuriser et pour ma part à chercher la flèche pour savoir où aller. Je n'ai pas eu ce problème à la Bisou car nous avons toujours eu une moto ouvreuse à nos côtés et à aucun moment je me suis demandé où je devais aller.
Un autre point qui ne m'a pas concerné directement mais qui a gêné une connaissance, celui-ci qui avait terminé avant moi sur La Corima a été classé à plus de 5 min derrière moi au scratch ! A priori un problème de puce qui n'a jamais été corrigé sur le classement final. Un problème qui pourrait être évité sur la Bisou car les gens sont invité à contrôler le fonctionnement de la puce au moment de la prise du dossard.

Voilà les points qui me semblait important mais cela n'est qu'un point de vue subjectif qui n'a pas valeur scientifique^^. La plupart de ces remarques proviennent certainement de mon placement dans la course 50e sur la Corima alors que j'étais 20e sur la Bisou.
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Par Mancebo82
#2794131
Allobroges a écrit :
13 avr. 2018, 11:17
Bon, alors, motivation en totale berne pour l'auscitaine vu les conditions climatiques...On s'est rabattu sur un excellent lapin sauce moutarde/fritesà la graisse de canard/bières devant Roubaix, absolument contreproductif compte tenu de mes objectifs...

Je vais donc tenter de me rabattre sur la Ronde Castraise (et je n'exclus pas un long trail la semaine prochaine, histoire de _fondre un peu du haut du corps, que je privilégie à la traditionnelle clavette)

Ca devient galère pour s'entrainer (les belles journées étant essentiellement prévues en semaine...)
Oh le goret. :rieur:

Je suis inscrit sur le long parcours sur la Castraise si t’es chaud (130 kms 2200 de D+ de tête). :wink:
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Par Mancebo82
#2794133
El_Pistolero_07 a écrit :
13 avr. 2018, 12:01
Mancebo82 a écrit :
13 avr. 2018, 11:10
Niveau organisation au top, le jour où vous oserez descendre dans les Pyrénées ( :green: ) je vous conseille le mondial des chocolatiniens messieurs aka l’Ariégeoise, difficile de faire mieux.

Des solides et liquides au pied et en haut des cols, des benevoles toute la journée de partout, parfois en pleine pampa pour nous faire signe de ralentir pour un virage dangereux, et j’en oublie, le top je vous dis. :wink:
Un jour je serai présent et l'Ardèche imposera sa loi !

Sauf si y'a Bodo
Mais quelle insolence jeune homme ! :rieur: :elephant:
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Par On3
#2794137
Mancebo82 a écrit :
13 avr. 2018, 17:17
El_Pistolero_07 a écrit :
13 avr. 2018, 12:01


Un jour je serai présent et l'Ardèche imposera sa loi !

Sauf si y'a Bodo
Mais quelle insolence jeune homme ! :rieur: :elephant:
Cela ne restera pas impuni. :elephant:
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Par Mancebo82
#2794151
On3 a écrit :
13 avr. 2018, 17:26
Mancebo82 a écrit :
13 avr. 2018, 17:17


Mais quelle insolence jeune homme ! :rieur: :elephant:
Cela ne restera pas impuni. :elephant:
Ah c’est certain, surtout qu’il faut toujours être humble face à la montagne (la vraie j’entends hein Pistolero :elephant: ) et ses adversaires. :green:

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