Marcella/ Albator et autre personne, votre top 10 des coureurs italiens que vous avez eu la chance de voir courir.
Pour moi (
précision je suis un 90):
1)
Pantani, c'est con mais je me repasse souvent les wampas et leur titre sur Marco. Et malgré toute ses qualités de grimpeur exceptionnel, le moment qui m'a le plus marqué dans sa carrière c'est son attaque dans la Cipressa lors de MSR 99, les puncheurs plantés incapable de le suivre,Bartoli, VDB,... (Antonello Venditti-Tradimento E Perdono
).
2)
Bartoli, le chat comme surnom, une classe, un démarrage unique
Son attaque en 96 dans le Muur
. Seul regret qu'un coureur de sa trempe n'ai jamais réussi à conquérir le maillot arc en ciel
3)
Gibo, le coureur qui m'a fait quelque peu oublier les déboires de Marco, un grimpeur pur comme je les adorais il y a encore quelque temps.
En 2003 sa victore sur le Mortirolo avec le maillot rose
4)
Tafi, un pur classicman, un style unique et un coureur qui n'avait pas peur de lancer les débats de loin.
Guerrier, dur au mal, il ne lâchait jamais rien, il reste toujours à ce jour l'un des coureurs à avoir réussi à gagner les 2 monuments les plus opposés.
5)
Garzelli, un coureur qui gagna le giro 2000 grâce en partie au super boulot d'un Pantani encore très offensif en juillet sur les routes du tour.
Grimpeur diesel, capable de tout faire et de gagner dans sa carrière le GP de Francfort, mais également de se faire voler un LBL (2002, merci MApei
).
Un fin de carrière comme baroudeur avec l'ajout dans sa collection de maillot de meilleur grimpeur du Giro.
6)
Petacchi, dans l'ombre de Cipo pendant plusieurs années, il a petit à petit pris le dessus sur son aîné, à base de train (Marco Velo
) dans les grosses formation comme la Fasso BOrtolo (
).
7)
Casagrande, la double casquette, puncheur/ grimpeur il ne lui aura pas manqué grand chose pour gagner un Giro, juste la présence d'un Gibo survolté, il se construisit au fil du temps un palmarès qui comme on dit à vraiment de la gueule entre classique. courses à étape d'une semaine
8)
Pippo Pozzato, une fin de carrière qui me laisse un gout amer, en rapport avec ses qualités je pense toujours qu'il n'a pas eu le palmarès qui aurait pu être le sien. La faute à un coté quelque peu paresseux et une fixation sur certaines roues.
Mais pour le reste quelle classe sur le vélo, l'un des plus beaux stylistes que j'ai eu la chance de voir à l'oeuvre.
Sa victoire à MSR restera le moment le plus fort de sa carrière et le Ronde 2012 comme l'un des plus embarrassant.
La facilité de gars sur ce Ronde 2009, si il avait eu l'envie, le courage de prendre la course en main sans se retourner, ça aurait été un carnage
9)
Ricco ou Nibali, à la base j'étais un membre de la team Ricco, mais à force de mensonge etde l’émergence de Nibali, je me suis laissé allé aux qualités de descendeur du sicilien.
Pestant avec vigueur contre le Nibali post 2012, j'ai mis un peu d'eau dans mon vin à la suite de sa victoire prestigieuse sur la via roma.
Au choix
Démarrage de Ricco à partir de 1h18'23''
Ricco/ Contador: 1h08'15''
10)
Di Luca, oui j'ai pris un gros coup sur la tete pendant le Giro 2013, les mots de Benat Intxausti étaient virulent.
Malgré tout je le laisse dans mon top 10, car il m'a donné trop démission au fil des années que ce soit sur les classiques ou sur les GT.
Son Giro 2007 est un modèle du genre, celui de 2009 malgré son échec, une belle preuve de combativité.
Un classe, un jump, qui le laissera à tout jamais dans le gratin des fuoriclasse que l'Italie a connu entre la fin des années 90 et le début des années 2000.
(Froome, le début de la montée infernale)
Mention:
Scarponi, Paolini, Basso, Bennati, Mazzanti, Ballan, Nardello,Ginanni, Piepoli, Pellizotti
Vite fait dans ceux que je n'ai pas vraiment apprécié:
Bettini :vomito:
Cunego
Frigo
Pour
Cipo je n'arrive pas à le classer