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Par Noé
#2714193
C'est bien, ça lui changera. Et se frotter au vrai panache sur les Strade ne pourra lui faire de mal.
D'ailleurs, il est possible que je sois à Sienne à la période de la course l'an prochain....
Par DaveyBS
#2714217
Denz & Duval en seront en 2018

peu de recrutement mais très bon pour les classiques : Venturini, Gallopin & Dillier

AG2r continue à se renforcer sur ce secteur pour se montrer un peu plus en dehors des GT

c'est Naesen qui va être content !!!
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Par ThomasBeuh
#2714434
DaveyBS a écrit :
15 nov. 2017, 11:58
il ne leur manque qu'un grand sprinteur & hop
mais bon c'est plus la politique de l'équipe depuis les années Kirsipuu
Oui enfin "avoir un bon sprinteur" ca veut pas dire grand chose... C'est loin d'être si simple, ca signifie engager un coureur et des équipiers pour le suppléer, créer un groupe à l'entrainement avec du staff dédié et du matos, des prépas spécifiques... Ce sont des réglages sur le moyen puis long terme, une dynamique. Ce n'est pas je prends machin et il me claque 15 victoires/an.
Ag2r n'a pas un budget illimité (ni un savoir faire dans ce domaine d'ailleurs). S'investir sur un top sprinteur pourrait élargir leur palette mais ils mettraient du temps (de l'argent et de l'énergie) conséquent pour s'inatller dans le top de la hiérarchie mondiale. Ce qui est déjà le cas pour les CGs et les grimpeurs, ce serait bête de négliger cela.

On voit un effort depuis quelques années (allant de paire avec une hausse du budget) sur des rouleurs/flandriens. Ca devrait percé l'an prochain.
Par DaveyBS
#2714501
c'est bien ce que je dis c'est plus la politique de l'équipe depuis Kirsipuu !!!

les GT & désormais les classiques !

ps : on le voit avec Sky, qui a laissé partir Viviani (esseulé) & Van Poppel, pour tout donner sur les GT & simplifier le boulot de Kwiatkowski sur certaines classiques
ils ont pris Halvorsen mais comme il est jeune, il sera moins exigeant que Viviani
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Par Wald
#2714510
Il faut aussi le trouver ce top sprinteur, il n’y a en pas forcément beaucoup sur le marché.

J’espère juste que Barbier progressera de façon à arriver au niveau de Dumoulin pour faire des placettes sur les WT non compétitives et en claquer sur la coupe de Francr.
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Par Super_Cuvet
#2714516
Quelques infos supplémentaires sur le programme de Bardet dans L'Equipe.

Les 2 objectifs de l'année seront le Tour et le championnat du Monde, les autres courses étant "pour monter en puissance".
Il compte prendre le départ du Tour avec 30 jours de courses (contre 34 l'an passé). Reprise en Andalousie ou Algarve (mi-février comme les années précédentes alors qu'il était question de reprendre plus tard), Strade Bianche, Tirreno (a priori sans ambition démesurée : "Autrefois, je voulais absolument m'étalonner lors de la première montée de l'année en World Tour, ben sûr cela reste important, mais il faut relativiser à l'échelle d'une saison"), Pays basque (L'Equipe parle d'un rendez-vous traditionnel alors qu'il n'y est allé que depuis l'an passé, confondent-ils avec la Catalogne ?), Tour du Finistère (pour reconnaître le parcours du Tour) puis LBL. Pas de long stage annoncé en début de saison, plus question de la Romandie comme c'était le cas depuis quelques années (le programme a été changé de force l'an passé à cause de Paris-Nice).
Stage en Sierra Nevada et Dauphiné pour préparer le Tour. La semaine supplémentaire avant le Tour sera consacrée à un stage en plaine avec préparation du clm par équipes.
Pendant la coupure, Bardet a travaillé le chrono à vélo et en salle (musculation).
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Par veji2
#2714537
C'est pas absurde, même très rationnel, je n'ai aps lu l'article en entier mais dans le début qui est accessible aux non abonnés il y a des phrases intéressantes, il dit qu'il sait quel coureur il est et ce qu'il peut encore être et donc qu'il sait comment il doit faire pour essayer de gagner, sous entendu il n'a pas 36 Variations de disponibles, il y a une méthode à pousser jusqu'au bout. Je serais curieux de comprendre ce qu'il y a derrière ça.
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Par Super_Cuvet
#2714587
Oui, c'est ce qu'il dit : il va pousser sa logique de "tout pour le Tour" jusqu'au bout pour voir s'il peut l'emporter. Vu sa progression, c'est logique (certains mauvais coucheurs vont dire "c'est un coureur qui ne vise que le Tour et ne respecte pas le calendrier" mais qui diraient "il n'a pas d'ambition" s'il avait un autre programme).

Personnellement, je trouve un peu dommage qu'il annonce ne pas avoir d'ambition avant le Tour. Il va faire 4 courses à étapes avant le Tour qui auront toutes, a priori, un chrono. Sur le Dauphiné, il pourrait y avoir un chrono par équipes comme en 2015. Sur le Pays basque, ça se joue généralement sur le chrono le dernier jour. Sur Tirreno, il peut y avoir 2 chronos. Sur l'Algarve, c'est 15 bornes de chrono mini. Et l'Andalousie, il y a aussi au pire un prologue. S'il dit qu'il ne cherchera pas à être parmi les meilleurs à Tirreno, c'est qu'il ne le sera pas non plus lors de sa course de reprise. Bref, ça parait mal barré pour remporter une course à étapes avant le Tour (on peut rêver du Dauphiné). J'aurai préféré qu'il fasse la Catalogne au lieu du Pays basque, ça me parait une course plus accessible pour lui pour la gagne.
Pour les classiques, il faudra attendre LBL.

On risque donc d'être un peu frustrés avant le Tour.

Et après le Tour, il y aura probablement un enchainement de courses d'un jour de préparation pour le mondial.

Alors évidemment s'il gagne le Tour ou est champion du Monde ou gagne LBL, on sautera de joie, mais s'il est juste "bien classé", il y aura un sentiment de répétition (certes à un niveau élevé).

C'est une année qui risque de beaucoup ressembler aux précédentes. J'aimerai un peu de surprises de temps en temps (comme la Vuelta cette année).
Par Richard
#2714600
Oui c'est un peu le risque le sentiment de répétition.
C'est notamment pour ça que c'est pas mal qu'il change - un peu - de programme.
Tant qu'il continue à y progresser, le "tout pour le Tour" se justifie.
Mais 2017 peut aussi bien être un marchepied qu'un plafond.

Parce que cette année la progression n'est pas si criante, c'est plutôt une belle consolidation en montagne : toujours avec les meilleurs sur ses objectifs, sans plus décrocher maintenant, et en essayant de les secouer mais sans arriver vraiment à les lâcher non plus - c'est déjà énorme me direz-vous, mais tant qu'il aura ces lacunes contre la montre, il lui sera quasiment impossible de faire mieux, et très difficile de faire aussi bien.
Ou alors il faudra encore progresser d'un cran en montagne, et compter sur des opportunités type Bettex ou Peyra-Taillade pour enfoncer le clou.

L'équipe se renforce aussi, dans son effectif et dans son attitude, reste à arriver à l'utiliser de façon décisive, pas une mince affaire mais des raisons d'espérer.

Beaucoup ne le voyaient pas remonter sur le podium, il s'en est fallu de très peu d'ailleurs, et finalement il n'est quand même pas tout près d'Uran, et à 2'20 d'un Froome qui n'était que sur le premier de ses deux objectifs.
Ça reste un rapproché vs. 2016 (à 4'20, avec 18 bornes de clm en moins) et par chance la distance en chrono l'année prochaine est encore très faible (même s'il y aura aussi un petit ou moyen débours sur le CLME) donc pas de raison de changer d'objectif majeur.


Après, pas d'ambition avant le Tour, je pense qu'il ne faut pas le prendre au pied de la lettre, il en rajoute un peu pour s'enlever de la pression et mettre en avant le socle de confiance et de repères qu'il a acquis. Mais pour autant je le vois mal faire toute la première partie de saison en-dedans.


Si ça ne marche pas autant que prévu, il sera toujours temps de changer son fusil d'épaule et de cibler d'autres objectifs pour 2019 (autre GT - si AG2R a quelqu'un d'assez costaud pour assurer aussi sur le Tour -, classiques, course par étapes d'une semaine, etc.)
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Par veji2
#2714604
Super_Cuvet a écrit :
16 nov. 2017, 13:11
Oui, c'est ce qu'il dit : il va pousser sa logique de "tout pour le Tour" jusqu'au bout pour voir s'il peut l'emporter. Vu sa progression, c'est logique (certains mauvais coucheurs vont dire "c'est un coureur qui ne vise que le Tour et ne respecte pas le calendrier" mais qui diraient "il n'a pas d'ambition" s'il avait un autre programme).

Personnellement, je trouve un peu dommage qu'il annonce ne pas avoir d'ambition avant le Tour. Il va faire 4 courses à étapes avant le Tour qui auront toutes, a priori, un chrono. Sur le Dauphiné, il pourrait y avoir un chrono par équipes comme en 2015. Sur le Pays basque, ça se joue généralement sur le chrono le dernier jour. Sur Tirreno, il peut y avoir 2 chronos. Sur l'Algarve, c'est 15 bornes de chrono mini. Et l'Andalousie, il y a aussi au pire un prologue. S'il dit qu'il ne cherchera pas à être parmi les meilleurs à Tirreno, c'est qu'il ne le sera pas non plus lors de sa course de reprise. Bref, ça parait mal barré pour remporter une course à étapes avant le Tour (on peut rêver du Dauphiné). J'aurai préféré qu'il fasse la Catalogne au lieu du Pays basque, ça me parait une course plus accessible pour lui pour la gagne.
Pour les classiques, il faudra attendre LBL.

On risque donc d'être un peu frustrés avant le Tour.

Et après le Tour, il y aura probablement un enchainement de courses d'un jour de préparation pour le mondial.

Alors évidemment s'il gagne le Tour ou est champion du Monde ou gagne LBL, on sautera de joie, mais s'il est juste "bien classé", il y aura un sentiment de répétition (certes à un niveau élevé).

C'est une année qui risque de beaucoup ressembler aux précédentes. J'aimerai un peu de surprises de temps en temps (comme la Vuelta cette année).
oui voilà, ça va beaucoup ressembler aux autres années.. Bon après il n'est pas encore vieux, il veut pousser la logique jusqu'au bout. La question c'est comment réagira-t-il s'il fait 3 l'an prochain derrière un Froome et un Quintana par exemple ? Comment réagira-t-il s'il fait 5 ? retenter l coup pareil l'an prochain, changer d'approche ? Il y a un peu le risque du mec qui a tout joué sur le Tour et commence à tenter de jouer la gagne ailleurs à 30 ans alors qu'avant il aurait peut être pu gagner un GT... on verra bien.
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Par Super_Cuvet
#2714634
S'il est "dans le coup pour la gagne" comme cette année (j'ai mis entre guillemets, ne me tombez pas dessus pour me dire qu'il n'a jamais été dans le coup pour la gagne, je veux dire par là si il est à quelques secondes du maillot jaune au départ du dernier chrono ou de la dernière étape de montagne), il pensera qu'il est capable de gagner le Tour un jour (là encore, je ne dis pas que c'est vrai, je dis que c'est ce qu'il pensera) et recommencera le même programme. Ca durera tant qu'il sera dans une telle configuration.

S'il échoue à cause d'une chute, il recommencera le même programme en 2019 en se disant que l'approche était bonne mais que c'est la faute à pas de chance.

Pour qu'il change, il faudrait qu'il soit devancé à la pédale.
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Par Liam
#2714656
Je trouve sa position largement cohérente. On voit bien sur les épreuves d'une semaine que le ratio km chrono/kms de montagne le désavantage complètement. Au point qu'une grande majorité de suiveurs ont oublié qu'il était très fort en montagne au printemps 2017 du fait de son recul au CG à cause des chronos. Hors parcours vraiment très montagneux (qu'il ne retrouvera qu'au Dauphiné ou au Tour de Suisse les bonnes années) il n'a quasiment aucune chance de remporter des courses d'une semaine. Et même des podiums s'annoncent compliqués à aller chercher avec ses lacunes. Bardet, vu le niveau qu'il a atteint et ses dispositions physiques, est clairement devenu un pur coureur de GT. Il a raison d'y recentrer ses ambitions, maintenant qu'il sait pouvoir faire jeu égal avec les meilleurs grimpeurs mondiaux. J'espère simplement qu'il n'abandonnera pas ses ambitions sur les classiques et qu'il se décidera à les courir pour gagner avec une vraie prise d'initiative (sur Liège notamment).
Par -Vélomen-
#2714670
Bardet confirme qu'il est un coureur du Tour et qu'il ne compte pas changer cela.

Après, je regrette un peu cette approche, et pour être franc, j'espère qu'elle ne va pas devenir la norme. La mode des dernières années était plutôt sympa avec des coureurs (Froome, Quintana, Valverde etc...) qui claquaient de gros débuts de saison sans penser sans arrêt au Tour et qui brillaient quand même en juillet.

Là, j'ai l'impression qu'on est en train de revenir à ce qui se faisait lors des années Ullrich / Armstrong, avec des coureurs qui veulent en faire le moins possible jusqu'au Tour. D'ailleurs, à la FDJ, Madiot parle de "compter les coups de pédale en début de saison" (bon ça peut se comprendre vu lepassé de Pinot sur le Tour et sa faculté à trop en faire).

Pour Bardet, ça sera donc quitte ou double.
Je n'aime pas ce type de calendrier, et en tant que fan et suiveur, j'espère que ça ne va pas devenir THE approche pour les coureurs de GT.

Pour finir, je trouve vraiment que ce coureur ne dégage plus rien chez moi : c'est trop "too much" en interview, c'est trop scientifique, c'est trop carré. Ca en devient une caricature du cyclisme actuel je trouve. Et d'ailleurs, Bardet le dit lui-même, son kiff c'est de calculer sa progression, être cartésien et prendre du plaisir dans la préparation.

Le plaisir en course, c'est secondaire pour lui.
Par Richard
#2714684
-Vélomen- a écrit :
16 nov. 2017, 17:45
Bardet confirme qu'il est un coureur du Tour et qu'il ne compte pas changer cela.

Après, je regrette un peu cette approche, et pour être franc, j'espère qu'elle ne va pas devenir la norme. La mode des dernières années était plutôt sympa avec des coureurs (Froome, Quintana, Valverde etc...) qui claquaient de gros débuts de saison sans penser sans arrêt au Tour et qui brillaient quand même en juillet.

Là, j'ai l'impression qu'on est en train de revenir à ce qui se faisait lors des années Ullrich / Armstrong, avec des coureurs qui veulent en faire le moins possible jusqu'au Tour. D'ailleurs, à la FDJ, Madiot parle de "compter les coups de pédale en début de saison" (bon ça peut se comprendre vu lepassé de Pinot sur le Tour et sa faculté à trop en faire).

Pour Bardet, ça sera donc quitte ou double.
Je n'aime pas ce type de calendrier, et en tant que fan et suiveur, j'espère que ça ne va pas devenir THE approche pour les coureurs de GT.
Contador aussi faisait des gros débuts de saison même s'il est vrai qu'il ne brillait plus trop en juillet ces dernières années, de fait.

(pour la décla de Madiot, il y a un autre facteur aussi : il avait mis beaucoup de pression pour commencer très fort l'année, après un bon hiver, et une saison 2016 bien compliquée dans sa deuxième moitié (Démare ne gagnait plus ou presque, Pinot avait arrêté sa saison, Vichot renversé à l'entraînement je crois...), ce facteur joue aussi.
Il fallait se remettre à l'endroit, gagner vite et bien, se rassurer et faire le plein de confiance pour enclencher une bonne dynamique pour ses leaders pour la saison, moins un impératif l'an prochain après une saison bien plus pleine.)
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Par Super_Cuvet
#2714716
-Vélomen- a écrit :
16 nov. 2017, 17:45
Pour finir, je trouve vraiment que ce coureur ne dégage plus rien chez moi : c'est trop "too much" en interview, c'est trop scientifique, c'est trop carré. Ca en devient une caricature du cyclisme actuel je trouve.
En l’occurrence, Bardet a toujours été comme ça depuis ses débuts pros où il répétait sans cesse qu'il n'était qu'un humble équipier au service de l'équipe.
Il maîtrise parfaitement les codes de la communication moderne.
Il faut regarder un peu plus loin que ça et voir tout ce qu'il s'est imposé pour y arriver, notamment son travail en stage. Il a une approche vraiment intéressante.
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Par Liam
#2714739
Super_Cuvet a écrit :
16 nov. 2017, 18:59
-Vélomen- a écrit :
16 nov. 2017, 17:45
Pour finir, je trouve vraiment que ce coureur ne dégage plus rien chez moi : c'est trop "too much" en interview, c'est trop scientifique, c'est trop carré. Ca en devient une caricature du cyclisme actuel je trouve.
En l’occurrence, Bardet a toujours été comme ça depuis ses débuts pros où il répétait sans cesse qu'il n'était qu'un humble équipier au service de l'équipe.
Il maîtrise parfaitement les codes de la communication moderne.
Il faut regarder un peu plus loin que ça et voir tout ce qu'il s'est imposé pour y arriver, notamment son travail en stage. Il a une approche vraiment intéressante.
Je trouve au contraire qu'il y a un vrai changement de ton dans les interventions de Bardet depuis l'an dernier.

J'avais bien aimé le Bardet du Tour 2014 et celui du Tour 2015 avait forcé mon respect. Bien sûr il avait déjà cette personnalité et ce caractère qu'on lui connaît aujourd'hui mais je le trouvais beaucoup plus authentique. Depuis 2016 il y a quelque chose de beaucoup moins naturel et beaucoup trop superficiel.

Alors oui il maîtrise les arcanes de la communication auprès du grand public, des annonceurs, d'ASO et de son sponsor, mais j'ai l'impression qu'il s'est enfermé dans un personnage qu'il s'est créé à un point qui frise parfois la caricature et qui le rend beaucoup moins attachant qu'avant.
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