- 12 nov. 2018, 17:34
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Difficile d’émettre autre chose qu’un commentaire positif au moment de dresser le bilan de la saison 2018 de l’équipe Quick-Step Floors. Avec pas moins de 73 victoires au compteur, la formation dirigée par Patrick Lefevere a en effet effectué une véritable razzia tout au long de l’année. Parmi les succès les plus prestigieux, on notera ceux de Julian Alaphilippe lors de la Flèche Wallonne, de Bon Jungels à l’occasion de Liège-Bastogne-Liège, ou encore de Niki Terpstra lors du Tour des Flandres.
Le coureur
Julian Alaphilippe : plus qu’un palier physique, c’est certainement mentalement que Julian Alaphilippe a franchi un cap cette année en remportant les deux premières classiques de sa carrière (Flèche Wallonne et Clasica San Sebastian). Auteur également d’un très bon Tour de France (2 étapes et le maillot à pois), Alaph’ a ensuite déroulé en septembre en s’offrant le Tour of Britain et le Tour de Slovaquie. Une débauche d’énergie trop grande diront certains, qui l’a peut-être privé d’un peu de jus lors du final du mondial, qui restera comme un échec. Mais peu importe après tout, le français a encore le temps de garnir son palmarès et nul doute que l'obtention d'un titre mondial n’est qu’une question de temps..
La confirmation
Enric Mas : présenté comme le grand espoir du cyclisme espagnol sur les courses par étapes, Enric Mas a fait honneur à son statut cette année, en signant tout d’abord au printemps une victoire de prestige obtenue lors du Tour du Pays Basque. La suite, on la connaît, et notamment la Vuelta, que le coureur de la Quick-Step a conclu à une impressionnante seconde place, à moins de 2 minutes du vainqueur Simon Yates. Et si c’était lui finalement le vainqueur de Grand Tour que Patrick Lefevere attend depuis tant d’annnée ?
La déception
Zdenek Stybar : si il a souvent été placé, mais aussi parfois contraint de jouer la course d’équipe, Zdenek Stybar n’en a pas pour le moins déçu cette saison. Contrairement à la plupart de ses co-équipiers, le tchèque n’a pas levé les bras en 2018, pire encore, il n’a signé aucun top 5 sur les classiques, que ce soit au printemps ou à l’automne. On attendra forcément donc mieux de lui l’an prochain.
Le coureur
Julian Alaphilippe : plus qu’un palier physique, c’est certainement mentalement que Julian Alaphilippe a franchi un cap cette année en remportant les deux premières classiques de sa carrière (Flèche Wallonne et Clasica San Sebastian). Auteur également d’un très bon Tour de France (2 étapes et le maillot à pois), Alaph’ a ensuite déroulé en septembre en s’offrant le Tour of Britain et le Tour de Slovaquie. Une débauche d’énergie trop grande diront certains, qui l’a peut-être privé d’un peu de jus lors du final du mondial, qui restera comme un échec. Mais peu importe après tout, le français a encore le temps de garnir son palmarès et nul doute que l'obtention d'un titre mondial n’est qu’une question de temps..
La confirmation
Enric Mas : présenté comme le grand espoir du cyclisme espagnol sur les courses par étapes, Enric Mas a fait honneur à son statut cette année, en signant tout d’abord au printemps une victoire de prestige obtenue lors du Tour du Pays Basque. La suite, on la connaît, et notamment la Vuelta, que le coureur de la Quick-Step a conclu à une impressionnante seconde place, à moins de 2 minutes du vainqueur Simon Yates. Et si c’était lui finalement le vainqueur de Grand Tour que Patrick Lefevere attend depuis tant d’annnée ?
La déception
Zdenek Stybar : si il a souvent été placé, mais aussi parfois contraint de jouer la course d’équipe, Zdenek Stybar n’en a pas pour le moins déçu cette saison. Contrairement à la plupart de ses co-équipiers, le tchèque n’a pas levé les bras en 2018, pire encore, il n’a signé aucun top 5 sur les classiques, que ce soit au printemps ou à l’automne. On attendra forcément donc mieux de lui l’an prochain.
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