Modérateur : Modos VCN
Il se réservait pour ce grand grand objectif de fin de saison.
Le topic "seille maille nailleme" fait son effet, ça pourra permettre de bien prononcer son nom
Surtout pas malheureux, il faut préserver l'ADN d'une course, le Tour de Turquie doit rester chiant au possible ...Le sucre sportif a écrit : ↑11 oct. 2018, 16:13Le topic "seille maille nailleme" fait son effet, ça pourra permettre de bien prononcer son nom
Bon sinon deux réactions suite à ce final que je n'ai pas vu :
- Oerken en WT en 2018
- Mettez moi des secteurs avec de la caillasse pour redynamiser cette course
Je vais pouvoir réappliquer ma théorie : le problème de cette étape, c'est le plat entre la fin de la descente et l'arrivée (5kms en demi-cercle pouvant être abaissés à 2kms si on y va en ligne droite) et là on aurait un final Sanremesque, les sprinteurs seraient plus en difficulté, surtout en allongeant la distance de l'étape à 250kms (ce que je proposais dans la présentation). Avec la fatigue et le final indécis : bordures, attaques dans la bosse, duels entre les sprinteurs qui passe les bosses et font le rythme du peloton avec leur équipier, façon Poggio, et les puncheurs offensifs qui tenteraient leur chance Un peu comme le final du vrai Paris-Tours
Ils ont bien fait.Le sucre sportif a écrit : ↑11 oct. 2018, 16:09C'est UAE qui a mené la chasse dans le peloton, pour une victoire de Bennett , qui avait remportée la même étape l'an passé.
2 Richeze
3 Degenkolb
4 Bevin
5 Örken
6 Garcia
7 Lutsenko
8 Haas
9 Kasperkiewicz
10 Aristi
Et pourtant, l'ADN du Tour de Turquie, ce sont des duels pour la gagne lors de l'étape arrivant au sommet, des coups de bordure et des sprinteurs préparant le Girotwisty a écrit : ↑11 oct. 2018, 16:32Surtout pas malheureux, il faut préserver l'ADN d'une course, le Tour de Turquie doit rester chiant au possible ...Le sucre sportif a écrit : ↑11 oct. 2018, 16:13
Le topic "seille maille nailleme" fait son effet, ça pourra permettre de bien prononcer son nom
Bon sinon deux réactions suite à ce final que je n'ai pas vu :
- Oerken en WT en 2018
- Mettez moi des secteurs avec de la caillasse pour redynamiser cette course
Excellenttwisty a écrit : ↑11 oct. 2018, 16:32Surtout pas malheureux, il faut préserver l'ADN d'une course, le Tour de Turquie doit rester chiant au possible ...Le sucre sportif a écrit : ↑11 oct. 2018, 16:13
Le topic "seille maille nailleme" fait son effet, ça pourra permettre de bien prononcer son nom
Bon sinon deux réactions suite à ce final que je n'ai pas vu :
- Oerken en WT en 2018
- Mettez moi des secteurs avec de la caillasse pour redynamiser cette course
C'était déjà regroupé à 5km de l'arrivée, enlever 2 ou 3 km n'aurait rien changéLe sucre sportif a écrit : ↑11 oct. 2018, 16:33Je vais pouvoir réappliquer ma théorie : le problème de cette étape, c'est le plat entre la fin de la descente et l'arrivée (5kms en demi-cercle pouvant être abaissés à 2kms si on y va en ligne droite) et là on aurait un final Sanremesque, les sprinteurs seraient plus en difficulté, surtout en allongeant la distance de l'étape à 250kms (ce que je proposais dans la présentation). Avec la fatigue et le final indécis : bordures, attaques dans la bosse, duels entre les sprinteurs qui passe les bosses et font le rythme du peloton avec leur équipier, façon Poggio, et les puncheurs offensifs qui tenteraient leur chance Un peu comme le final du vrai Paris-Tours
Pas besoin de rajouter des crevaisons pour faire le spectacle
Et si la route est trop large, on met des barrières tout du long pour ne laisser qu'une voie, ça bordurerait à mort
En réalité l'équipe c'est Murias et pas Euskadi. Euskadi n'aide pas financièrement l'équipe. Le vrai sponsor de l'équipe est Murias.Le sucre sportif a écrit : ↑11 oct. 2018, 14:01Mads Würtz Schmidt (24 ans, Katusha, Danois) 113ème à 1’32’’
Débutant au niveau continental à 18 ans, il s’est révélé au sein du team Trefor en remportant 2 étapes et fait podium du CG du tour du Danemark ce qui lui a valu une place chez Katusha l’an passé. Il aura surtout réussi à faire un podium à l’étoile de Bessèges. Rouleur passant bien les bosses et avec une bonne pointe de vitesse, il a fait quelques classiques en début de saison (12ème de l’Omloop) puis s’est préparé pour le Giro, où il fera un top 10 à Gualdo Tadino, 4ème du peloton en arrivée semi-massive. Il a cet été fait le Binck Bank Tour et le tour de Grande Bretagne avec de bonnes perf’. Il est aujourd’hui sur son terrain de prédilection.
Fernando Barcelo (22 ans, Euskadi ) 110ème à 1’22
Le jeune coureur d’Euskadi avait été stagiaire l’an passé chez Cofidis. Cette année, il s’illustra en remportant l’étape de Val d’Isère au tour de l’Avenir et semble être plus à l’aise en montagne. Il remporta le GPM du tour du Haut-Var en début de saison, fit un top 10 au CG en Alentejo, 4ème de la clasica Ordiziako, un top 10 d’étape sur la Volta cet été lui permettant de faire un bon tour de l’Avenir. Il a semblé decevant aux mondiaux espoirs qui semblaient s’accorder à son profil.
Beñat Txoperena (26 ans, Euskadi ) 8ème à 15’’, 1er GPM 8pts
Déjà à l’offensive lors de la première étape, il est porteur du maillot du grand prix de la Montagne et le voilà échappé pour conserver son bien, voir accentuer son avance dans ce classement annexe.
Aldemar Reyes (23 ans, Manzana, Colombien) 40ème à 16’’
La jeune pépite colombienne est spécialisé dans les courses par étapes. Fidèle à l’équipe depuis ses débuts en 2016, il a notamment brillé l’an passé sur le tour de Catalogne en terminant à une solide 25ème place (n’est pas Bernal qui veut) et a réalisé son premier GT avec la Vuelta. Cette année fut plus compliquée puisqu’il ne couru qu’à domicile à la Colombia Oro y Paz, puis 1 mois plus tard au tour de Catalogne, terminé loin des meilleurs. Le voilà de retour, avec une prometteuse 18ème place hier.
Kenneth Van Rooy (25 ans, Sport Vlaanderen) 5ème à 13’’, 2ème GPM 4pts
Déjà échappé lors de la première étape, il avait fait le plein de points au sprint intermédiaire mais à rater le maillot de la montagne. Il a le droit à une seconde chance aujourd’hui face à Txoperena.
Muhamed Atalay ( 29 ans, Torku Sekerspor, Turc ) 106ème à 1’05
Le rouleur turc à surtout un rôle d’équipier à la Torku pour ses sprinteurs mais a pu s’exprimer lors de ses champions nationaux en étant 2nd du CLM et de la course en ligne. Il s’est préparé en Cappadoce puis au tour de Roumanie.
Ferit Samlı (24 ans, Torku Sekerspor, Turc) 124ème à 1’50, 3ème du GPM avec 4pts
Déjà à l’attaque le premier jour, le champion de Turquie en ligne 2014 est un bon rouleur qui comme Atalay, travaille pour Ozgur et Balkan.