- 18 juil. 2018, 07:58
#2865280
Oui, il y avait aussi des étapes ennuyeuses, mais même les étapes en plaine pouvaient être intéressantes, les échappées allaient au bout de temps en temps, et surtout les coureurs exploitaient le terrain!
A Posteriori, je pense même que cette étape marque la fin du vélo à l'ancienne, et l'avènement du cyclisme moderne et calculateur avec Indurain. Des Tours chiants pour être clair, même si dans les années 90 il y avait encore de grands attaquants (Virenque, Chiappucci, Pantani).
1990 est pour moi le dernier Tour avec un vainqueur à peu près clean en la personne de LeMond...et c'est cette année-là que j'ai vraiment accroché au Tour de France. Avant, j'étais trop jeune, même si j'ai un vague souvenir d'avoir vu le clm final de 1989 à Paris...En tant que Breton, j'ai vibré quand Pensec a pris le maillot et après la bataille haletante entre LeMond et Chiappucci! C'était un Tour de dingue, rien à voir avec la boucherie de 1991 où Indurain marque son règne au fer rouge. En 1990, personne ne se dégageait, ils étaient vraiment 5 ou 6 à pouvoir gagner. Même les étapes de moyenne montagne étaient dantesques: il faut voir la castagne dans la 13è étape qui mène à St Etienne par les monts du Forez! En fait, c'est là que Chiappucci perd son Tour. Enfin bref, une autre époque.
A Posteriori, je pense même que cette étape marque la fin du vélo à l'ancienne, et l'avènement du cyclisme moderne et calculateur avec Indurain. Des Tours chiants pour être clair, même si dans les années 90 il y avait encore de grands attaquants (Virenque, Chiappucci, Pantani).
1990 est pour moi le dernier Tour avec un vainqueur à peu près clean en la personne de LeMond...et c'est cette année-là que j'ai vraiment accroché au Tour de France. Avant, j'étais trop jeune, même si j'ai un vague souvenir d'avoir vu le clm final de 1989 à Paris...En tant que Breton, j'ai vibré quand Pensec a pris le maillot et après la bataille haletante entre LeMond et Chiappucci! C'était un Tour de dingue, rien à voir avec la boucherie de 1991 où Indurain marque son règne au fer rouge. En 1990, personne ne se dégageait, ils étaient vraiment 5 ou 6 à pouvoir gagner. Même les étapes de moyenne montagne étaient dantesques: il faut voir la castagne dans la 13è étape qui mène à St Etienne par les monts du Forez! En fait, c'est là que Chiappucci perd son Tour. Enfin bref, une autre époque.