twisty a écrit : ↑15 juil. 2018, 11:54
gradouble a écrit : ↑15 juil. 2018, 10:03
Peut-être faire 3-4 premiers jours vraiment très durs,
avec un vrai gros chrono individuel (de 40 bornes) suivi de 2 étapes de moyenne montagne ou course côte très dures; une très longue afin de fatiguer les coureurs et une très courtes afin de mettre déjà pas mal de types hors-délais. Ainsi un paquet de leaders auraient déjà le Tour perdu, libérant leur coéquipiers pour d'éventuelles échappées et eux-même pour des raids en montagne.
Et ainsi également cramés des équipiers de sprinters et surtout réduire leur nombre.
Je pense aussi qu'il faudrait ne proposait que 3 ou 4 sprints massifs par Tour et réduire ainsi le nombre de grands sprinters sur la start-list.
Mais bon on sait que le TDF est LE rendez-vous annuel des top-sprinters et le seul moment dans l'année ou ils sont tous réunis. C'est assez prestigieux en un sens mais je crois qu'il faudrait abandonner cela, malgré le "pli" qui est déjà bien pris.
En parlant de pli pris, les mentalités maintenant sont également un peu figées, les stratégies défensives sont très ancrées et sont maintenant devenues la norme et ça quelque soit le parcours, il va être très difficile de s'en défaire.
On n'en est pas sorti avant de longues années je crois malheureusement, et ce malgré d'éventuelles et plus qu'hypothétiques mesures "d'urgence".
Pour faire 3 ou 4 sprint massifs sur le Tour, il faut rester en dessous de la Loire en permanence, donc le Tour doit se concentrer autour les massif montagneux, ce qui signifie que le grand ouest, le centre val de loire, le nord de la France à l'exception de la région de roubaix, ne verraient le Tour qu'une fois tous les 5 ans environ et pour 1 étape pas plus, je ne suis pas d'accord.
C'est le Tour de France, pas le Tour de la moitié sud.
Des côtes, on en trouve partout si on les cherche.
Même dans le Nord-Pas -de-Calais (cf l'étape de Boulogne/mer de 2012), et dans l'Est, on a les Ardennes, les Vosges etc..
La Chevreuse en région parisienne, etc...
Je parle de petits taquets dans les finals d'étapes servant à éliminer les "gros culs", les sprinters purs ne passant pas les ponts (Marcel, Dylan, Fernando ou Mark), pas de cols extraordinaires.