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Modérateur : Modos VCN

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#2817904
jimmy39 a écrit :
14 mai 2018, 12:01
Teteoo a écrit :
14 mai 2018, 11:56
Je viens de voir le final. Philipsen est complètement ravagé :ouch:
Pas d'accord, c'est Gaviria vient chaque fois en sa direction (parce que son PP ne garde pas sa ligne et vient se replacer devant Philipsen), il ne fait que se défendre à mon avis :spamafote:
+1

Il a des balls ce petit !

#2818001
Orodreth a écrit :
14 mai 2018, 18:20
Je vais essayer de regarde aujourd'hui puisqu'on devrait voir Bernal à l'oeuvre. Enfin je l'espère. Attention aux américains avec leurs mystèrieux +10 à domicile et à Yates évidemment.
Rien de mystérieux, c'est juste qu'ils ont l'habitude de ce genre de courses, où le rythme est moins élevé, et où la distance est moins longue. Avec un peloton world-tour compétitif type Paris-Nice, USA ou pas, tu retrouveras aucun ricain dans le top 10.
#2818012
charlix a écrit :
14 mai 2018, 18:23
Orodreth a écrit :
14 mai 2018, 18:20
Je vais essayer de regarde aujourd'hui puisqu'on devrait voir Bernal à l'oeuvre. Enfin je l'espère. Attention aux américains avec leurs mystèrieux +10 à domicile et à Yates évidemment.
Rien de mystérieux, c'est juste qu'ils ont l'habitude de ce genre de courses, où le rythme est moins élevé, et où la distance est moins longue. Avec un peloton world-tour compétitif type Paris-Nice, USA ou pas, tu retrouveras aucun ricain dans le top 10.
La première raison pour moi, c'est la mentalité américaine.
On a énormément de jeunes coureurs américains adeptes des grands espaces qui, une fois débarqués en Europe loin de leur famille, découvrent un nouveau climat, une nourriture différente, dépriment dans leur studio, et découvrent une exigence toute autre dans le WT où il faut faire le métier 300 jours dans l'année. Ils commencent à se demander s'ils sont faits pour cette vie et s'ils ne passent pas à coté d'autre chose quand ils voient en parallèle la vie de leurs potes restés au pays. Ils n'arrivent jamais à monter dans la hiérarchie de leur équipe et deviennent des équipiers quand au début de l'aventure, on voyait chez eux le destin de leaders.
Les Australiens sont dans le même cas, et on a pas mal de déchets chez certains coureurs très talentueux chez les espoirs.

Le Tour de Californie à domicile constitue pour eux l'objectif de l'année et c'est le seul truc qui les motive un minimum pour se faire mal à la gueule pendant un mois juste avant car ils savent qu'ils pourront jouer leur carte.
#2818042
On3 a écrit :
14 mai 2018, 10:50
marooned a écrit :
14 mai 2018, 10:26


Tu risques d'être fort déçu.
Ouai, à moins qu'il ait retrouvé la trousse pharmacie égarée je-ne-sais-où-depuis-les-révélations-de-son-ex-equipier-chez-les-amateurs, Rafal risque plus de neutraliser Bernard que Bernal.

Maintenant, on voit souvent des renaissances étonnantes sur le continent américain, quand on est loin des contrôleurs.
ok Majka est un tricheur mais à mes yeux il est net :love:
#2818054
Bradounet_ a écrit :
14 mai 2018, 18:45
charlix a écrit :
14 mai 2018, 18:23


Rien de mystérieux, c'est juste qu'ils ont l'habitude de ce genre de courses, où le rythme est moins élevé, et où la distance est moins longue. Avec un peloton world-tour compétitif type Paris-Nice, USA ou pas, tu retrouveras aucun ricain dans le top 10.
La première raison pour moi, c'est la mentalité américaine.
On a énormément de jeunes coureurs américains adeptes des grands espaces qui, une fois débarqués en Europe loin de leur famille, découvrent un nouveau climat, une nourriture différente, dépriment dans leur studio, et découvrent une exigence toute autre dans le WT où il faut faire le métier 300 jours dans l'année. Ils commencent à se demander s'ils sont faits pour cette vie et s'ils ne passent pas à coté d'autre chose quand ils voient en parallèle la vie de leurs potes restés au pays. Ils n'arrivent jamais à monter dans la hiérarchie de leur équipe et deviennent des équipiers quand au début de l'aventure, on voyait chez eux le destin de leaders.
Les Australiens sont dans le même cas, et on a pas mal de déchets chez certains coureurs très talentueux chez les espoirs.

Le Tour de Californie à domicile constitue pour eux l'objectif de l'année et c'est le seul truc qui les motive un minimum pour se faire mal à la gueule pendant un mois juste avant car ils savent qu'ils pourront jouer leur carte.
Y avait un peu beaucoup de ça chez les Colombiens des années 80, selon Geminiani, qui les dirigea en 1986 pour le compte de Café de Colombie: " Ils avaient le mal du pays, parlaient tout le temps de leur village, du clocher, de leurs familles. Une année en Europe sans déprimer, c'était impossible pour eux ." Si Herrera n'a jamais accepté les offres mirobolantes des formations Européennes, c'est pas un hasard. C'était pareil pour les colombiens de Teka, dans les années 84-86, les Jiménez, Corredor, Agudelo. Ils ont eu quelques bons résultats ( Corredor 5è de la Vuelta 84), mais très vite, ils attendaient une seule chose: la fin de leurs contrats pour pouvoir retourner au pays. C'est quelque chose qu'il faut sans doute vraiment prendre en compte lorsqu'on parle des coureurs non issus du continent Européen. Pour réaliser ce métier si exigeant en réalisant tous les sacrifices nécessaires, faut de sacrées qualités morales et un gros soutien familial. Sans ça, aller simplement à l'entrainement (ou le faire bien, avec implication) peut vite devenir une galère.

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