Je déterre ce topic, parce que c'est toujours intéressant de laisser s'exprimer notre part de subjectivité et que je n'étais pas inscrit quand il est sorti...
5 - Vicenzo Nibali - Parce que... la prophétie, le dernier grand attaquant, un grand et varié palmarès.
4 - Egan Bernal - Parce que... quel talent, si jeune, rarement vu ça (sur les 20 dernières années, je ne vois qu'Andy qui fait mieux, on a vu la suite...), et qu'il va peut être réussir là où Quintana a échoué, redonner ses lettres de noblesses aux grimpeurs.
3 - Alejandro Vavlverde - Parce que... j'aime les mal aimés. Grande classe, formidable machine à gagner, qui respecte toutes les courses auxquelles il participe, et capable de panache, parfois, quand la course le nécessite.
2 - Nairo Quintana - Parce que... l'arme (enrayé) anti froome, colombien, quelques belles envolées en montagne. Le pur grimpeur contre les armadas et les rouleurs des cimes.
1 - Edvald Boasson Hagen - Parce que... je me le demande encore. Norvégien sans doute, gros moteur, beaucoup d'espoir dans sa jeunesse, et je ne suis pas du genre à abandonner mes chouchous quand tout va mal (les deux sportifs m'ayant fait le plus vibré étant sans doute Juan Carlos Ferrero et JB Grange, autant dire que j'aime me faire du mal...)
Et dans les anciens. Par ordre chronologique.
Virenque - 10 ans lors du tour 97, premier émoi cycliste.
Ullrich - Détesté lors du Tour 97, adoré pendant l'ère Armstrong, où je me faisais avoir chaque année en me disant que cette année, c'était la bonne. Que j'étais naïf...
Klöden - Le coureur le plus classe, mais quel petit mental. Il se plaisait tellement à faire le larbin..
Contador - Le seul coureur où j'ai eu du flair, que j'ai senti arriver faire une grosse carrière, et qui ne m'a pas décu. D'abord adoré pour son talent et sa classe, détesté ensuite pendant l’émergence du dernier de ma liste, puis de nouveau adoré à son retour pour son panache inégalé, ce mental de gagnant qui ne lâchait jamais rien face à l'adversité.
Andy Schleck... Le coureur qui m'a procuré le plus d'émotions, négatives comme positives, sa victoire à LBL, ses envolées sur le Tour
De l'autre côté, ses errements tactiques et surtout son retour du blessure où il n'a jamais plus vraiment été le même.
Dernier supporter vivant d'EBH.