Bahamontès était hors-norme, sur ce genre d'exercice. En 62, Rudi Altig était ressorti marqué par l'impression laissée par le génie tolédan, sur Superbagnères: " Jamais je n'avais vu un coureur grimper aussi vite. Lorsqu'il m'a doublé, je pas pu garder sa roue sur 1 mètre. C'était un avion !'
Le Picador s'était incliné devant Gaul, sur le Ventoux (2è à 31"), mais il avait une excuse: il disputait son 3è Tour de l'année, après la Vuelta et le Giro, et la fatigue se faisait sentir. Au top de sa condition, il y avait vraiment Bahamontès et les autres, sur une CC.