- 26 avr. 2018, 11:08
#2804905
Donc je dirais que dans l'ensemble pour un coureur qui fait un calendrier Europe tour, il est sans doute moins exposé à la pollution atmosphérique aujourd'hui qu'il y a 30 ans.
Après il y a plusieurs choses à ne pas perdre de vue : des endroits qui il y a 30 ou 40 ans étaient en campagne sont maintenant en zone plus artificialisée et plus habitée donc plus polluée. MAIS et c'est un très gros MAIS, en Europe occidentale la pollution atmosphérique hors des plus grosses agglomérations qui ont le plus grandi est plus faibles qu'il y a 30 ou 40 ans car bien moins d'industrie polluante, de centrales à charbon, de chauffage individuel à charbon ou fioul, et des véhicules en moyenne moins polluants.Le sucre sportif a écrit : ↑26 avr. 2018, 09:52On en avait discuté dans le topic dopage (ou le topic Froome avec ses puffs), le fait de faire un sport en plein air (pollué donc), à hauteur des pots d'échappements des voitures, favoriserait les cas d'asthmes chez les cyclistes. Mais, bon je n'ai pas vu de preuves scientifiques à cela. C'est comme pour les pesticides et les abeilles : c'est multifactoriel on m'a réponduNoé a écrit : ↑23 avr. 2018, 18:58Je me pose une question que je ne sais pas trop où mettre et qui, je pense, ne mérite pas un topic à part.
La pollution atmosphérique, de plus en plus insistante, a-t-elle un impact sur les performances des coureurs à court et long terme ?
(n'hésitez pas à me dire si un topic est plus approprié pour la question que celui-ci )
Donc je dirais que dans l'ensemble pour un coureur qui fait un calendrier Europe tour, il est sans doute moins exposé à la pollution atmosphérique aujourd'hui qu'il y a 30 ans.