La façon dont les SRM sont défendus par les coureurs / DS / entraîneurs laisse songeur
Vivement qu'on soit débarrassé de ces foutus écrans !
Pour en revenir au parcours, certains forumeurs regrettent de ne pas voir de parcours favorables à des offensives de loin. Je ne comprend pas trop ce reproche. Les grands tours étant des courses où la préservation des forces est un enjeu majeur, il n'y a pas de profil propice aux attaques lointaines. En revanche, certaines circonstances (pas d'équipe dominante type Sky pour défendre, écarts importants dont est victime un grand coureur) peuvent conduire à des Fuenté Dé ou Forrmigal, qui n'avaient rien d'adaptés à de tels mouvements a priori.
En revanche, je regrette l'absence d'étape qui démarre à froid par un gros col. Ce sont souvent des étapes spectaculaires, dans lesquelles les grosses équipes peuvent placer des pions à l'avant, la Sky maîtrisant trop facilement le filtrage sur le plat. Par exemple sur l'étape de Valloire, ce sera difficile de tomber sur un coéquipier à Briançon pour remonter contre le vent. Résultat : je n'attend pas d'attaque avant le col du Lautaret. Idem pour l'étape de Foix.
Vous êtes nombreux à évoquer l'importance de l'altitude dans le déroulement de la course. Est-ce possible de pousser plus loin, comme pour les types de pentes ou d'efforts, en dressant une liste de coureurs à qui l'altitude peut profiter et une liste de coureurs qui ont déjà coincé dans ces circonstances ?
Ex : peut-on anticiper sur le comportement d'un Roglic (mon favori pour l'an prochain avant de connaître sa forme) en haute altitude ?