marooned2 a écrit : ↑20 nov. 2017, 16:34
dolipr4ne a écrit : ↑20 nov. 2017, 15:12
Tu peux developper stp, ca m'interesse
Ben on a quasiment systématiquement maintenant une étape avec une montée finale de minimum 15 bornes à 6-7% minimum. Un vrai truc de grimpeur destiné aux leaders de grands tours alors qu'à la base ce sont des épreuves qui s'adressaient à des profils de coureurs très variés.
Le profil de l'étape de Porto Sant'Elpidio sur Tirreno 2013 est pour moi la quintessence de cette course. Bien plus que l'arrivée maintenant classique au sommet du Terminillo.
ASO a tenté de refaire un Paris-Nice à l'ancienne en 2014 mais c'était un peu trop tiède. Il faut trouver le juste milieu mais des cols qui pourraient être classés minimum en 1C sur le Tour n'ont pas leur place sur cette course d'après moi.
Sauf peut-être le Ventoux jusqu'au Chalet Reynard ??
C'était en tout cas la donne dans les Paris-Nice des années 70-80. Parfois en arrivée au sommet ( 84,86, 87) mais le plus souvent comme simple passage à quelque chose comme 100km de l'arrivée.
Il fut un temps ou le planning montagneux de cette épreuve était très répétitif: Saint Etienne via La Croix de Chaubouret, le Mont Faron, Mandelieu ou Cannes via Bourrigaille et le Tanneron, enfin le col d'Eze chrono. Mais je trouvais cette formule très efficace et bien équilibrée. En tout cas largement suffisante pour consacrer un grand vainqueur.
Moi j'aimerais bien revoir le Faron, Mandelieu et la mythique épreuve chronométrée du col d'Eze ( le Chalet Reynard, bof, en tout cas pas en arrivée au sommet).