- 23 mai 2017, 17:13
#2601682
222 kilomètres et l'enfer la veille ? 219 bornes cette fois… mais beaucoup moins de difficultés à prévoir. Sur sa route vers l'est et les Dolomites, le Tour d'Italie s'offre une étape certes longue et compliquée, mais beaucoup moins décisive que la précédente et les suivantes, bref un jour idéal pour prendre l'échappée et espérer aller au bout. Dès le début d'étape, les grimpeurs pourront se montrer avec l'ascension de deux classiques du Giro, d'abord Aprica par son versant le plus difficile (12,3 km à 6,3%) puis le passo del Tonale, qui culmine quand même à 1.883 mètres (11 km à 5,7%). Là-haut, on aura parcouru 60 kilomètres et il en restera encore 160. Au profil un peu bizarre : d'abord une longue descente pas très pentue de quasiment 70 bornes, puis une courte ascension difficile vers Giovo (5,9 km à 6,8%, des pentes qui montent jusqu'à 12%) et 80 derniers kilomètres en faux-plat montant permanent, mais jamais bien dur - à part un petit coup de cul à 4% vers Cavalese, on ne dépasse jamais les 2%. Bref, rien de folichon, mais un parcours atypique, qui aurait même pu donner des idées à certains sprinteurs… s'il n'y avait pas eu ce début d'étape quand même trop difficile pour eux. A priori, c'est vraiment le bon jour pour se glisser dans l'échappée matinale.
Départ à 11h15. Arrivée prévue vers 17h10.
La carte de l'étape
Les profils des trois difficultés de la journée
Le profil et la carte des derniers kilomètres
Mercredi 24 mai, 17e étape : Tirano - Canazei (219 km)
222 kilomètres et l'enfer la veille ? 219 bornes cette fois… mais beaucoup moins de difficultés à prévoir. Sur sa route vers l'est et les Dolomites, le Tour d'Italie s'offre une étape certes longue et compliquée, mais beaucoup moins décisive que la précédente et les suivantes, bref un jour idéal pour prendre l'échappée et espérer aller au bout. Dès le début d'étape, les grimpeurs pourront se montrer avec l'ascension de deux classiques du Giro, d'abord Aprica par son versant le plus difficile (12,3 km à 6,3%) puis le passo del Tonale, qui culmine quand même à 1.883 mètres (11 km à 5,7%). Là-haut, on aura parcouru 60 kilomètres et il en restera encore 160. Au profil un peu bizarre : d'abord une longue descente pas très pentue de quasiment 70 bornes, puis une courte ascension difficile vers Giovo (5,9 km à 6,8%, des pentes qui montent jusqu'à 12%) et 80 derniers kilomètres en faux-plat montant permanent, mais jamais bien dur - à part un petit coup de cul à 4% vers Cavalese, on ne dépasse jamais les 2%. Bref, rien de folichon, mais un parcours atypique, qui aurait même pu donner des idées à certains sprinteurs… s'il n'y avait pas eu ce début d'étape quand même trop difficile pour eux. A priori, c'est vraiment le bon jour pour se glisser dans l'échappée matinale.
Départ à 11h15. Arrivée prévue vers 17h10.
La carte de l'étape
Les profils des trois difficultés de la journée