- 28 sept. 2017, 11:18
#2694846
Si les réservations hôtelières se confirment (je pense surtout à celles de Bordeaux et Saintes, l'avant-veille de l'arrivée), on peut dire que le parcours Tour de France 2018 sera vraiment défavorable aux grimpeurs, en tout cas par rapport aux dernières années.
Mais est-ce un mal ?? Après tout, ils disposaient de terrains de jeu parfaits depuis 2013, et ils n'en ont guère profité ( si l'on excepte Nibali en 2014 ). Parfois par manque d'efficacité, parfois par manque de courage et d'audace.
Et n'oublions pas non plus que Delgado, Pantani et Sastre ont remporté des Tours qui étaient loin de proposer des menus montagneux gargantuesques. Pour un pur grimpeur, une accumulation de difficultés n'équivaut pas forcément à une garantie de réussite, on l'a très souvent remarqué par le passé. Et inversement, s'ils sont bien protégés par leurs formations, ils peuvent disposer d'un jump et d'une efficacité plus importantes lors de rendez-vous montagneux raréfiés, et donc plus décisifs.
Mais est-ce un mal ?? Après tout, ils disposaient de terrains de jeu parfaits depuis 2013, et ils n'en ont guère profité ( si l'on excepte Nibali en 2014 ). Parfois par manque d'efficacité, parfois par manque de courage et d'audace.
Et n'oublions pas non plus que Delgado, Pantani et Sastre ont remporté des Tours qui étaient loin de proposer des menus montagneux gargantuesques. Pour un pur grimpeur, une accumulation de difficultés n'équivaut pas forcément à une garantie de réussite, on l'a très souvent remarqué par le passé. Et inversement, s'ils sont bien protégés par leurs formations, ils peuvent disposer d'un jump et d'une efficacité plus importantes lors de rendez-vous montagneux raréfiés, et donc plus décisifs.