une simple ébauche. Certaines étapes sont trop longues, et je n'ai pas du tout le détail des cols empruntés
mais en gros
prologue, assez bonne distance (mettons 15 km)
puis première semaine facile, en essayant de trouver des difficultés AVANT le final (pas DANS le final). Principe de base : ne jamais terminer en côte. Je reste ébloui par le finish de Rio.
deux étapes seulement dans les pyrénées, mais 200 km minimum chaque fois et 5 ascensions minimum (on s'en fout si c'est escamoté, ça peut pas être pire qu'une course de côte)
transfert à perpignan pour la deuxième semaine. Je préfère mettre les pieges en 3e semaine, mais la géo commande, donc, bordure perpignan-sète.
Parcours pas trop plat vers aix, nice puis manosque
mini-transfert à gap. On part, comme dans les pyrénées, vers deux étapes seulement dans les alpes, mais deux tappones. Traversée des alpes centrales puis final à grenoble, puis les alpes du nord et final sur les bords du lac d'annecy
nouveau transfert et c'est parti pour la dernière semaine et les pièges
cela dit, pas de pièges à chaque fois, n'exagérons pas.
Premier piège, nombreux petits cols entre st-étienne et aurillac (col de la république, monts du cantal, etc.)
puis étapes tranquille (avec toujours à l'esprit de trouver une ou deux bosses, façon giro, dans les finals) vers autun, puis troyes (ou le lac sympa juste à côté), puis sedan.
transfert vers ostende pour un remake du tour des flandres jusqu'à audenarde
puis roubaix-compiègne, avec 35/40 km de pavés,mais les plus durs. Le final assez long est sans pavé, il faudra attaquer tot. Pas sûr que les équipes des favoris, souvent composées de grimpeurs, pourront assurer la poursuite des audacieux.
Enfin, la kermesse de Paris, en évitant les moches quartiers. Perso, j'aimerais zapper les champs, mais les coureurs adorent, et ça symbolise leur récompense d'avoir fini l'épreuve.
Car ça ne sera pas donné. Pas de cipollinisation possible. Si on doit foutre 75 coureurs hors-délai, on le fera (cela dit, puisque ce sont des tappones, les délais seront généreux)
le maillot vert aura un barême unique quel que soit le type de parcours. Deux sprints intérmédiaires par étape.
Bonifs : 20, 10, 8 aux arrivées, 10, 6 et 4 aux intermédiaires.
Pas de doublement des points pour le dernier col.
Dernier point : oui, je sais, il est certain que ce parcours-là possède des inconvénients, mais c'est le cas de TOUS les parcours, ce n'est donc pas un élément rédibitoire. L'art est de préférer certains inconvénients à d'autres