Déjà, ce serait hyper chouette qu'aucune équipe ne soit en mesure de faire ce que Sky a pu faire ces dernières années, c'est à dire TOUT régenter. Si on a plus ce genre de formation, le schéma va changer, au moins dans les ascensions finales. Ce ne sera plus du sauve qui peut dans les roues (selon la formule de Thibaut Pinot), mais de l'attaque, de la contre-attaque, des changements de rythme constants.
Et là, la musique serait un peu différente. Car c'est une chose de s'accrocher tant qu'on peut, et même jusqu'en haut, à un rythme hyper soutenu imposé par une formation surpuissante. Mais pouvoir encaisser les diverses secousses et ruptures imposées par les démarreurs de la montagne, c'est une autre histoire.
Mais je sais pas si on peut encore voir ça dans un cyclisme moderne si calibré ou tout effort est calculé au mm.